Naissance | |
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Décès | |
Nom dans la langue maternelle |
Fikrət Qoca |
Pseudonyme |
Фикрет Годжа |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Poète, éditeur associé |
Distinctions | Liste détaillée Prix Lénine du Komsomol de la RSS d'Azerbaïdjan () Poète du Peuple d'Azerbaïdjan (en) () Prix Humay () State Prize of the Republic of Azerbaijan Diplôme honorifique du Président de l'Azerbaïdjan Ordre d’Istiglal Artiste émérite de la RSS d'Azerbaïdjan (d) Ordre de Charaf Ordre de Chohrat |
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Fikret Godja (en azéri: Fikrət Göyüş oğlu Qocayev; né le 25 août 1935 à Kotanarkh, district d'Aghdach et mort le 5 mai 2021 à Aghdach, Azerbaїdjan) est un Poète du Peuple de la République d'Azerbaïdjan (1998).
Fikret Goyuch oghlu Godja est diplômé de l’école secondaire d'Aghdach. Dès son plus jeune âge Fikret Goja montre une tendance à la créativité littéraire.
Fikret Godja visite de nombreux pays du monde et dédie des poèmes aux mouvements de libération nationale de ces pays, notamment le combattant de la liberté cubain Ernesto Che Guevara (Lettres sans adresse), la figure du mouvement de liberté de Guinée-Bissau Amilcar Cabral (Amilcar Cabral), le héros national des Philippines José Rizal (Jose Risal), le jeune vietnamien Li Vi Tom (Li Vi Tom) et d'autres. Dans les années 1990, il écrit des poèmes sur la lutte pour la liberté en Azerbaïdjan, tels que Passés par le feu, Niveau humain, Vérités ordinaires. Fikret Godja a également un certain nombre d'œuvres en prose. Les événements du 20 janvier 1990 sont reflétés dans les histoires La mort n'est pas une séparation (1990), Pour l'instant, jusqu'au Jour du Jugement (2000) et d’autres. Les poésies du poète sont mises en musique[2].
Titre honorifique Poète du peuple de la République d'Azerbaïdjan (23 mai 1998)