Il est l'auteur d'une Vie du cardinal de Bérulle (1646)[3], de paraphrases des Psaumes (1663 et 1665) et de poèmes dont le plus connu est Phyllidis oculi in astra metamorphosis ou la Métamorphose des yeux de Philis en astres (1677).
Voltaire a dit de lui qu'il « était du temps de l’aurore du bon goût et de l’établissement de l’Académie française. Sa Métamorphose des yeux de Philis en astres, poème, 1639[4], fut vantée comme un chef-d’œuvre, et a cessé de le paraître dès que les bons auteurs sont venus[5]. »
Il est un de ceux que Richelieu avait chargés de la critique du Cid.
↑Voltaire, Catalogue de la plupart des écrivains français qui ont paru dans le Siècle de Louis XIV, pour servir à l’histoire littéraire de ce temps, 1751.
↑Mis dans la bouche du narcisse pour la Guirlande de Julie : Lettres de Monsieur de Voiture [...] suivies de La Guirlande de Julie, collection « Prestige de l'Académie française », Paris, 1969, p. 263.