Exceptionnelle — la prévalence, dans la population générale, est estimée entre 1⁄10 000 et 1⁄30 000 — la grossesse hétérotopique est devenue plus fréquente depuis l'essor de la procréation médicalement assistée et notamment des inducteurs de l'ovulation[1] : le risque est estimé à un sur 100, pour les grossesses obtenues dans ces conditions[2],[3].
Encore plus rare, une grossesse hétérotopique avec 3 semaines d'écart a été constaté en 2023 à Clermont-Ferrand[4]. Le premier embryon, situé dans le cul-de-sac de Douglas, a été retiré pour permettre à la grossesse intra-utérine d'aller à son terme.
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↑(en) Tal J, Haddad S, Gordon N, Timor-Tritsch I, « Heterotopic pregnancy after ovulation induction and assisted reproductive technologies: a literature review from 1971 to 1993 », Fertil Steril, vol. 66, no 1, , p. 1-12. (PMID8752602)modifier
↑(en) Bassem Refaat, Elizabeth Dalton et William L Ledger, « Ectopic pregnancy secondary to in vitro fertilisation-embryo transfer: pathogenic mechanisms and management strategies », Reprod Biol Endocrinol, vol. 13, no 1, , p. 30. (PMID25884617, PMCIDPMC4403912, DOI10.1186/s12958-015-0025-0, lire en ligne [html])modifier
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
D Diallo, Yves Aubard, Pascal Piver et Jean-Henri Baudet, « Grossesse hétérotopique: à propos de 5 cas et revue de la littérature (Heterotopic pregnancy: a report of 5 cases and review of the literature) », J Gynecol Obstet Biol Reprod, vol. 29, no 2, , p. 131-41. (PMID10790624, lire en ligne)