En 2010, il fonde Forensic Architecture, groupe de recherche multidisciplinaire qui utilise des techniques et des technologies architecturales pour enquêter sur les cas de violence d'État et de violations des droits de l'homme dans le monde.
Il travaille également pour l'organisation des droits humains (ONG) B'tselem[2].
Weizman a enseigné et donné des conférences dans de nombreuses institutions dans le monde entier.
Il a publié plusieurs ouvrages critiques sur l'architecture israélienne contemporaine et sur le rapport entre architecture et occupation, notamment en Cisjordanie[3].
Il développe plusieurs thèses, notamment la « Politique de la verticalité »[4] et 'l'Architecture de Décolonisation'[5].
Weizman a aussi écrit plusieurs articles dans des journaux, magazines et livres collectifs. Il contribue régulièrement à Cabinet Magazine (New York).
Une part de son travail se situe dans le champ de la recherche artistique. Il montre son travail de recherche architecturale par des moyens plastiques. Comme par exemple, l'installation « decolonizing.ps » montré à la Biennale d'Istanbul[6] en 2009. On pouvait y voir des livres reliés avec couvertures en plomb, posés sur des tables d'écoliers.
Ces dernières expositions ont eu lieu à New York, Berlin, Rotterdam, San Francisco, Malmoe, Tel Aviv et Ramallah.
À travers les murs : l'architecture de la nouvelle guerre urbaine, La Fabrique, 2008
« L'image en conflit : la violence au seuil de sa détectabilité », in Penser l'image III. Comment lire les images ?, dir. Emmanuel Alloa, Presses du réel, 2017, p. 231-256.
La vérité en ruines : manifeste pour une architecture forensique, La Découverte, 18 mars 2021[7]