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Fragilariopsis cylindrus est une diatoméepennée principalement rectangulaire avec une valve apicale allongée allant de 15 à 55 μm et un axe transapical allant de 2,4 à 4 μm[9]. Comme les autres diatomées, F. cylindrus présente une paroi cellulaire composée de deux valves de silice biogénique, le frustule. On peut également noter la présence d'un canal-raphé excentré tendu par des fibules. La cellule présente généralement deux chloroplastes répartis à chaque pôle de la cellule entourant le noyau cellulaire.
Fragilariopsis cylindrus est caractérisé par un mode de vie principalement colonial en chaîne et contitue de larges populations associées au bas de la glace de mer (interface eau-glace de mer), ainsi que dans la zone marginale de glace de mer en eau libre[6],[4]. Elle est notamment connu pour sa capacité à pousser à des températures inférieures à 0°C et possède une température de croissance optimale de 4-5°C et une limite létale de ≤ +10°C[10]. En tant que microalgue sympagique, F. cylindrus peut faire face à un environnement à forte salinité, généralement trouvé dans les canaux de saumure, en produisant de grandes quantités de substances polymères extracellulaires riches en polysaccharides (EPS)[11].
F. cylindrus est un organisme phototrope, mais il est capable de maintenir des processus métaboliques essentiels dans l'obscurité, assurant une récupération rapide lors d'un rééclairage et lui permettant de survivre à l'obscurité à long terme[12].
↑Cefarelli, Ferrario, Almandoz et Atencio, « Diversity of the diatom genus Fragilariopsis in the Argentine Sea and Antarctic waters: morphology, distribution and abundance », Polar Biology, vol. 33, no 11, , p. 1463–1484 (DOI10.1007/s00300-010-0794-z, lire en ligne)
↑ a et b(en) Kang et Fryxell, « Fragilariopsis cylindrus (Grunow) Krieger: The most abundant diatom in water column assemblages of Antarctic marginal ice-edge zones », Polar Biology, vol. 12, no 6, , p. 609–627 (ISSN1432-2056, DOI10.1007/BF00236984, lire en ligne)
↑(en) Tammilehto, Watts et Lundholm, « Isolation by Time During an Arctic Phytoplankton Spring Bloom », Journal of Eukaryotic Microbiology, vol. 64, no 2, , p. 248–256 (ISSN1550-7408, DOI10.1111/jeu.12356, lire en ligne)
↑ a et bQuillfeldt, « The Diatom Fragilariopsis cylindrus and Its Potential As an Indicator Species for Cold Water Rather Than for Sea Ice », Vie et Milieu / Life & Environment, , p. 137 (lire en ligne)
↑(en) Mock, Otillar, Strauss et McMullan, « Evolutionary genomics of the cold-adapted diatom Fragilariopsis cylindrus », Nature, vol. 541, no 7638, , p. 536–540 (ISSN1476-4687, DOI10.1038/nature20803, lire en ligne)
↑(en) Otte, Winder, Deng et Schmutz, « The diatom Fragilariopsis cylindrus: A model alga to understand cold-adapted life », Journal of Phycology, vol. 59, no 2, , p. 301–306 (ISSN1529-8817, DOI10.1111/jpy.13325, lire en ligne)
↑(en) Cefarelli, Ferrario, Almandoz et Atencio, « Diversity of the diatom genus Fragilariopsis in the Argentine Sea and Antarctic waters: morphology, distribution and abundance », Polar Biology, vol. 33, no 11, , p. 1463–1484 (ISSN1432-2056, DOI10.1007/s00300-010-0794-z, lire en ligne)
↑Aslam, Strauss, Thomas et Mock, « Identifying metabolic pathways for production of extracellular polymeric substances by the diatom Fragilariopsis cylindrus inhabiting sea ice », The ISME Journal, vol. 12, no 5, , p. 1237–1251 (ISSN1751-7362, PMCID5932028, DOI10.1038/s41396-017-0039-z, lire en ligne)
↑Kennedy, Martin, Bowman et Wilson, « Dark metabolism: a molecular insight into how the Antarctic sea-ice diatom Fragilariopsis cylindrus survives long-term darkness », New Phytologist, vol. 223, no 2, , p. 675–691 (PMID30985935, PMCID6617727, DOI10.1111/nph.15843)
(en) Otte, Antonia, Winder, Johanna C, Deng, Longji et al., « The diatom Fragilariopsis cylindrus : A model alga to understand cold‐adapted life », Journal of Phycology, vol. 59, no 2, (lire en ligne [PDF], consulté le ).