Selon les sources et le contexte, on rencontre différentes formes, telles que : Abagisu, Bageshu, Bagesu, Bagish, Bagishu, Bagisu, Bamasaba, Busigu, Geshu, Gesu, Gishu, Giso, Gisus, Lamasaba, Malaba, Masaba, Sokwia, Wugusu[1].
Ils parlent le masaaba (ou gisu), une langue bantoue dont le nombre de locuteurs était de 1 120 000 lors du recensement de 2002 en Ouganda[2]. Le swahili est également utilisé.
(en) Suzette Heald, « Witches and thieves : deviant motivations in Gisu society », in Man (Londres), 21 (1), , p. 65-78
(en) Suzette Heald, Controlling anger : the sociology of Gisu violence, Manchester University Press for the International African Institute, London, New York, 1989, 296 p. (ISBN0719025664)
(en) Suzette Heald, « Divinatory failure : an examination of the religious and social role of Gisu diviners », in Africa (Londres), 61 (3), 1991, p. 299-317
(en) J. S. La Fontaine, The Gisu of Uganda, International African Institute, Londres, 1959, 68 p.
(en) Gideon S. Were, « The economy of precolonial Bugisu », in Journal of African Studies (Los Angeles), 5 (2), été 1978, p. 173-184