Espondeilhan

Espondeilhan
Espondeilhan
Mairie
Blason de Espondeilhan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée
Maire
Mandat
Christophe Llop
2020-2026
Code postal 34290
Code commune 34094
Démographie
Gentilé Espondeilhanais
Population
municipale
1 162 hab. (2021 en évolution de +11,52 % par rapport à 2015)
Densité 229 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 28″ nord, 3° 15′ 47″ est
Altitude 60 m
Min. 60 m
Max. 123 m
Superficie 5,08 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Béziers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Béziers-3
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Espondeilhan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Espondeilhan
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Voir sur la carte topographique de l'Hérault
Espondeilhan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Espondeilhan

Espondeilhan est une commune française située dans le sud du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Merdanson et par un autre cours d'eau.

Espondeilhan est une commune rurale qui compte 1 162 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Espondeilhanais ou Espondeilhanaises.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Carte.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes d’Espondeilhan
Coulobres
Puissalicon Espondeilhan Servian
Lieuran-lès-Béziers Bassan

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 595 mm, avec 5,4 jours de précipitations en janvier et 2,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Roujan à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 14,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 577,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[7],[8],[9].

Au , Espondeilhan est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (87,2 %), zones urbanisées (12,8 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Espondeilhan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Espondeilhan est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Espondeilhan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 452 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 452 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1996, 2001, 2014 et 2019.

Espondeilhan est l'un des fiefs historiques de la famille du Caylar (orthographié par la suite en de Queylar pour les branches d'Anduze et de Provence). Le premier du Caylar cité est Pierre du Caylar seigeur d'Espondeilhan dans une donation du de Pierre Raymond d'Espondeilhan. À cette époque la terre d'Espondeilhan, au nord de Béziers, a donc au moins deux familles seigneuriales : les d'Espondeilhan et les du Caylar. Quant à la filiation prouvée elle n'est agréée par Chérin que depuis Bernard du Caylar, peut-être son petit ou arrière-petit-fils, cité entre 1290 et 1294.

La commune a été connue sous les variantes : Bremundo d'Espondeilla (1170), Spondellano (1210), castrum de Spondellano (1247), Spondelhan (1529), Espondelhan (1571), Espondeyan (1636).

Le nom Espondeilhan dérive de celui d'un domaine gallo-romain Spondilius augmenté du suffixe -anum[16].

Plan cadastral d'espondeilhan (1832)

En occitan, la commune se nomme Espondelhan.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Léon Grégoire    
1953 1959 Grégoire Pein    
1959 1965 Léon Poujet    
1965 1989 Henri De Saussine    
1989 2001 Jean Roques    
2001 2020 Alain Romero DVG Retraité
mai 2020 en cours Christophe LLOP    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

En 2021, la commune comptait 1 162 habitants[Note 3], en évolution de +11,52 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
180227228257278277309306291
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
296302336344402331328420431
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
476511503517481509502364368
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
316354323356517623831861970
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0421 1471 162------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, la commune compte 465 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 1 145 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 430 [I 5] (20 330  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 11 % 9,4 % 13,9 %
Département[I 8] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 681 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (66,8 % ayant un emploi et 13,9 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 5],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 132 emplois en 2018, contre 114 en 2013 et 108 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 459, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,1 %[I 11].

Sur ces 459 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 95 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités

[modifier | modifier le code]

82 établissements[Note 6] sont implantés à Espondeilhan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 82 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 6,1 % (6,7 %)
Construction 30 36,6 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
16 19,5 % (28 %)
Information et communication 1 1,2 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 2 2,4 % (3,2 %)
Activités immobilières 4 4,9 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
12 14,6 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 9,8 % (14,2 %)
Autres activités de services 4 4,9 % (8,1 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,6 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 82 entreprises implantées à Espondeilhan), contre 14,1 % au niveau départemental[I 15].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[21] :

  • Eclipse Auto, commerce d'autres véhicules automobiles (232 k€)
  • Les Toitures De Benjamin, travaux de couverture par éléments (215 k€)

Agriculture

[modifier | modifier le code]

La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[22]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 36 29 20 25
SAU[Note 9] (ha) 290 281 233 254

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 36 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 29 en 2000 puis à 20 en 2010[24] et enfin à 25 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 31 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[25],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 290 ha en 1988 à 254 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 10 ha[24].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Portail de l'église Notre-Dame-des-Pins.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Espondeilhan se blasonnent ainsi :

D'hermine, au sautoir losangé d'argent et de sable.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[23].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béziers », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Espondeilhan » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Espondeilhan » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Espondeilhan » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Espondeilhan » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Espondeilhan et Roujan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Roujan-inra » (commune de Roujan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Roujan-inra » (commune de Roujan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Espondeilhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Espondeilhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Espondeilhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. « Les risques près de chez moi - commune d'Espondeilhan », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Espondeilhan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  16. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 143
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Entreprises à Espondeilhan », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  22. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  23. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  24. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Espondeilhan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
  26. a et b « Eglise Notre-Dame-des-Pins », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Paul Ambert et Marc Leblanc, « Le Poignard chalcolithique de la Croix-de-Fer (Espondeilhan-Hérault) : analyse d'une patine originale », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 93, no 4,‎ , p. 561-565 (lire en ligne)
  • Amis de Notre Dame des pins, Notre Dame des Pins : commune d'Espondeilhan, [s.l.], Amis de Notre Dame des Pins, [s.d.], 11 p.
  • Clément Coste, Études historiques et archéologiques sur quelques communes de l'ancien diocèse de Béziers, Béziers, Bénézech Roque,
  • Jean-Luc Esperou, « L'enceinte chalcolithique de la Croix de Fer et son architecture en terre cuite (Espondeilhan - Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 30,‎ , p. 21-39
  • Louis Noguier, « Notice sur deux églises romanes anciennes : Saint-Aphrodise à Béziers, église d'Espondeilhan », Bulletin monumental, 4e série, t. 7,‎ , p. 161-170 (lire en ligne)
  • Louis Noguier, « Autels romans dans le Midi de la France », Bulletin monumental, 4e série, t. 7,‎ , p. 135-140 (lire en ligne)
  • Louis Noguier, « Notes archéologiques sur quelques églises romanes du Midi de la France », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 2e série, t. 5,‎ , p. 209-227

Fonds d'archives

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]