Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Torcy à 14 km à vol d'oiseau[15], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Gretz-Armainvilliers comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 1],[19],[Carte 1] :
la « forêt de la Léchelle et de Coubert » (2 069,22 ha), couvrant 9 communes du département[20] ;
les « forêts d'Armainvilliers et de Ferrières » (5 682,94 ha), couvrant 12 communes du département[21].
Au , Gretz-Armainvilliers est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22].
Elle appartient à l'unité urbaine de Gretz-Armainvilliers[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[23],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (55,8% ), zones urbanisées (17,6% ), prairies (9,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,3% ), eaux continentales[Note 6] (3,5% ), terres arables (2,7 %)[27].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Frange ouest du plateau de la Brie, dont le projet a été arrêté le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) des communes de la Frange Ouest du Plateau de Brie[30].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[31]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 3 638 dont 52,5 % de maisons et 47,2 % d'appartements[Note 7].
Parmi ces logements, 94,7 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants.
La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 55,7 % contre 42,8 % de locataires[32] dont, 22,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 1,5 % logés gratuitement.
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Le nom de la localité est mentionné sous les formes « In pago Parisiaco in villa que dicitur Gressus » en 820[33] ; Gres en 1182[34] ; Gressium en 1209[35] ; Gresseium in Bria en 1280 ([36]) ; Gres en Brie en 1389[37] ; Gres en Brye en 1466[38] ; Grez en Brie en 1774[39] ; Grez au XVIIIe siècle[35] ; Gretz ou Grès en 1829[35] ; Gretz-Armainvilliers (Décret du ).
Présence de ruines d'une tour carrée datant du XIIIe siècle et d'un château. Depuis au moins 1210, il existait une famille féodale locale, les de Gretz/de Grez[40],[41], issue de Barthélemy de Gretz, fils de Béatrice et mari d'Havise, seigneur de Nesles, père d'Hugues, Adam, Henri et Guillaume (seigneur de Gretz en 1249-1266). Appartiennent à cette famille le maréchalJean de Gretz de Corbeil[42] († 1318), fils d'autre Jean de Corbeil, et les prélats Guillaume († 1293) et Pierre de Grez († 1325), évêques d'Auxerre, ou Henri de Grez († 1246), évêque de Chartres. Les sire de Gretz, dès cette première famille, avaient aussi, au moins en bonne part, la forêt d'Armainvilliers (cf. Le site de l'ONF, sur Google, historique de la forêt d'Armainvilliers), mais pas la seigneurie qui était alors en la possession de seigneurs particuliers.
À la mort en 1325 de l'évêque d'Auxerre Pierre, seigneur de Gretz, fort endetté auprès du roi Charles, celui-ci saisit Gretz et le vend 1 000 livres à son cousin Philippe de Valois, qui le donne à son chambellan Jean Ier Viole d'Andrezel. Sous Charles VIII, Michel du Chastenez du Feuillet, maître d'Hôtel du roi, est seigneur de Gretz, qu'il vend en 1496 avec Marois, Combreux, Armainvilliers et Petit-Musse (à Gretz), à Jacques de (La) Mineray[43], maître d'Hôtel du roi, vicomte de Rouen, suivi par son fils François (fl. 1510-1526), lui-même père de Charles de (La) Mineray ; désormais Armainvilliers et Gretz ont les mêmes seigneurs (auparavant, Armainvilliers avait des seigneurs particuliers : l'abbé Lebeuf, dans son Histoire du diocèse de Paris abondamment reprise par Louis Michelin ([40], p. 527) en cite quelques-uns, comme Gaucher du Chastel en 1380 ; Jean de Rivière en 1397 ; Jean II de Popincourt sous Louis XI ; Pierre Turquant en 1470, auditeur au Châtelet). En 1580, Pierre de Sourhouette du/de Halde, écuyer et premier valet de chambre du Roi, capitaine-gouverneur d'Etaples, seigneur de Longvilliers[44], Marquise, Recques en Boulonnais et Dannes, Avrilly[45], châtelain de Beauche en Auxerrois, achète la seigneurie de Gretz-Armainvilliers ; il était l'époux de Lucrèce de Mauny, et le père de Charles et Diane du/de Halde († 1650, elle épouse successivement deux fils cadets du ducCharles d'Halluin : en 1587 Robert († 1587 à Coutras) et en 1588 Léonor († 1595 au siège de Doullens) ; puis François de Belleval-Rouvroy[46], † 1602 ; enfin Jacques de Machat de La Meschaussée-Pompadour).
En 1890, Clément Ader décolla avec le premier avion du monde appelé Éole.
Le 22 juin 1944 les installations ferroviaires de Gretz-Armainvilliers ont été bombardées par la 8th US Air Force simultanément avec la ville de Tournan-en-Brie. Des recherches récentes dans les archives américaines, désormais accessibles, permettent de connaitre dans le détail le déroulement de ce bombardement[47].
L’escadrille de 52 bombardiers B-24 Liberator, volant en formation de quatre Combat box de 12 à 13 avions chacun, avait trois objectifs précis. Deux des Combat box ont pris pour cible la gare de triage, un autre la gare elle-même et l’embranchement vers Bâle-Mulhouse, le dernier a bombardé le centre-ville de Tournan-en-Brie. Pour parfaitement repérer et viser les cibles l’escadrille avait pour ordre d’effectuer un premier passage au-dessus de Tournan-en-Brie et de Gretz-Armainvilliers avant de revenir pour lâcher les bombes, ce qui fut fait.
C’est en application du Transportation Plan destiné à retarder l’acheminement des renforts allemands vers le front de Normandie, où la bataille était encore indécise quinze jours après le débarquement que ces trois objectifs ont été bombardés. Les 100 tonnes de bombes qui furent déversées entre 19h14 et 19h20 sur les trois objectifs ont effectivement coupé pour un temps les liaisons ferroviaires et routières vers l’est. Le triage de Gretz-Armainvilliers a été rendu inutilisable jusqu’à la fin de la guerre. Les Allemands s’efforceront, à marche forcée, de rétablir la liaison ferroviaire Paris-Mulhouse, et de faire déblayer le centre de Tournan-en-Brie pour que la circulation routière vers l’est puisse reprendre au plus vite.
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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [55],[56].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Gretz-Armainvilliers est assurée par le SICTEU Gretz-Armainvillers, Liverdy-en-Brie, Presles-en-Brie et Tournan-en-Brie pour le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [57],[58],[59].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[60]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Suez[57],[61].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Tournan-en-Brie qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [57],[62],[63].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[65].
En 2021, la commune comptait 8 556 habitants[Note 9], en évolution de −1,66 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit un taux proche de la moyenne départementale (39,6 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,4 %) est légèrement supérieur au taux départemental (19,9 %).
En 2018, la commune comptait 4 136 hommes pour 4 430 femmes, soit un taux de 51,72 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,31 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 2]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
0,8
4,8
75-89 ans
7,6
13,2
60-74 ans
14,0
20,6
45-59 ans
20,0
19,3
30-44 ans
20,3
18,2
15-29 ans
17,7
23,4
0-14 ans
19,5
Pyramide des âges du département de Seine-et-Marne en 2021 en pourcentage[67]
Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2009)
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Club formateur ayant à de nombreuses reprises obtenu le label d'or et le label d'argent de la fédération française pour son école de handball qui est d'ailleurs devenue championne de Seine-et-Marne en 2009. Le club est désormais présidé par Guillaume Febvret.
Le club de Karaté de Gretz-Tournan est affilié à la Fédération Française de Karaté. Ce club accueille des enfants à partir de quatre ans comme des adultes, des débutants ou des pratiquants confirmés. Des stages d'initiation au Karaté ont également été dispensés par des experts de ce domaine tels que Serge Serfati.
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 2 932, occupant 3 765 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,6 % contre un taux de chômage de 8,3 %.
Les 24,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,6 % de retraités ou préretraités et 7,4 % pour les autres inactifs[69].
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 671 dont 2 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 41 dans l’industrie, 108 dans la construction, 461 dans le commerce-transports-services divers et 59 étaient relatifs au secteur administratif[70].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[72]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 16 ha en 1988 à 8 ha en 2010[71].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Gretz-Armainvilliers, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l’agriculture à Gretz-Armainvilliers entre 1988 et 2010.
Église Saint-Jean-Baptiste : triptyque de la Vie de la Vierge (panneaux peints de la fin du XVe, classés, récemment attribués à Jean Changenet et terminés par Giovanni Grassi[74]), gisant de Jean de Gretz (1318) (MH), Vierge à l'Enfant en bois peint, deux dalles tumulaires XIIIe
Parc du Val des Dames : l’arboretum s’étend sur 16 hectares et renferme une multitude d’espèces d’arbres venant des cinq continents, château du Val des Dames, Uranoscope de l'Île-de-France (planétarium et observatoire d'astronomie).
Château Pereire : propriété des frères Pereire, détruit en 1950.
Forêt domaniale d'Armainvilliers, parc du domaine Péreire, étang d'Armainvilliers, étang de la Mare Pinçon, étang de la Barrière Noire, parcours de santé le long du golf dans la forêt.
Sosthènes de La Rochefoucauld, duc de Doudeauville (1785-1864), Grand d'Espagne, aide-de-camp du roi Charles X de France, directeur (ministre) des Beaux Arts, député, commandeur de la Légion d'honneur, décédé au château d'Armainvilliers.
Clément Ader, créateur du premier engin volant l'Éole, qu'il fit décoller le dans les jardins du domaine Pereire, aujourd'hui golf Clément-Ader.
Les familles Pereire et Rothschild : en 1852, les frères Pereire avaient acquis une partie des forêts de Crécy et d'Armainvilliers, en bordure des domaines des Rothschild. Le château Pereire à Armainvilliers (atteint par des bombes en 1944, puis détruit) fut construit en 1862-1864. Ainsi, vers 1870, les voisins du domaine Pereire étaient : au nord, le magnifique château de Ferrières propriété d'Edouard de Rothschild, à l'est, le château Rothschild d'Armainvilliers, au bord d'un grand étang, propriété d'Edmond de Rothschild. Entre les Pereire et les Rothschild, dont les châteaux voisinaient, c'était une opposition irréductible, au point que le chef de gare de Gretz s'arrangeait pour éviter les rencontres.
Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Gretz-Armainvilliers », p. 1438–1441
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gretz-Armainvilliers comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois…
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Le statut familial du maréchal de Corbeil alias de Gretz et de son père homonyme, n'est pas très clair : sont-ils des Grez en lignée patronymique, ou sont-ils des Corbeil (des du Donjon de Corbeil ?) devant leur nom et leur seigneurie de Gretz/Grez à la femme de Jean de Corbeil père, qui serait Isabelle de Gretz ? Mais cette dernière, dite aussi femme de Jean II de Courtenay-Yerres, est-elle bien la mère(selon l'Intermédiaire des chercheurs et curieux : "Jean, maréchal de France sous Philippe-le-Bel (1299), mort la veille de Saint-Mathieu 1318, était fils de Jean de Corbeil, seigneur de Gretz par son mariage avec Isabelle de Gretz, veuve de Pierre de Courtenay, sr d'Yères"), ou plutôt la sœur du maréchal (Racines & Histoire, Courtenay, p. 25) ? Ou alors est-ce elle qui serait Isabelle de Corbeil, apportant ce nom aux Gretz ? La question s'est aussi posée de la localisation de Grez, certains y voyant Grez en Gâtinais, près de Nemours : mais le procès-verbal de la profession de l'évêque Guillaume de Gretz, le 22 juin 1280, le nomme bien Guillelmus de Gresseio in Bria, de Gretz en Brie (abbé Eugène Chartraire, Carlulaire du Chapitre de Sens, p. 187, extrait du martyrologe de Sens).
↑Sans doute Avrilly près du Donjon, car parmi les Hommages rendus à la Chambre de France (Chambre des comptes de Paris ; sénéchaussée de Bourbonnais, p. 396, éd. Léon Mirot et Jean-Pierre Babelon, Archives nationales, 1985), on trouve : « Avrilly (Allier, cant. Le Donjon) : Pierre Sourhouette du Halde, baron d' ». Donc pas Avrilly à Trévol, ni Avrilly dans l'Eure qui a manifestement d'autres seigneurs. Pourtant, dans son Mémoire sur les comtes de Ponthieu de la deuxième race et sur les familles qui en sont issues, Alcan-Lévy, Paris, 1868, p. 68, René de Belleval indique Avrilly près Damville ; il est vrai qu'il donne aussi Beauche près de Brezolles, alors que le fief de Pierre du Halde est souvent précisé en Auxerrois, et qu'il possède aussi Vincelottes, mouvant du comté d'Auxerre : hommage au roi rendu le 3 février 1586).
↑« François de Belleval de Rouvroy, p. 66-70 », sur Mémoire sur les comtes de Ponthieu de la deuxième race et sur les familles qui en sont issues, (anonyme : René de Belleval), Alcan-Lévy, Paris, 1868.
↑Gérard Durand, 22 juin 1944 Tournan bombardé par erreur ? Ville de Tournan-en-Brie éd. (2019), (ISBN979-10-699-3877-9).
↑« Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01, , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Gretz, Tournan : Les habitants regrettent le divorce : La ville de Gretz rejoindra les villes d'Ozoir, Férolles-Attily et Lésigny. Tournan regarde vers le Val Bréon. Gretzois et Tournanais le déplorent », Le Pays briard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sé.B., « Jean-Paul Garcia (DVD) brigue un troisième mandat à Gretz », Le Parisien, édition et Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« A 52 ans — il les aura lundi —, Jean-Paul Garcia, le maire (DVD) de Gretz-Armainvilliers, briguera en mars un troisième mandat consécutif. (…) La liste qu’il ne devrait plus tarder à dévoiler sera en effet renouvelée de moitié : « Sur les vingt-cinq élus de la majorité, douze se représentent », affirme celui qui a été élu en 2001 à la suite de Gilbert Pillet, l’ancien maire (DVD) durant trente ans ».
↑Julien Van Caeyseele, « Jean-Paul Garcia a été réélu maire de Gretz-Armainvilliers : Le conseil municipal d’installation du maire s’est déroulé samedi. Le maire sortant a été réélu à la majorité face à Christian Moisset, qui s’était également porté candidat au poste de premier élu de la commune », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le )« Jean-Paul Garcia a été élu maire de Gretz-Armainvilliers, samedi, lors de premier conseil municipal de la mandature. Lors du premier tour de l’élection municipale, sa liste « Union gretzoise » était arrivée en tête avec quelque 63,3 % des suffrages. La liste de Christian Moisset obtenant quant à elle 31,3 % des votes et 5,5 % pour Denise Lemaire ».