Il expose par la première fois au Salon de 1817, année au cours de laquelle il remporte le second prix de Rome de sculpture avec Mort d'Agis, roi de Lacédémone. Il est couronné par le premier grand prix pour son œuvre Caïn maudit, entendant la voix de l'Éternel en 1820.
Il séjourne à la villa Médicis à Rome entre 1820 et 1825[2]. Jacquot est présent au Salon chaque année jusqu’en 1859 ; il y obtient du médaille de seconde classe en 1831 et une mention honorable en 1833.
Mort à Paris, il y est enterré au cimetière du Père-Lachaise[3]. Georges Jacquot a légué sa fortune à sa ville natale pour servir à la fondation d’un prix de dessin[4].
Une rue de Nancy, de la Grande Rue à la Pépinière, porte son nom depuis 1875[5].
Nancy, place Stanislas : Monument à Stanislas Leszczynski, 1831. La statue de celui qui fut roi de Pologne, érigée au milieu de cette place, est une des œuvres les plus connues de Georges Jacquot. Commandée en , elle est achevée en et inaugurée le [7].
Orléans, parc Louis-Pasteur : L'Homme au Loup, groupe en marbre[8].
musée du Louvre : Jeune Nymphe descendant dans l’eau, vers 1824, marbre, 102 cm, Salon de 1824, cette statue a été acquise par le ministère de la Maison du roi en [11].
La Moisson, 1857, au niveau de la balustrade supérieure de l’aile Colbert[13] ;
Trophée d’armes et Trophée et deux figures, 1851, bas-reliefs dans les frontons de la grande galerie orientale de la cour Napoléon[14] ;
deux cariatides en façade du deuxième étage du pavillon Denon[15].
place Gaillon, fontaine Gaillon : Jeune Triton chevauchant un dauphin, groupe en marbre dans la vasque supérieure. Cette œuvre a été présentée au Salon de 1828[16].
Jean-Chrétien Ferdinand Hoefer, Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, 1853.
Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains : contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers, 1865 (en ligne).
Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 1866-1877.