Folleville (Somme)

Folleville
Folleville (Somme)
Église de Folleville.
Blason de Folleville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Roger Levasseur
2020-2026
Code postal 80250
Code commune 80321
Démographie
Gentilé Follevillois
Population
municipale
141 hab. (2021 en évolution de −4,08 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 37″ nord, 2° 21′ 58″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 158 m
Superficie 6,09 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Folleville
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Folleville
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Folleville
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Folleville

Folleville est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Vestiges du château en silhouette, visibles de la route de Sourdon (au nord-est) à Paillart (au sud-ouest).

Folleville est un petit village rural, situé à l'extrémité occidentale du plateau du Santerre et qui domine la vallée de la Noye[1].

Il est situé sur le méridien de Paris.

Communes limitrophes

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Rose des vents La Faloise Esclainvillers Rose des vents
N
O    Folleville (Somme)    E
S
Paillart - Quiry-le-Sec

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Noye[Carte 1].

La Noye, d'une longueur de 33 km, prend sa source dans la commune de Vendeuil-Caply et se jette dans l'Avre à Boves, après avoir traversé 13 communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Folleville[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[3].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-LES-MERLES (60) - alt : 94m, lat : 49°39'01"N, lon : 2°22'14"E
Records établis sur la période du 01-04-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,1 2,6 3,9 7,2 10 12 12 9,5 7,3 4,2 1,8 6,1
Température moyenne (°C) 3,9 4,4 7 9,5 12,9 16 18,2 18,2 15,1 11,5 7,2 4,4 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,7 11,5 15,2 18,6 21,9 24,5 24,5 20,6 15,6 10,3 7 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,6
07.01.09
−12,9
07.02.12
−11,5
13.03.13
−6,6
07.04.21
−3,2
03.05.21
−2
05.06.1991
2,3
04.07.1990
2,1
08.08.1990
−1,3
30.09.18
−6,2
28.10.03
−10,8
24.11.1998
−17,2
18.12.10
−18,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
27.01.03
20
24.02.1990
24,3
31.03.21
27,1
19.04.18
30,8
27.05.05
36,4
18.06.22
41,5
25.07.19
39,7
06.08.03
34,7
08.09.23
29,2
01.10.11
20,1
01.11.14
17
07.12.00
41,5
2019
Précipitations (mm) 52,4 42,9 46,1 43,2 57,4 54,2 59,7 58,1 49,1 57,8 57,2 69,8 647,9
Source : « Fiche 60555002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Folleville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,4 %), forêts (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), prairies (0,3 %), zones humides intérieures (0,3 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le rôle des feudataires de l'abbaye de Corbie mentionne Folleville dès 1200[15].

Les ruines du château et l'église, côté nord, vers 1835[16]

Des traces d'un camp romain ont été retrouvées près de la voie romaine reliant Caesaromagus (Beauvais) à Samarobriva (Amiens).

Le premier château semble avoir été un donjon quadrangulaire édifié au XIe siècle[1].

L'histoire du village remonte au XIVe siècle. En effet, les premières traces écrites de Folleville témoignent de la destruction du château féodal pendant la Jacquerie de 1358 : le village et le château furent alors incendiés.

En 1380, Jean de Foleville, prévôt de Paris et ambassadeur d'Espagne, donna sa fille Jeanne en mariage à Antoine de Poix-Séchelles, dont la fille Jeanne II de Poix épousa Raoul de Lannoy en 1478, qui devint ainsi seigneur de Folleville. Il transforma le château de Folleville en demeure de plaisance[1].

Farouchement disputé pendant la guerre de Cent Ans, comme en 1440, où il doit se rendre face à l'artillerie de campagne du fameux capitaine anglais John Talbot. Il est ensuite racheté et partiellement démantelé par les Bourguignons[17] afin de mettre un terme aux exactions des Anglais dans la région.

En 1477, Louis XI réside au château de Folleville, tout comme Charles VIII en 1492.

Raoul de Lannoy est l'une des plus importantes personnalités de Folleville. En 1507, il a été nommé gouverneur de la ville de Gênes en Italie. C'est par son biais que l'on a pu observer les premières traces de la présence des œuvres d'art italien renaissant en Picardie. Il meurt en 1513, son fils François de Lannoy prenant sa suite.

En 1478, des travaux sont entrepris pour remettre le château en état : une aile, aujourd'hui disparue, est alors ajoutée.

François Ier réside en 1544 dans la demeure de Louis de Lannoy, le château que l'on connaît. C'est en ce lieu qu'il rend une ordonnance royale relative au traité de paix signé avec Charles Quint, empereur du Saint-Empire romain germanique, à l'attention de la ville d'Amiens.

En 1548, la sœur d'Henri II réside au château à l'occasion du baptême du fils de Louis de Lannoy, comme son frère avant elle.

Vers 1571, Louis de Lannoy est un protestant acharné qui, en dépit des édits royaux, installe un prêche dans l'église de Folleville.

En 1589, l'Union occupe le château et voit se dérouler le combat non décisif d'Henri IV contre les Espagnols.

C'est depuis la chaire de l'église que Vincent de Paul prononça le 25 janvier 1617 le sermon qui bouleversa son auditoire et qui est considéré comme l'acte fondateur du charisme vincentien, le don spirituel octroyé par l'esprit saint à Vincent de Paul[18]. C'est l'origine de la fondation de la congrégation de la Mission (frères lazaristes)[19].

Les ruines du château furent rachetées par les lazaristes à la fin du XIXe siècle[1].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton d'Ailly-sur-Noye[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton est conservé et s'agrandit, passant de 22 à 54 communes.

Intercommunalité

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La commune était membre de la petite communauté de communes du Val de Noye, créée en 2001.

Dans le cadre de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRE) du , qui prévoit notamment que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir normalement un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme la préfète dévoile en octobre 2015 son projet de schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[21],[22]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[23] de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[24], et, fin janvier, le tribunal administratif d'Amiens rejette la requête en référé de Jean-Claude Leclabart, ex-président de l'ex-communauté de communes du Val de Noye contestant, sur un fond de conflit de personnes[25],[26] la légalité de l'arrêté de fusion des anciennes intercommunalités, qui arguait que les communes de l'ex-Val de Noye n'auraient pas été informées de l'étendue des compétences transférées, de la répartition des sièges entre elles et surtout, de la réalité de la situation financière de la CCALM[27],[28].

La communauté de communes Avre-Luce-Noye, à laquelle appartient désormais la commune, est ainsi créée le .

Liste des maires

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Pierre Michelin, ancien maire de Folleville, faisant visiter l'église.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 1989 Émile Lamané    
1989 2008 Pierre Michelin[29]   Historien, président de la Société des antiquaires de Picardie
mars 2008[30] En cours
(au 3 juin 2020)
Roger Levasseur   Cadre supérieur du secteur privé
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32],[33]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 141 habitants[Note 3], en évolution de −4,08 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
237228220176188201206202203
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
194200200188214209225214219
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
211151152137110129117157143
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
947346626372107122145
2014 2019 2021 - - - - - -
148142141------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'école et l'église en 2008.

En 2011, la commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal réunissant neuf communes. La maternelle se situe à Quiry-le-Sec et Coullemelle ; les classes élémentaires à Grivesnes et Sourdon. Les collégiens se rendent à Ailly-sur-Noye, Montdidier et Moreuil et les lycéens vers Montdidier et Amiens.

En 2024, seules les communes de Coulemelle, Grivesnes, Quiry-le-Sec et Sourdon possèdent une école. Le RPI accueille 120 élèves ; la cantine est rénovée dans la salle des fêtes de Coullemelle[37].

La communauté de communes gère la compétence pour les transports scolaires.

Manifestations culturelles et festivités

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Chaque année sont organisées, le premier week-end de septembre, les Médiévales de Folleville, fêtes médiévales costumées avec artisans, joutes[38]... La quinzième édition a eu lieu les 26 et [39].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Vestiges du château
Sous un soleil déclinant de février, ruines d'un point de vue situé entre le cimetière et l'église.

Les ruines du château[40],[41],[42],[43] (XVe siècle), classées partiellement en 1862[1], ont été consolidées et mises en valeur.

Le château fut délaissé au XVIIIe siècle, ses pierres furent utilisées à partir de 1777 par le comte de Mailly pour construire le château de Mailly-Raineval[44].

Église Saint-Jacques-le-Majeur-et-Saint-Jean-Baptiste

L'église Saint-Jacques-le-Majeur-et-Saint-Jean-Baptiste de Folleville[45],[46],[47], ouverte au culte le 4 mai 1519 (classée Monuments historiques[48] et au Patrimoine mondial UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France).

Elle contient le tombeau de Raoul de Lannoy et de Jeanne de Poix, en marbre blanc de style Renaissance[49],[50], celui de François de Lannoy (mort en 1548) et de Marie de Hangest[51] ainsi que la pierre tombale de Timoléon de Séricourt, marquis d'Esclainvillers (mort en 1757)[52], la chaire où prêcha saint Vincent de Paul[53] et de nombreux objets et œuvres d'art religieux classés monument historique.

Chapelle Saint-Vincent-de-Paul

Dotée au départ d'un toit à quatre pans, cette chapelle de dévotion est réalisée toute en pierre[54].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
d'or aux dix losanges de gueules ordonnés 3, 3, 3 et 1, au chef échiqueté d'or et d'azur.

Ces armes sont distinctes de celles des seigneurs de Folleville[55],[56],[57].

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Pierre Michelin, Folleville. La fin du Moyen Âge et les premières formes de la modernité (1519-1617), préface de Jean Estienne, Amiens : Mémoires de la Société des Antiquaires de Picardie - tome 56, 2000, 398 p. (ISBN 2902829043)
  • Georges Durand, "Les Lannoy, Folleville et l'art italien dans le Nord de la France", in Eugène Lefèvre-Pontalis (dir.), Le Bulletin Monumental, tome 70, 1906.
  • Alain Carlier, Le tombeau de Raoul de Lannoy à Folleville, trois niveaux de lecture, in Geoffroy Asselin (dir.), Bulletin de la Société des Antiquaires de Picardie, 3e trimestre 2000, p. 469-484. (ISSN 0037-9204)

Liens externes

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  • « Folleville », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté en ).

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Folleville » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e « Les ruines du Château de Folleville », notice no PA00116282, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Sandre, « la Noye »
  3. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Folleville et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Folleville ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 1 : de Aaron-le-Fontaine à Luzière-lès-Conty, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  16. Pierre Michelin, Folleville. La fin du Moyen Âge et les premières formes de la modernité (1519-1617), préface de Jean Estienne, Amiens : Mémoires de la Société des Antiquaires de Picardie - tome 56, 2000, 398 p. (ISBN 2902829043).
  17. « Folleville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Quid (consulté le )
  18. Jeanne Demilly, « L'église de Folleville au cœur du pèlerinage : Près de 150 personnes ont participé au pèlerinage pour les 400 ans du sermon de Saint Vincent de Paul. La relique de son cœur a été déplacée pour l'occasion », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « 25 janvier : Conversion de Saint-Paul et premier sermon de la mission », Diacres Permanents Vincentiens, (consulté le ).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  23. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  24. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  25. Cécile Latinovic, « Fusion entre l'Avre, Luce et Moreuil et le Val de Noye: la hache de guerre est déterrée : Les pics de Pierre Boulanger à l'encontre de son homologue du Val de Noye n'ont pas manqué, jeudi 29 septembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Il a ensuite tapé plus fort sur Jean-Claude Leclabart, à qui il reproche «  d'être à l'origine d'articles de presse dans lesquels il nous critique  » estime-t-il. «  Je ne supporterai jamais la présidence qui est de l'autre côté  », martèle le président d'Avre, Luce et Moreuil, faisant référence, une fois de plus, à Jean-Claude Leclabart ».
  26. Delphine Richard, « Fusion Avre, Luce et Moreuil avec Val de Noye: « J'ai déposé un recours contre l'État », affirme Jean-Claude Leclabart », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Jean-Claude Leclabart, le président du Val de Noye, ne briguera pas la présidence de la CCALN. Il s'en explique et attaque ouvertement Pierre Boulange ».
  27. David Vandevoorde, « Les dettes de l'Avre-Luce-Moreuil au cœur des débats au tribunal », Le Courrier picard, région d'Amiens,‎ (lire en ligne).
  28. David Vandevoorde, « La fusion n'est pas suspendue mais… : La justice a rejeté la requête de l'ex-Val de Noye. D'autres suivent et le nouveau territoire,la communauté de communes Avre-Luce-Noye (CCALN), patine. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  29. Patrick Trantan, « Pierre Michelin n'est plus », Le Courrier Picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Folleville : Le maire dévoile ses projets », Le Courrier picard, édition Région d'Amiens,‎ .
  31. « Les sortants repartent aux côtés de Roger Levasseur », Le Courrier picard, édition Selle, Bresle, Noye,‎ (lire en ligne).
  32. B. Z., « Folleville La mairie veut se préparer à l'urgence », Le Courrier picard, édition Selle, Bresle, Noye,‎ (lire en ligne).
  33. « Le conseil municipal est en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606,‎ , p. 28 « Roger Levasseur a été élu à l'unanimité. Il commence ainsi son 3e mandat. ».
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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