Fignières

Fignières
Fignières
Porche de l'ancien château construit en 1761 sous le règne de Louis XV, par Louis de Clermont-Tonnerre
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC du Grand Roye
Maire
Mandat
Martine Tellier
2020-2026
Code postal 80500
Code commune 80311
Démographie
Population
municipale
146 hab. (2021 en évolution de −4,58 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 05″ nord, 2° 35′ 17″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 112 m
Superficie 6,6 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montdidier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Roye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fignières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fignières
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Fignières
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Fignières

Fignières est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Rose des vents Boussicourt Davenescourt Becquigny Rose des vents
Gratibus N
O    Fignières    E
S
Courtemanche Montdidier Ételfay

Description

[modifier | modifier le code]

Fignières est un village rural picard du Santerre situé à une quarantaine de kilomètres au sud-est d'Amiens et à 5 km au nord-est de Montdidier.

Fignières est aisément accessible par l'ex-RN 35 (actuelle (RD 935), qui relie notamment Amiens à Montdidier.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 45, Moreuil - Montdidier)[1].

Géographie physique

[modifier | modifier le code]

Nature du sol et du sous-sole

[modifier | modifier le code]

Le sous sol calcaire du village appartient aux formations crétacée et tertiaire. Le territoire présente, au sud, un sol composé du limon des plateaux, tandis que dans le village la terre à silex domine. Au nord, la craie affleure alors que vers Davenescourt, l'argile est présente.

Une importante nappe phréatique alimentait à la fin du XIXe siècle les puits du village. Elle se trouvait alors à une profondeur de 56 mètres.

Relief, paysage, végétation

[modifier | modifier le code]

Le relief est très peu prononcé : un bas plateau est entaillé de deux vallons qui se rejoignent au nord du Bois de la ville. Une pente calcaire très raide borde le plateau[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Fignières[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Fignières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montdidier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,1 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), zones urbanisées (5,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,2 %), forêts (0,2 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Feneriœ est relevé en 1146, Fresnerie en 1184, Fenières en 1301, Feignières, Fresnières. Ces appellations renvoient au foin ou peut-être au fenouil[2],[14].

Des armes en pierre et des monnaies gallo-romaines, ainsi que les vestiges d'une villa gallo-romaine, trouvées sur le territoire, attestent d'une présence humaine dès l'Antiquité[2].

Selon l'Abbé Leroy[14], « Fignières et Boussicourt furent toujours unis en un fief relevant du château de Montdidier sous Philippe Auguste, de Pierrepont en 1346, de Raineval en 1561, du comté de Mailly à partir de sa création, en 1744. Au XVIIIe siècle, la seigneurie de Fignières comprenait un château bâti en 1761, 100 journaux de terres, 100 de bois, dits bois de la Ville, moulin à vent et censives »

En 1653, le village est brûlé par les Impériaux. Les villageois se réfugient dans des souterrains-refuges (appelés en Picardie des muches), reliés à deux puits de Fignières, encore visibles à la fin du XIXe siècle[2].

Pendant la Révolution française, le château est brûlé et les terres vendues comme biens nationaux[2],[15].

En 1814 et 1815, à la fin de l'épopée napoléonienne, les Cosaques occupent la localité[2].

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, les Fignièrois subissent la présence des Prussiens et leurs réquisitions[2].

XXe siècle

Le village a subi des destructions pendant la Première Guerre mondiale[16] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [17].

L'aérodrome de Montdidier - Fignières a été créé par l'État en 1938 pour des fins militaires, sur 103 ha de terres agricoles[18].

Le village est à nouveau ravagé lors de la Seconde Guerre mondiale[15].

Pendant l'occupation, l'aérodrome est étendu pour les besoins de la Luftwaffe jusqu'à constituer un ensemble de 780 ha incluant les sections de la RN 35 et de la RD 41 qui bordaient jusqu'alors l'aérodrome et comprenant trois pistes concourantes orientées N-E / S-O et N-N-O / S-S-E[18].

Après la Libération de la France, le terrain, devenu inutilisable, est utilisé par les Américains. Ils y implantent un vaste dépôt de munitions d'aviation. À partir de 1947/1948, les terres labourables réquisitionnées sont rendues aux agriculteurs. L'emprise de l'aérodrome est réduite progressivement dans le cadre d'un schéma adopté en 1958, pour atteindre la surface actuelle[18]. En 1961, la piste 053/233 est supprimée et remplacée par une bande d'envol engazonnée de 750 x 100 m, orientée Est-Ouest[19].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]
La mairie.

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Montdidier[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Roye.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Montdidier, créée fin 2000 et qui succéédait au SIVOM du Canton de Montdidier datant de 1967.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, celle-ci fusionne avec sa voisine pour former le la communauté de communes du Grand Roye dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2007 André Gellynck[21]   Agriculteur
2008[22] mars 2014 Patrick Gellynck    
2014[23] En cours
(au 8 octobre 2020)
Martine Tellier[24]   Secrétaire de mairie à Faverolles
Réélue pour le mandat 2020-2026[25],[26]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 146 habitants[Note 3], en évolution de −4,58 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
261240266284295275258262264
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
242236231224203193189189188
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
152147154121179148170135119
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
106114130153126124141147153
2021 - - - - - - - -
146--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption[30], reconstruite après sa destruction lors de la Première Guerre mondiale[14] ;
  • La place du village, très arborée, entourée d'une cinquantaine de tilleuls ;
  • Le larris de Fignières, dit Montagne de Fignières est confié au Conservatoire d'espaces naturels de Picardie pour la préservation de la biodiversité locale[31]. Le papillon Mercure fait l'objet d'un suivi particulier, et on y trouve notamment des plantes plus méridionales, comme l'origan, l'anémone pulsatile ou les orchidées sauvages telles que l'Epipactis rouge-foncé.
    Une randonnée pédestre de 2,5 km est balisée, débutant à côté de l'église et permettant d'accéder à un belvédère doté d'une table de pique-nique[32].
  • La « villa de l'aéronautique » construite par Florent Mangot, un ancien aérostier ou aviateur né en 1858, sa famille exploitait à la fin du XVIIIe siècle une ferme dont les terres dites du « Champ Mangot » s'étendent de part et d'autre de l'ancien chemin de Montdidier à Corbie. Cette famille pourrait être à l'origine de l'aérodrome de Fignières[33] ;
  • L'aérodrome de Fignières, géré par la Communauté de communes du Grand Roye, accueille les activités de l'aéroclub de Montdidier, l'association des Chiffons volants (vol en ULM) et un club d'aéromodélisme[34] ;
  • Château, reconstruit après la Première Guerre mondiale ;
  • La sépulture du Docteur Jullien dit « le dormeur du bois » se trouve dans le bois de la ville surnommé le « bois Jullien » ;
  • Quatre puits creusés à l'époque napoléonienne ;

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Antoine Froissart,né à Fignières, docteur en Sorbonne, mort en 1637[14]
  • Abbé Charpentier, curé local, poète. Ses odes et fables sont publiées au Mercure de France (1739, 1740, 1741). Les registres paroissiaux contenant ses écrits sont conservés dans les archives communales[2].

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Abbé Godard, Description du canton de Montdidier : Notes historiques et archéologiques sur les communes du canton - Mémoire présenté à la Société des Antiquaires de Picardie, (lire en ligne).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
  • « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (7/1/2021), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Fignières » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b c d e f g et h Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Bettefort, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Fignières et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Fignières ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montdidier », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d Abbé Leroy, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t. IV : Arrondissement de Montdidier : cantons de Montdidier, Ailly-sur-Noye et Moreuil, Amiens, Yvert & Tellier, coll. « Société des antiquaires de Picardie », , 503 p. (lire en ligne), p. 85-89, 456, lire en ligne sur Gallica.
  15. a et b Bertrand Le Boudec, Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t. II : Six entités paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement de Picardie, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 176.
  16. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  17. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  18. a b et c Direction générale de l'Aviation civile, « Atlas DGAC – Montdidier – Fignières », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1918-1947, sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
  19. « Avis aux pilotes », Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, no 1851,‎ , p. 11 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Un anniversaire de mariage : 70 ans d'amour pour André et Marguerite Ce couple emblématique s'est marié le 6 octobre 1948 à Fignières. Il célébrait le dimanche 7 octobre ses notes de platine. Le mari a été maire du village de 1977 à 2007 », Le Bonhomme picard, édition Montdidier-Roye, no 3519,‎ , p. 8 « En plus de la ferme, André Gellynck est élu conseiller municipal à Fignières en 1953, il deviendra maire en 1977, fonction qu'il va assurer jusque 2007 soit 54 ans au service des administrés ».
  22. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  23. François Évrard, « Martine Tellier, maire de Fignières : « Être secrétaire de mairie, c'est un plus » : Martine Tellier est maire de Fignières mais aussi en charge de l'administratif de deux villages voisins », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Bien installée dans son rôle de maire, Martine Tellier, élue en 2014, s'appuie sur une vingtaine d'années de secrétariat de mairie (...) En 2014, Martine Tellier, dans un climat villageois assez tendu depuis quelques années, prend la suite de Patrick Gellinck et de toute son équipe qui ne souhaite pas se représenter. « Toute la liste a été élue au premier tour ».
  24. Aude Collina, « De secrétaire de mairie à conseiller municipal, exemples en Haute-Somme : Chargés, à titre professionnel, de l'administratif d'un bourg, ils ont basculé de l'autre côté en intégrant le conseil municipal. Portraits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Martine Tellier brigue un second mandat à Fignières », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Fignières, d'après nature, 15 juin 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  31. « Patrick Carliez, « l'œil vigilant de la montagne » », Courrier picard,‎ , p. 15 C.
  32. Gael Rivallain, « La balade : sur la «montagne» de Fignières », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Montdidier insolite et son canton », Le petit patrimoine en Pays de Somme (consulté le ).
  34. « L'aéro-club, une famille qui n'aspire qu'à s'agrandir à Fignières : En organisant des événements tels que des journées portes ouvertes, l'aéro-club espère convaincre et attirer des nouveaux membres », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).