Grangettes | ||||
L'église de Grangettes | ||||
Armoiries |
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Administration | ||||
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Pays | Suisse | |||
Canton | Fribourg | |||
District | Glâne | |||
Syndic | Christophe Menétrey | |||
NPA | 1686 | |||
No OFS | 2079 | |||
Démographie | ||||
Population permanente |
213 hab. (31 décembre 2022) | |||
Densité | 64 hab./km2 | |||
Langue | Français | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 46° 40′ 42″ nord, 6° 57′ 43″ est | |||
Altitude | 920 m Min. 770 m Max. 1 047 m |
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Superficie | 3,31 km2 | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton de Fribourg
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Liens | ||||
Site web | grangettes-pres-romont.ch | |||
Sources | ||||
Référence population suisse[1] | ||||
Référence superficie suisse[2] | ||||
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Grangettes (Grandzètè Écoutez en patois fribourgeois[3]) est une localité et une commune suisse du canton de Fribourg, située dans le district de la Glâne.
Selon l'Office fédéral de la statistique, Grangettes mesure 331 ha[2]. 5,1 % de cette superficie correspond à des surfaces d'habitat ou d'infrastructure, 68,8 % à des surfaces agricoles et 26,2 % à des surfaces boisées [2].
Grangettes est limitrophe de Le Châtelard, Marsens, Massonnens, Sâles et Vuisternens-devant-Romont.
Selon l'Office fédéral de la statistique, Grangettes compte 213 habitants en 2022[1]. Sa densité de population atteint 64 hab./km2.
Le graphique suivant résume l'évolution de la population de Grangettes entre 1850 et 2008[4] :
L’église dédiée à Saint-Maurice est érigée sur une butte isolée. Elle comporte un chœur gothique datant de 1430, une nef et un clocher reconstruits à partir de 1770 après un incendie. L’édifice restauré en 1980 a alors retrouvé sa voûte en bois du XVIIIe siècle. La célèbre croix calvaire à double face, en pierre, qui ornait précédemment le cimetière, a alors été mise à l’abri dans l’église. Juchée sur une colonne monolithe en pierre, elle est vénérée à Grangettes depuis la fin du Moyen Âge et a donné le thème des vitraux neufs, dont la réalisation a été confiée au peintre italien Anselmo Francesconi (1984). Ils illustrent les scènes douloureuses de la Passion du Christ qui culminent à la Crucifixion (Verrier Michel Eltschinger)[5].