Georg Maurer, né le à Reghin (Sächsisch Regen) en Transylvanie, Royaume de Hongrie, et mort le à Potsdam, est un poète, essayiste et traducteur allemand. Il écrit également sous les pseudonymes de Juventus, murus et de Johann Weilau.
Georg Maurer, né le à Reghin, grandit dans une famille d'enseignants plutôt pauvres[1]. La famille s'installe à Bucarest en 1911[1]. Il arrive en Allemagne en 1926. Il étudie l'histoire de l'art, les études allemandes et la philosophie à Leipzig et à Berlin jusqu'en 1932. Il est soldat pendant la Seconde Guerre mondiale. À partir de 1955, il est chargé de cours, puis professeur à l'Institut de littérature "Johannes R. Becher", où il exerce une influence décisive sur les auteurs de l'école de poésie saxonne : des lyriques comme Volker Braun, Sarah et Rainer Kirsch ou Karl Mickel[2].
Wolfgang Emmerich: Georg Maurer. In: Heinz Ludwig Arnold (Hrsg.): Kritisches Lexikon zur deutschsprachigen Gegenwartsliteratur. Das KLG auf CD-ROM. Zweitausendeins, Frankfurt am Main 2007, (ISBN978-3-86150-692-8) (mit umfangreicher Bibliographie).
Hansjörg Jerger: Darstellung und Verwendung des Naturgegenstandes in der Lyrik Georg Maurers, Dissertation, Berlin 1966.
Michaela Nowotnick: Aufscheinen des Heimatlichen. Georg Maurer im Kontext seiner rumäniendeutschen Herkunft. In: Auslaufmodell „DDR-Literatur“. Essays und Dokumente. Hrsg. von Roland Berbig. Christoph Links Verlag, Berlin 2018, S. 45–70.