Il part vers 1825 pour l'Italie, où il se consacre entièrement à la sculpture[1]. Vers 1827, de retour à Munich, il est employé à la cour de Louis Ier de Bavière et y travaille en collaboration avec Christian Daniel Rauch, Ludwig Schwanthaler et Rietschel[1]. Il connaît aussi Berlin et Hanovre ; dans la dernière ville, il exécute des reliefs pour une salle et l'église du château[1]. On le voit en Italie en 1838-1839, en 1844, et finalement en 1876[1]. Il jouit aussi à son époque de la faveur du roi Maximilien Ier de Bavière[1]. Il décore en 1821 les chambres de château de Munich[1].
En 1875 est achevé le Hermannsdenkmal, monument d'une cinquantaine de mètres de hauteur réalisé par l'architecte.
Rose Hellfaier (dir.): Ernst von Bandel an Wilhelm Tegeler. Briefe zur Entstehungsgeschichte des Hermannsdenkmals 1850–1864. Lippische Landesbibliothek, Detmold 1975. (Nachrichten / Lippische Landesbibliothek 5), (de) « Publications de et sur Ernst von Bandel », dans le catalogue en ligne de la Bibliothèque nationale allemande (DNB)..
Gerd Unverfehrt(de): Ernst von Bandels Göttinger Arbeiten, Dans: Göttinger Jahrbuch, Vol. 24, 1976, p. 73–97.
Ernst von Bandel, 1800–1876, Bildhauer in Hannover. Beiheft zur Ausstellung „Ernst von Bandel, das Hermannsdenkmal und andere Arbeiten“, musée d'histoire d'Hanovre(de), 26 août – 3 octobre 1976. Hanovre 1976. (36 pages, p. 16–19: „Verzeichnis der Werke Ernst von Bandels“)
Brigitte Bötel: Joseph Ernst von Bandel, 1800–1876. Das bildhauerische Werk. Dissertation. Universität Göttingen 1984, (de) « Publications de et sur Ernst von Bandel », dans le catalogue en ligne de la Bibliothèque nationale allemande (DNB).. (p. 39 ff: „Katalog des bildhauerischen Gesamtwerkes“)
Burkhard Meier: Das Hermannsdenkmal und Ernst von Bandel. Zum zweihundertsten Geburtstag des Erbauers. Verlag topp+möller, Detmold 2000, (ISBN3-9806101-7-9).