Grand-Reng | |||||
L'église de la Sainte-Vierge, à Grand-Reng. | |||||
Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Thuin | ||||
Commune | Erquelinnes | ||||
Code postal | 6560 | ||||
Zone téléphonique | 064 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Grand-Rentois(e)[1] | ||||
Population | 1 487 hab. (1/01/2020) | ||||
Densité | 179 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 19′ 44″ nord, 4° 04′ 14″ est | ||||
Superficie | 830 ha = 8,30 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation de Grand-Reng au sein d'Erquelinnes | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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Grand-Reng (en wallon: Grand-Rin) est un village de la province de Hainaut en Belgique. En bordure immédiate de la frontière française (département du Nord) il est lié historiquement au village de ‘Vieux-Reng’ qui se trouve en France. Administrativement il fait aujourd’hui partie de la commune commune d'Erquelinnes (Région wallonne de Belgique).
Ce petit village, adossé à la frontière française, est proche de la Route Nationale 40 reliant Mons à Beaumont.
Le 13 mai 1794, le village a été le site de la Bataille de Grand-Reng (ou ‘bataille de Rouveroy’) lorsque Franz Wenzel (en), comte von Kaunitz-Rietberg de l'armée autrichienne empêcha l’armée française (sous les ordres de Louis Charbonnier et Jacques Desjardin) de traverser la Sambre.
Un jour, un grand seigneur et sa famille à bord d'un carrosse tiré par quatre chevaux, accompagné du cocher, des laquais et de domestique, avaient été précipités, après une course folle, dans l'étang de la Trouille où toutes les recherches faites pour les retrouver furent infructueuses. Chaque année, l'équipage au complet revient, à la grande frayeur des vivants et vogue silencieusement sur l'eau déserte. Tout l'équipage apparaît alors aux vivants, la peur se lit dans leurs yeux. Quand le jour s'annonce l'attelage fantôme regagne les profondeurs de l'étang[2].