Ministre des Colonies | |
---|---|
- | |
Ministre du Commerce, de l’Industrie, des Postes et Télégraphes (d) | |
- | |
Sénateur de la Troisième République Jura | |
- | |
Ministre du Commerce, de l’Industrie, des Postes et Télégraphes (d) | |
- | |
Ministre du Commerce, de l’Industrie, des Postes et Télégraphes (d) | |
- | |
Député français Huitième législature de la Troisième République française Jura | |
- | |
Ministre des Colonies | |
- | |
Député français Septième législature de la Troisième République française Jura | |
- | |
Député français Sixième législature de la Troisième République française Jura | |
- | |
Député français Cinquième législature de la Troisième République française Jura | |
- |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nationalité | |
Activités |
Parti politique |
---|
Georges Trouillot, né à Champagnole (Jura) le et mort à Paris le , est un homme politique français.
Député (Union progressiste et Gauche radicale) du Jura de 1889 à 1906, il est en 1901 le rapporteur de projets de loi contre les congrégations religieuses catholiques, qu'il justifie en disant : « Je dis, et tous les faits le démontrent, que par leur nombre, par leur richesse, par le développement de leurs enseignements, par la presse, par le commerce, par la variété de leurs moyens d'action sur l'État, ils [les prêtres et religieux catholiques] ont créé un péril qui appelle aujourd'hui, par un devoir absolu, l'attention plus vigilante que jamais, du Parlement et des pouvoirs publics. Je dis, à moins d'admettre que le danger n'existe qu'au moment où il éclate et qu'on laisse l'explosion seule annoncer la catastrophe, que nous devons y veiller dès maintenant, pour l'honneur du pays de la Révolution française et pour la sûreté des libertés publiques[1]. »
Il est enterré à Plainoiseau, dans le Jura.