Fusarium oxysporum est un complexe d'espèces telluriques, ubiquistes, parasites de plantes, comprenant de nombreuses formae speciales (f. sp.), qui infectent collectivement plus de 100 hôtes différents, provoquant des pertes économiques importantes chez de nombreuses plantes cultivées comme le bananier, le cotonnier, le melon, la tomate, etc.[2]
Une variété australienne est capable de dissoudre l'or de la roche et de le concentrer dans son mycelium, ce qui ouvre des perspectives en matière de prospection[3].
Sur plantes Fusarium oxysporum, ou ses formes spécialisées, sont responsables de diverses maladies, la principale étant le flétrissement vasculaire caractérisée par un flétrissement des plantes dû à l'envahissement des vaisseaux du xylème par le pathogène.
Diverses tentatives d'utilisation de F. oxysporum comme mycoherbicide ont été faites (agent vert).
F. oxysporum est considérée comme la seconde espèce de Fusarium responsable d'infections chez l'homme (après F. solani)[4]
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↑(en) Ralph Dean et al;, « The Top 10 fungal pathogens in molecular plant pathology », Molecular Plant Pathology, vol. 13, no 4, , p. 414–430 (lire en ligne).
↑(en) Tsing Bohu, Ravi Anand, Ryan Noble et Mel Lintern, « Evidence for fungi and gold redox interaction under Earth surface conditions », Nature Communications, vol. 10, no 1, , p. 1–13 (ISSN2041-1723, DOI10.1038/s41467-019-10006-5, lire en ligne, consulté le )
↑(en) Anaissie, E. J., R. T. Kuchar, J. H. Rex, A. Francesconi, M. Kasai, F. M. C. Muller, M. Lozano-Chiu, R. C. Summerbell, M. C. Dignani, S. J. Chanock, and T. J. Walsh., « Fusariosis associated with pathogenic Fusarium species colonization of a hospital water system: A new paradigm for the epidemiology of opportunistic mold infections. », Clin Infect Dis., vol. 33 pages =1871-1878, 2001.