Galgon

Galgon
Galgon
Église Notre-Dame de Queynac en ruine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Fronsadais
Maire
Mandat
Jean-Marie Bayard
2020-2026
Code postal 33133
Code commune 33179
Démographie
Gentilé Galgonnais, Galgonnaises
Population
municipale
3 058 hab. (2021 en évolution de +0,76 % par rapport à 2015)
Densité 201 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 32″ nord, 0° 16′ 17″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 56 m
Superficie 15,18 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Galgon
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Libournais-Fronsadais
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Galgon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Galgon
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Galgon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Galgon
Liens
Site web galgon.fr

Galgon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune, traversée par le 45e Parallèle, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Les Billaux, Périssac, Saillans, Saint-Ciers-d'Abzac, Saint-Martin-du-Bois, Savignac-de-l'Isle, Vérac et Villegouge.

Communes limitrophes de Galgon[1]
Périssac Saint-Ciers-d'Abzac Saint-Martin-du-Bois
Vérac Galgon[1] Savignac-de-l'Isle
Villegouge Saillans Les Billaux

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 895 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Galgon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Galgon[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), zones urbanisées (14,4 %), prairies (8,6 %), forêts (7,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Galgon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle et le ruisseau de la Saye. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1993, 1999, 2008, 2009, 2013 et 2021[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Galgon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 290 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 290 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 4] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[22]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

GALGON a une origine gallo-romaine. Nous avons trouvé des débris de poterie romaine à Fonforé, Pateau et Bizot.

Le village s’est développé à partir du domaine de Gallicus, riche propriétaire de l’époque lors de la conquête de l’Aquitaine par les armées de Cesar. On trouve mention du village dans un texte du XIVe siècle.

Dès le XIIe siècle, l’église Saint-Seurin de Galgon fut édifiée et l’église Notre-Dame de Queynac construite par l’ordre des Templiers. La commanderie de Queynac a servi de relais lors du passage des pèlerins de Saint Jacques de Compostelle.

La route de Compostelle allait de Guîtres à Bordeaux en passant par Beaumont où est fichée une borne dite Pierre de Charlemagne puis le chemin dit de Charlemagne jusqu’à Marze, Saillans, Fronsac.

À la révolution Galgon fut chef-lieu de canton pendant une dizaine d’années puis Bonaparte restructura l’État et Galgon fut intégré au canton de Fronsac.

En 1887, la ligne de chemin de fer de Saint Mariens à Libourne est inaugurée. Elle fermera définitivement en 1958. C’est sur son tracé que Monsieur Robert Perret, maire de Galgon depuis 1947, convainquit le Préfet d’en faire une route insubmersible qui verra le jour en 1970. Cette route mit Libourne à la porte de Galgon. La population s’accrut rapidement, elle doubla en dix ans et le village se transforma[24].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947[25] Robert Perret    
Jean Milhade DVD  
Jacques Giraud    
En cours
(au 30 avril 2014)
Jean-Marie Bayard DVD Salarié du secteur médical[26]
Vice-président de la CC du Fronsadais

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 3 058 habitants[Note 5], en évolution de +0,76 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2331 2001 1861 3521 3721 4251 4651 4641 456
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4681 4801 4331 3591 3111 3221 2741 2171 200
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2181 2081 2031 1861 1551 1381 0971 1981 173
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1271 1061 5222 3232 5142 4352 4892 5032 998
2018 2021 - - - - - - -
3 0013 058-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Seurin[31],[32] : L'église, qui date du XIIe siècle, est inscrite[33] à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1925. Les éléments romans les plus remarquables sont la façade occidentale et l'abside à neuf pans.
La façade est caractéristique du style Angoumois. Au XIIe siècle, le Poitou, la Saintonge et l’Angoumois développent des interprétations propres de l’art roman qui se sont souvent propagées jusqu’aux églises d’Aquitaine. Cette influence est manifeste sur la façade de l’église :
- Sa partie inférieure elle est ornée de quatre colonnes à chapiteaux sculptés qui soutiennent trois arcades en plein cintre. Celui du portail, comporte deux voussures, la supérieure étant ornée.
- Dans sa partie centrale, les quatre corbeaux de l’ancien porche et un bandeau orné sur lequel repose une série de cinq petites arcades.
- Plus haut, une corniche, soutenue par des modillons, qui domine l’ensemble des arcatures et les triples colonnes qui l’encadrent au Nord et au Sud.
Le fronton de la façade, qui date du XVIIIe siècle, est soutenu par deux contreforts à talus latéraux, cinq consoles centrales et, au revers, trois grosses consoles. Il est dominé par deux baies à cloches, une petite au-dessus, est encadrée par un jeu de courbes moulurées et symétriques, décorées de vases, pions et croix de pierre.
À l’autre extrémité de l’édifice, l’abside polygonale à neuf pans est renforcée par dix colonnes contreforts qui soutiennent une corniche à modillons sculptés de masques, de damiers et de têtes d’animaux. Surhaussée, l’abside de l’église présente une construction composée de moellons irréguliers. Le mur, percé de créneaux, de meurtrières et de mâchicoulis, a une fonction défensive au XIIe siècle.
Les murs de la nef, au nord et au sud, sont percés de quatre hautes baies romanes, qui alternent avec des contreforts plats.
A la fin du XIXe siècle Jean-Auguste Brutails a pris une série de photographies[34] de l'extérieur de l'église.
Notre-Dame de Queynac
A l'intérieur de l'église :
Le portail donne sur un porche à plafond plat, sous tribune, ouvrant sur la nef par un grand arc surbaissé.
La nef, aux murs nus, est percée par huit baies étroites vitrées. Au nord se trouvent les fonts baptismaux avec une cuve de pierre sculptée. Au sud l'escalier de tribune, et, sur le mur la trace de la baie obturée de l’arcature haute. Une grille en fer forgée sert de garde-corps.
Ensuite, un triple arc triomphal retombant sur les triples colonnes à chapiteaux feuillus qui encadrent neuf baies ébrasées, soulignées par un bandeau. Les neuf vitraux sont banals, donnés par des fidèles en 1889. L’abside est voûtée en cul-de-four. L’autel, paré de marbre, est orné de colonnettes encadrant, en haut des fleurs dorées, en bas des images saintes.
L’édifice est couvert d’une charpente à jambettes arquées.
L’église abrite une statue d’une Vierge à l’Enfant, probablement de facture locale, réalisée en bois polychrome et doré. Les deux personnages portent une couronne d’orfèvrerie. La statue proviendrait de l’église voisine, Notre-Dame-de-Queynac, fermée au moment de la Révolution et actuellement en ruines. Afin d’éviter des dégradations de la statue, un habitant de Queynac l’aurait alors cachée. Elle est retrouvée, au début du XIXe siècle, dans un four à pain.
Ruines de Notre-Dame-de-Queynac (vers 1905)

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Galgon et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Galgon », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Galgon ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Galgon », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Galgon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. Histoire de Galgon sur le site Galgon - Mairie de Galgon
  25. « C'est sur son tracé que Monsieur Robert Perret, maire de Galgon depuis 1947, convainquit le Préfet d’en faire une route insubmersible qui verra le jour en 1970. » [1]
  26. Extrait de la fiche de M. Jean-Marie BAYARD, sur lesbiographies.com
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. L'église Saint-Seurin sur le site Office de Tourisme du Fronsadais.
  32. L'église Saint-Seurin sur le site Visites en Aquitaine
  33. « Fiche d'inscription de l'église St Seurin », notice no PA00083555, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Photographies de Jean-Auguste Brutails de l'église Saint-seurin sur le site 1886 - Collections patrimoniales numérisées Universite Bordeaux Montaigne.