La gliomatose cérébrale ou astroblastome décrit la croissance envahissante de cellules neuroépithéliales qui ont la capacité de se différencier en neurones, en oligodendrocytes et en astrocytes. La majorité des tumeurs cérébrospinales sont d'origine neuroépithéliale[1].
Dans les années 1890, le docteur Friedrich Rezek décrit devant l'université de Vienne à l'Institut für Anatomie und Physiologie des Centralnervensystems ce qu'il propose d'appeler « Gliomatosis cerebri diffusa »[2].
Jusqu'à l'avènement de l'IRM cérébrale le diagnostic de certitude ne peut être établi que post-mortem.
Et même avec l'IRM, cela reste difficile[3].
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Le centre Weill Cornell pour l'étude de la moelle et du cerveau (Weill Cornell Brain and Spine Center) ouvre en 2014 un registre international de la gliomatose cérébrale, géré par le Children's Brain Tumor Project, où les échantillons peuvent être déposés pour étude génomique[5].
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↑(en) Bendszus M, Warmuth-Metz M, Klein R, Burger R, Schichor C, Tonn JC, Solymosi L, « MR spectroscopy in gliomatosis cerebri », AJNR Am J Neuroradiol, vol. 21, no 2, , p. 375-80. (PMID10696026, lire en ligne [html])modifier
↑(en) Kleihues P, Louis DN, Scheithauer BW, Rorke LB, Reifenberger G, Burger PC, Cavenee WK, « The WHO classification of tumors of the nervous system », J Neuropathol Exp Neurol, vol. 61, no 3, , p. 215-25; discussion 226-9. (PMID11895036)modifier
↑(en) Fuller GN, Scheithauer BW, « The 2007 Revised World Health Organization (WHO) Classification of Tumours of the Central Nervous System: newly codified entities », Brain Pathol, vol. 17, no 3, , p. 304-7. (PMID17598822, DOI10.1111/j.1750-3639.2007.00084.x)modifier
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
(de) Friedrich Rezek, « Ein primäres polymorphes Sarkom des Gehirns mit Tafel III », dans Arbeiten aus dem Institut für Anatomie und Physiologie des Centralnervensystems an der Wiener Universität ; Herausgegeben von Prof. Dr Heinrich Obersteiner, Leipzig und Wien, Franz Deuticke, (lire en ligne), p. 58