Goincourt

Goincourt
Goincourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
Benoît Bonnellier
2023-2026
Code postal 60000
Code commune 60277
Démographie
Gentilé Goincourtois, Goincourtoises
Population
municipale
1 571 hab. (2021 en évolution de +26,29 % par rapport à 2015)
Densité 241 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 37″ nord, 2° 02′ 13″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 173 m
Superficie 6,52 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Beauvais
(banlieue)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beauvais-2
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Goincourt
Liens
Site web https://goincourt.fr/

Goincourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Ambiance de la commune : la mairie et le chevet de l'église.

Commune picarde du Beauvaisis, jouxtant au sud-ouest la préfecture de l'Oise et desservie par l'ancienne route nationale 181 (actuelle RD 981), route Gisors - Beauvais, ainsi que par la route de Rouen, la route nationale 31.

En 1851, Louis Graves indiquait que « le territoire de Goincourt est inégal, tourmenté, à pentes dirigées vers l'Avelon dont le cours lui sert en partie de limite vers le sud. Il remonte au nord sur le coteau qui porte la forêt du Parc, au sud-est l'extrémité du coteau Saint-Jean. Il est parsemé de tertres à base argileuse; des bosquets sont épars à sa superficie.
Le chef-lieu, central, est formé d'une rue principale, large, rectiligne, dite rue du Pont, sur laquelle s'embranchent, à angle droit, les rues de Courcelles, d'En-haut et une troisième voie. On traverse l'Avelon qui_ touche au village, au moyen d'un pont compris dans le chemin dit de Boyenval ou de la Fraiche[1] ».

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Beauvais, Le Mont-Saint-Adrien, Rainvillers, Saint-Paul et Aux Marais.

Communes limitrophes de Goincourt
Le Mont-Saint-Adrien Beauvais
Saint-Paul Goincourt
Rainvillers Aux Marais

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Avelon, le ru d'Auneuil[2],[3],[Carte 1].

L'Avelon, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune de Senantes et se jette dans Rivière de Saint-Just à Beauvais, après avoir traversé onze communes[4]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Avelon sont données par la station hydrologique située sur la commune de Beauvais. Le débit moyen mensuel est de 1,02 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 15,5 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 22,7 m3/s, atteint le même jour[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Goincourt[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Goincourt est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beauvais[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,8 %), prairies (28,5 %), forêts (15,3 %), zones urbanisées (10,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 643, alors qu'il était de 565 en 2013 et de 547 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 94,8 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 89,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Goincourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,1 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Goincourt en 2018.
Typologie Goincourt[I 2] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 94,8 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,1 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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En 2023, la commune est desservie par les lignes 511, 518, des lignes scolaires et le service de transport à la demande Corolis à la demande - Zone Centre du réseau Corolis. Elle est également desservie par les lignes 607, 610, 618, 6138 et 6149 du réseau interurbain de l'Oise[18].

Guinicurtis, vers 1030; Gohincurte 1147; formé sur le nom d'homme germanique Godin (ou Godila) et le latin cortem (domaine)[19].

Préhistoire

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Goincourt est certainement d'origine préhistorique, car on a trouvé sur la commune des bifaces en silex[réf. nécessaire].

Louis Graves indiquait au milieu du XIXe siècle « ce lieu relevait du comté de Beauvafs.
L'abbaye de Saint-Paul avait la seigneurie du village. Cependant on trouve, dans les mémoires relatifs aux guerres du seizième siècle, des capitaines du nom de Goincourt.
L'abbesse avait aussi le patronage de la cure qui lui avait été donnée dans le onzième siècle par Guy. évêque de Beauvais. Elle percevait les deux tiers des dîmes et le curé le reste
[1] ».

Temps modernes

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Les eaux ferrugineuses de Goincourt étaient préconisées aux quinzième et seizième siècles. On essaya vainement, vers 1752, d'en rétablir l'usage[1].

Époque contemporaine

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Le village s'inscrit dans la tradition des grands maîtres potiers du Beauvaisis et du Pays de Bray aux XVIIIe et XIXe siècles avec notamment la Manufacture de l'Italienne où débuta Auguste Delaherche.

En 1851, Goincourt dispose d'une compagnie de pompiers et de sa pompe à incendie. On trouvait dans la commune plusieurs carrières, une argilière, un four à chaux, une faïencerie, une manufacture de vitriol, deux moulins à eau. La population était principalement agricole, mais quelques ouvriers embauchaient à Beauvais[1].

Goincourt a été desservi en 1875 par une gare sur la ligne de Beauvais à Gisors-Embranchement. Les installations ferroviaires sont abandonnéss en 1973[20], mais le trafic avait cessé auparavant.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Beauvais-Sud-Ouest[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beauvais-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Goincourt est membre de la communauté d'agglomération du Beauvaisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 20041 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1865   M. Piet    
août 1887   Eugène Languedoc    
         
1977 1983 Jacqueline Dobel    
mars 1983 mars 2001 Pierre Dubus    
mars 2001 mars 2008 Jean-Jacques Serrano    
mars 2008 avril 2010[23],[24] Isabelle Gourmelen   Démissionnaire
mai 2010[25] mai 2020 Jacques Billoré[26],[27]   retraité de la SNCF
mai 2020[28] juillet 2023 Jean Levoir   Démissionnaire
octobre 2023[29] En cours
(au 9 octobre 2023)
Benoît Bonnellier    

Équipements et services publics

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L'école.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 571 habitants[Note 6], en évolution de +26,29 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
428413412397452505545541559
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
585609486536618603614590620
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
583537476519535486499573689
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6808611 0731 2531 1861 2791 2071 2541 267
2014 2019 2021 - - - - - -
1 2481 5441 571------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 719 hommes pour 748 femmes, soit un taux de 50,99 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
0,8 
8,8 
75-89 ans
9,9 
18,1 
60-74 ans
18,3 
19,8 
45-59 ans
20,8 
16,2 
30-44 ans
19,1 
14,9 
15-29 ans
13,4 
20,9 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Lubin ;
  • Ancienne faïencerie[35].

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 506 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/08/1968 au 01/06/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Beauvais comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Goincourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Beauvais, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins,, , 338 p. (lire en ligne), p. 207-209, sur Google Livres.
  2. Sandre, « le ru d'Auneuil »
  3. « Fiche communale de Goincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  4. Sandre, « l'Avelon »
  5. « Station hydrométrique L'Avelon à Goincourt », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  6. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Goincourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Transports en commun à Goincourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  19. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 323 ;
  20. Bulletin officiel de RFF, n° 70 bis, 20 février 2013.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Les maires de Goincourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. Fanny Dollé, « Goincourt, démissions en cascade au conseil », Le Courrier picard, édition Beauvais-Clermont,‎ (lire en ligne).
  24. Patrick Caffin, « Goincourt : La maire démissionne à la surprise générale », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ , p. 12 (lire en ligne).
  25. « Jacques Billoré, le blogueur devenu maire », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Billoré, 62 ans, a été élu maire mardi soir lors du conseil municipal. Il a remporté huit voix dès le premier tour, celles de la liste sur laquelle il a été élu lors des dernières élections municipales partielles ».
  26. « Sans délégation et candidat à Goincourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Billoré, maire de Goincourt, privé de délégations depuis un an par ses conseillers et mis en minorité, a finalement décidé de se représenter ».
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Goincourt »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Union des Maires de l'Oise (consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. Carla Bastoni, « À Goincourt, Benoît Bonnellier est élu comme nouveau maire : À Goincourt, le nouveau conseil municipal s'est rassemblé pour élire le nouveau maire de la commune. Le vendredi 6 octobre 2023, Benoît Bonnellier, ancien adjoint chargé des travaux, a été élu », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En tant que seul candidat en lice, Benoît Bonnellier est élu avec... 19 voix sur 19 ».
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Goincourt (60277) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  35. Notice no IA60001034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.