Formé dans le collège des Jésuites à Fribourg, il enseigne en 1843 à Bonn puis est professeur de philosophie en 1856 à Münster. Dans ses écrits, il subordonne la philosophie à la révélation et défend l'autorité de l'enseignement de l'Église, en particulier dans Giordano Bruno und Nikolaus von Kues. Il est aussi un opposant à Anton Günther et à Johannes von Kuhn.
Paul Richard Blum(de): Franz Jacob Clemens e la lettura ultramontanistica di Bruno, dans: Brunus redivivus, Momenti della fortuna di Giordano Bruno nel XIX secolo, ed. E. Canone, Pisa-Roma 1998, 67–103.
Heinrich Best, Wilhelm Weege: Biographisches Handbuch der Abgeordneten der Frankfurter Nationalversammlung 1848/49 (= Handbücher zur Geschichte des Parlamentarismus und der politischen Parteien. Volume 8). Droste, Düsseldorf 1996, (ISBN3-7700-5193-9), p. 115–116.