Glénouze

Glénouze
Glénouze
L'église de Glénouze.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Quentin Sigonneau
2020-2026
Code postal 86200
Code commune 86106
Démographie
Gentilé Glénouzéens
Population
municipale
93 hab. (2021 en évolution de −19,13 % par rapport à 2015)
Densité 9,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 50″ nord, 0° 00′ 26″ ouest
Altitude Min. 50 m
Max. 123 m
Superficie 9,65 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Loudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Glénouze
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Glénouze
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Glénouze
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Glénouze

Glénouze est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Glénouzéens[1].

Géographie

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Localisation

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À l'extrême nord-ouest du département de la Vienne, le territoire de la commune de Glénouze, dans sa partie sud-ouest, se trouve à moins de 500 m du département des Deux-Sèvres (commune de Pas-de-Jeu) et de la Dive, un sous-affluent de la Loire.

Le bourg de Glénouze est implanté au croisement des routes départementales 19, 47 et 57, et se situe en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest de Loudun et seize à l'est de Thouars. La commune est également desservie par la route départementale 14 qui forme sa limite nord.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Glénouze
Curçay-sur-Dive Les Trois-Moutiers
Glénouze Mouterre-Silly
Ranton Saint-Laon

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loudun à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 631,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Glénouze est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,7 %), forêts (11 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (2,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Glénouze est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Glénouze est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[16]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 2],[17], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [18],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Glénouze.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 17,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010, par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Le nom du village proviendrait du latin glennare qui signifie glaner et du suffixe -osa qui indique un terrain[24].

Comme le reste de la France, Glénouze accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Et en tant que symbole, il est attaqué au moment de la réaction royaliste à la fin 1799, replanté puis attaqué à nouveau[25].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001 réélu en 2008[26] Jacques Denize    
avril 2016   Quentin SIGONNEAU    
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives

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La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 93 habitants[Note 4], en évolution de −19,13 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
175149192189201184207239235
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
216219215209197204206215227
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
217241239226247214225244230
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
171175129128114110113114113
2018 2021 - - - - - - -
10093-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[31], il n'y a plus que neuf exploitations agricoles en 2010 contre onze en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont légèrement augmenté (+ 2 %) et sont passées de 583 hectares en 2000 à 595 hectares en 2010[31]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[réf. nécessaire].

59 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orge et maïs), 29 % pour les oléagineux (colza et tournesol) et 4 % pour le fourrage. En 2000, deux hectares (aucun en 2010) étaient consacrés à la vigne[31].

L'élevage de chèvres représentait 548 têtes[Quand ?] réparties sur trois fermes. Cette disparition est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou-Charente, cet élevage au cours des deux dernières décennies : division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution des structures de production caprine a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite et encouragé l’adaptation structurelle des élevages restants[32].

L'élevage de volaille a, quant à lui, disparu en 2010 (99 têtes sur quatre fermes en 2000)[31].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château de Jalnay du XIXe siècle[33].
  • Église Notre-Dame ou Saint-Léon possède un beau clocher-mur. L'édifice a été construit au cours de deux campagnes. L'édifice primitif, une petite chapelle, a été agrandi en 1506. La cloche de l'église date de 1727.
  • L'intersection du 47e parallèle nord et du méridien de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune, près du lieudit la Corbinière (voir le Degree Confluence Project).

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne

Bibliographie

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Glénouze et Loudun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Loudun » (commune de Loudun) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Loudun » (commune de Loudun) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Glénouze ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loudun », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Glénouze », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  17. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  18. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Glénouze », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes, Éditions Flohic, 2002, (ISBN 2-84234-128-7).
  25. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 154
  26. Fichier des maires de la Vienne sur le site de la Préfecture. Consulté le 8 juillet 2009
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  32. Agreste – Bulletin n°11 de décembre 2005
  33. La Vienne, Patrimoines et Médias, coll. « Châteaux, Manoirs et Logis », , 399 p. (ISBN 2-910137-11-2), p. 34.