Escles-Saint-Pierre

Escles-Saint-Pierre
Escles-Saint-Pierre
Carte postale du village vers 1910.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Sabrina Renault
2020-2026
Code postal 60220
Code commune 60219
Démographie
Gentilé Esclois[1]
Population
municipale
173 hab. (2021 en évolution de +9,49 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 30″ nord, 1° 48′ 15″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 216 m
Superficie 3,37 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Escles-Saint-Pierre
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Escles-Saint-Pierre
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Escles-Saint-Pierre

Escles-Saint-Pierre est une commune française située dans le département de l'Oise et la région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Escles-Saint-Pierre est un village rural picard situé à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime.

L'ex-route nationale 15bis (actuelle RD 315) constitue la limite est de la commune.

En 1850, Louis Graves indiquait qu'Escles-Saint-Pierre est une « Très-petite commune comprise dans le prolongement qui, vers le nord , s'étend entre les départements.de la Seine-Inférieure (actuelle Seine-Maritime) et de la Somme. Le territoire, de figure à. peu rectangulaire, est découvert, plane, donnant naissance vers le sud à un ravin qui descend dans le Val de la haie. Le chef-lieu presque central réunit plusieurs rues formées de maisons séparées par des jardins et des herbages[2] ».

Communes limitrophes

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Communes limitrophes d’Escles-Saint-Pierre
Morvillers-Saint-Saturnin
Somme
Quincampoix-Fleuzy Escles-Saint-Pierre Fourcigny
Somme
Fouilloy

Hydrographie

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La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Escles-Saint-Pierre[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Escles-Saint-Pierre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,6 %), prairies (24,5 %), zones urbanisées (7,7 %), forêts (5,2 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 78, alors qu'il était de 71 en 2014 et de 68 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 82,4 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Escles-Saint-Pierre en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Escles-Saint-Pierre en 2019.
Typologie Escles-Saint-Pierre[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 82,4 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,3 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 10,3 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Abancourt desservie par des trains TER Normandie assurant des liaisons entre Amiens et Rouen-Rive-Droite et des trains TER Hauts-de-France assurant des liaisons entre Lille-Flandres et Rouen-Rive-Droite, ainsi qu'entre Beauvais et Le Tréport - Mers.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6113 et 6124 du réseau interurbain de l'Oise[13].

La commune a changé de nom au cours des siècles : Egla (1150)[14] ; Eccla[2] (vers 1250) ; Ecle[2] (vers 1540) ; Eccles (vers 1540)[14] ; Escles[2] (vers 1540) ; Excles[2] (vers 1540) ; Ecles[2] (vers 1540) ; Excle[2] (XVIe) ; Hescles (XVIe)[14] ; Escle (1850)[14], puis prend sa dénomination actuelle d'Escles-Saint-Pierre le 20 juin 1954[15].

Emprunté au latin chrétien ecclesiasticus, « de l'Église ».

Saint-Pierre est un hagiotoponyme faisant référence à « saint Pierre », saint patron du lieu. L'église lui est dédiée.

Sous l'Ancien Régime, le village relevait du duché d'Aumale[2]

En 1850, une partie de la population vivait de la fabrication de Bonneterie et des étoffes de laine[2].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Formerie[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Grandvilliers.

Intercommunalité

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Escles-Saint-Pierre fait partie, comme quatre-vingt-huit autres communes, de la communauté de communes de la Picardie Verte qui correspond l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille en Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.

La commune fait également partie du « Grand Beauvaisis », l'un des seize pays a constituer le « Pays de Picardie »[réf. nécessaire].

En 2018, la commune participe également à divers regroupements communaux[17] :

  • Syndicat d'énergie de l'Oise
  • Syndicat des eaux de Blargies (SIAEP de Blargies)
  • Syndicat intercommunal de regroupement scolaire du RPI de Romescamps (SIRP de Romescamps).

Liste des maires

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Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Marcel Manchion    
2008 En cours
(au 27 mai 2020)
Sabrina Renault   Réélue pour le mandat 2020-2026[19],[20],[21]

Distinctions et labels

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Équipements et services publics

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La commune dispose d'une salle des fêtes et a construit en 2021 un terrain de pétanque[24].

Eau et déchets

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L'adduction en eau potable de la commune est assurée par le syndicat des eaux de Blargies, qui dessert également Monceaux-l'Abbaye, Moliens, Broquiers, Saint-Thibault, Romescamps, Fouilloy, ainsi que les hameaux de Hennicourt et Marcoquet[25].

Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique créé en 2005[26].

Il s'est transformé en regroupement pédagogique concentré (RPC) grâce à l'extension du groupe scolaire Roger-Cocu de Romescamps, qui a ouvert à la rentrée 2017, doté d'une cantine et d'une garderie et entrainant la fermeture des autres écoles. Pour l'année scolaire 2018-2019, l'école accueille 125 élèves des communes de Romescamps, Fouilloy, Gourchelles et Escles-Saint-Pierre[27],[28],[29].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 173 habitants[Note 2], en évolution de +9,49 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
281270292308305323304317224
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
258238244243225221254217216
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
205161147155148146159178198
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
180152144117115120138139138
2015 2020 2021 - - - - - -
158168173------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 87 hommes pour 79 femmes, soit un taux de 52,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,3 
90 ou +
2,5 
3,4 
75-89 ans
5,0 
14,8 
60-74 ans
20,0 
19,3 
45-59 ans
16,2 
20,5 
30-44 ans
22,5 
12,5 
15-29 ans
7,5 
27,3 
0-14 ans
26,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Pierre, reconstruite au XVIe siècle. Elle dispose d'un beau mobilier cultuel, dont ses fonts baptismaux, de style gothique flamboyant, en pierre sculptée et bassin en plomb sont du XVIe siècle[35],[36]
  • Croix de chemin, de la Renaissance.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Escles-Saint-Pierre » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Résultats de votre recherche de noms d'habitants
  2. a b c d e f g h et i Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126 p. (Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise)), p. 46-47., sur Google Livres.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Escles-Saint-Pierre et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Escles-Saint-Pierre », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a b c et d Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 198.
  15. Décret 15 juin 1954, Journal Officiel du 20 juin 1954 p. 5846, http://www.locom.org/loc_anc21.htm#ES
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Outil de recherche de la base BANATIC, consulté le 24 février 2019.
  18. « Les maires de Escles-Saint-Pierre », sur francegenweb.org (consulté le ).
  19. « Sabrina Coët réélue maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3290,‎ , p. 12.
  20. « Quatre maires sur 22 sont des femmes : Sabrina Renault, Escle-Saint-Pierre : la première femme maire de son village », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3594,‎ , p. 17 « Sabrina Renault est maire depuis 2008 d'Escle-Saint-Pierre. Elle achève son deuxième mandat ».
  21. « À Escles-Saint-Pierre, Sabrina Renault réélue maire : Sabrina Renault, maire d'Escles-Saint-Pierre (Oise) depuis 2008, a été réélue première magistrate de son village », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sabrina Renault a été réélue première magistrate. Elle est maire du village depuis 2008 ».
  22. Florent Barbe, « Des villes et des villages bien fleuris », Le Parisien, "dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  24. Maxime Bouhier, « Escles-Saint-Pierre : un terrain de pétanque installé : Depuis quelques jours seulement, la commune d'Escles-Saint-Pierre dispose d'un terrain de pétanque. Une possibilité pour les adeptes de ce jeu de se réunir. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « L'eau redevient potable », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. C.G., « La nouvelle classe prête pour jeudi », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ 232/8/2005 (lire en ligne, consulté le ) « Les enfants du Sirs Romescamps, Gourchelles, Fouilloy et Escles-Saint-Pierre seront répartis dans 5 classes : au groupe scolaire Roger-Cocu de Romescamps, deux classes de maternelle et une classe de cours primaire. A la mairie de Romescamps, une classe de CE 1 et CE 2. A la mairie de Fouilloy, une classe de CM 1 et CM 2 ».
  27. « Quatre villages construisent leur école ensemble », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « ROMESCAMPS Le groupe scolaire s'agrandit : Des travaux d'extension sont en cours de réalisation au groupe scolaire Roger Cocu. Trois nouvelles salles de classe sont attendues », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À la rentrée 2017-2018, le groupement scolaire pourra accueillir les maternelles ainsi que les cinq niveaux de l'école élémentaire. Le nombre d'élèves n'a pas encore été comptabilisé. L'enveloppe totalitaire (extension + réhabilitation) s'élève à 1 718 156 euros. Les subventions proviennent de la région : 131 000 euros, de l'état Dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR) : 127 000 euros, et du département 605 000 euros ».
  29. « Les écoliers en stage avant la rentrée », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3532,‎ , p. 4.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Escles-Saint-Pierre (60219) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  35. « Fonts baptismaux (cuve baptismale à infusion) », notice no PM60000734, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. Dominique Vermand, « Escles-Saint-Pierre, église Saint-Pierre », Diocèse : Amiens, sur Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).