Une nécrologie a été publiée par Paulian & Decarpentries[3].
Entomologiste amateur, il s'est toujours intéressé à la faune de France dont il a une collection importante, surtout dans les microcoléoptères dont il prépare avec précision des minuscules genitalia.
Il étudie tout d'abord les Curculionides du genre Bagous. Puis, avec l'aide de Bourgoin, ses recherches sont axées sur l'étude des cétoines exotiques.
La liste de ses travaux a été établie par Menier[4]
Il manque à cette énumération un travail paru en 1971[5].
En fait il publie relativement peu par rapport à l'ensemble de ses découvertes. Nombre de taxa sont restés in litteris. Ses notes sont toujours très détaillées, accompagnées de nombreuses figures et de références.
↑Jean-Jacques Amigo, « Ruter (Gaston) », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises, vol. 3 Sciences de la Vie et de la Terre, Perpignan, Publications de l'olivier, , 915 p. (ISBN9782908866506).
↑Paulian (R.) & Descarpentries (A.), 1979. Gaston Ruter (2 novembre 1898-2 novembre 1979), Bulletin de la Société entomologique de France, 84, pp. 282-283.
↑Menier (J.-J.), 1980. Gaston Ruter (1898-1979). Liste chronologique de ses publications, Annales de la Société entomologique de France, (N.S.), 16, pp. 3-8.
↑Ruter (G.), 1971. Mission entomologique du Musée royal de l'Afrique Centrale aux Monts Uluguru, Tanzanie, 23, Coleoptera Cetoniidae, Revue de zoologie et de botanique africaine, 91, pp. 1-8.