Front national de libération | ||
Idéologie | Nationalisme syrien Islamisme sunnite (en partie) |
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Objectifs | Renversement du régime baasiste de Bachar el-Assad | |
Fondation | ||
Date de formation | ||
Pays d'origine | Syrie | |
Dissolution | ||
Causes | Ralliement à l'Armée nationale syrienne | |
Actions | ||
Zone d'opération | Gouvernorats d'Idleb, Hama, Alep et Lattaquié | |
Organisation | ||
Chefs principaux | • Fadil Allah al-Hajji • Souhaib Layyouch |
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Membres | 30 000 à 75 000[1],[2] | |
Fait partie de | Armée syrienne libre | |
Soutenu par | Turquie | |
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Le Front national de libération (arabe : جبهة الوطنية للتحرير, al-Jabhat al-Wataniya al-Tahrir) est un groupe rebelle de la guerre civile syrienne fondé le . Il rallie l'Armée nationale syrienne en octobre 2019.
Le Front national de libération est fondé le par la fusion de onze groupes de l'Armée syrienne libre actifs dans le gouvernorat d'Idleb et le nord du gouvernorat de Hama[1],[3] :
Le , d'autres groupes rebelles annoncent leur ralliement au Front national de libération[4],[5] :
Selon le chercheur Charles Lister : « La Turquie cimente encore un peu plus son influence à Idleb, au moment où les groupes armés de l'opposition — à l'exception de HTS — cherchent à dissuader le régime »[4].
Le , le Front national de libération rallie l'Armée nationale syrienne[6],[7].
À sa fondation, Fadlallah al-Hajji, chef de Faylaq al-Cham, est désigné comme le commandant du Front national de libération et Suhaib Layyouch, de Jaych al-Nasr, comme le commandant en second[1]. Le groupe compterait 30 000 combattants selon l'Agence Anadolu[1]. Le FNL revendique pour sa part 50 000 combattants en juin 2018[3], puis 75 000 en octobre 2018[2].
Le , le groupe arrête 45 personnes, pour avoir tenté de négocier des « accords de réconciliation » avec le régime[8].
Le 27 novembre 2024, il se joint à l'Offensive d'Alep lancé par Hayat Tahrir al-Cham