Folies

Folies
Folies
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Pierre Kaczmarek
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80320
Démographie
Population
municipale
157 hab. (2021 en évolution de +12,95 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 45′ 38″ nord, 2° 40′ 18″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 106 m
Superficie 5,63 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Folies
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Folies
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Folies
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Folies
Liens
Site web https://mairie-folies.fr/

Folies est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Par la route, le village est situé à 32 km d'Amiens, 17 km de Montdidier et 6 km de Rosières[1].

Communes voisines

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Rose des vents Beaufort-en-Santerre Warvillers Rose des vents
Le Quesnel N Rouvroy-en-Santerre
O    Folies    E
S
Arvillers Bouchoir
Carte de la commune (Cliquer sur la carte pour agrandir).

Sol, sous-sol, relief

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En surface, une couche de limon des plateaux qui peut atteindre cinq mètres d'épaisseur recouvre des lits de calcaire à silex et de la craie marneuse[1]. Le territoire est d'une uniformité presque parfaite. Seules quelques faibles dépressions animent la plaine : les lieudits la Fosse aux Chats et le Fond de la Vallée.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Folies[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Folies est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,7 %), zones urbanisées (5,3 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Folies en 1224 ; Folies-en-Santerre en 1325-1730 ; Folye en 1334 ; Folie au XVe siècle ; Follye-en-Sang-ter en 1567 ; Brehec en 1648 ; Follie en 1753 ; Felchie en 1761 ; Folie-en-Santerre en 1765 ; La Folie en 1778 ; Follye en 1824-1827 ; Follies-en-Santerre[13].

Issu du latin folia, « feuille », qui, par métonymie, a désigné un « bois ». Le nom du village indiquerait un lieu couvert de feuillages[1].

Raoul de Folies, seigneur du lieu, aurait donné ses biens au chapitre d'Amiens. Il aurait alors été tué par son neveu[1].

Des muches (souterrains-refuges) ont été creusées de l'église à la rue d'Arvillers. Existantes à la fin du XIXe siècle, elles comportaient des habitations et des étables pour les animaux[1]. De nombreuses sont encore connues en 2011[14].

En 1417, le village est ravagé par les Anglo-bourguignons établis à Arvillers et à Hangest[1].

Le village se trouvait dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale[15].

Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [16].

Politique et administration

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Rattachement administratifs et électoraux

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La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[17]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[19].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[20],[21],[22]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[23], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [24].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Édouard Boquet[27]    
2014[28] En cours
(au 27 mai 2020)
Pierre Kaczmarek   Exploitant agricole
Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 157 habitants[Note 3], en évolution de +12,95 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
396420359424408423435440425
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
413417397354332335335294273
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
263255219132150150135138137
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
118102106858886111118132
2018 2021 - - - - - - -
149157-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Les communes de Bouchoir, Le Quesnel, Warvillers, Beaufort et Folies se sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) pour la gestion de l'enseignement primaire local[33]. Les élèves sont scolarisés à Le Quesnel et à Bouchoir.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Folies » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d e et f Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Folies, M. Leigné, 1er janvier 1899, lire en ligne, sur le site des Archives de la Somme.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Folies et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Folies ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 376 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  14. P. Pannet, M. Desesquelles, M. Mulot et P. Neveu, BRGM, Inventaire des cavités souterraines, hors mines, du département de la Somme (80) : Rapport final, , 133 p. (lire en ligne [PDF]), p. 60 et 90-91.
  15. Section photographique de l'armée, « Photo : Beaufort (entre Folies et). Central téléphonique d'artillerie. Intérieur du poste », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  16. Journal officiel du 6 novembre 1920, p. 17584.
  17. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s'est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l'occasion d'annoncer la volonté de l'intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  21. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  22. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L'annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  24. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  25. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  26. « Les maires de Folies », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  28. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. « Le maire de Folies reconduit dans ses fonctions », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pierre Kaczmarek a été reconduit dans ses fonctions, tout comme la première adjointe Martine Voirin ».
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Gaël Rivallain, Anne Kanaan, « Une ultime classe sauvée : L'académie est revenue mardi sur la suppression à Bouchoir, de nouveaux postes sont prévus à Abbeville. », Courrier picard,‎ , p. 11.
  34. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Folies, d'après nature, 17 juin 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  35. Oswald Macqueron, « Carte postale : Guerre 1914-1915 - Folies (Somme) - L'église après le 2e bombardement, 1915 (avec mention du visa de la censure) », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. lieutenant Chanteau, Section photographique de l'armée, « Photo : Folies. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  37. « Nouveaux travaux dans l'église de Folies : L'église de Folies devait être inaugurée le 31 mai. Mais le nouveau conseil municipal en a décidé autrement. Explications », Le Courrier picard `,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Ludovic Lascombe, « Dans les pas de Madeleine Riffaud, résistante oubliée du Santerre : À l'occasion de la sortie d'une bande dessinée autobiographique, Madeleine Riffaud, l'une des dernières grandes résistantes françaises encore en vie, revient sur sa jeunesse picarde dans un village qui l'a un peu oubliée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).