Il passe l'essentiel de sa vie à Bonn, même s'il a du succès Vienne dans ses premières années (1779)[2], à la fois comme violoniste soliste et au sein de quatuors[2]. À Bonn, un de ses élèves est le jeune Beethoven. Il reçoit des appointements de l'Électeur Maximilien en 1779[2],[1], qu'il garde jusqu'à la dissolution de la cour en 1794 par les Français[1]. Après cela, il continue à enseigner[1]. Il est décoré de l'Ordre de l'aigle rouge et d'un doctorat honorifique de l'Université de Bonn[2]. Il est membre des Illuminés de Bavière sous le nom de Parmenio.
Parmi ses dix enfants[2], deux de ses fils, Ferdinand et Hubert(de), sont devenus des compositeurs bien connus et Franz Joseph, un facteur de piano à Vienne vers 1820.
Christoph Hust: Ries, Franz (Anton). In: Die Musik in Geschichte und Gegenwart. Zweite, neu bearbeitete Ausgabe, hrsg. von Ludwig Finscher, Personenteil Bd. 14, Kassel u. a. 2005, Sp. 84–85.