Louis Graves décrivait en 1850 le territoire de la commune comme « traversé de l'est à l'ouest par les petits ruisseaux qui se réunissent au-dessous du bourg pour former la Verse; il présente au nord et au midi des coteaux ondulés, qui rendent très-inégale sa superficie considérée en général : les coteaux septentrionaux sont boisés; le reste du sol est en prairies ou terres labourables. Le chef-lieu est au centre du territoire, sur les deux côtés de la rivière. Il est formé de deux rues principales se croisant à angle droit, traversées par la grande route de Paris à Saint-Quentin, et par l'ancienne route de Nesle à Chauny. Ces deux rues et quelques autres sont pavées. Le bourg est assez bien bâti, ce qu'on doit attribuer aux nouvelles reconstructions nécessitées, par les incendies, qui, à diverses reprises, ont détruit une grande partie des habitations[1] ».
La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiquesArtois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par la Verse, la Verse de Beaugies[2], la Verse de Guivry[3], le cours d'eau 05 de la commune de Guiscard[4], le fossé 01 de la commune de Maucourt[5], le fossé 04 de la commune de Guiscard[6], le Fossé de la Gleue[7], le fossé de la Warnelle[8], le ru de l'abbaye[9], le ru des Brules[10], le ru Saint-Médard[11] et un autre petit cours d'eau[Carte 1].
La Verse, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune de Ugny-le-Gay et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Sempigny, après avoir traversé 15 communes[12]. La verse est un sous-affluent de la Seine par l'Oise.
Afin de lutter contre les inondations, telle celle de 2007, la Verse, qui avait été busée et enterrée, est remise à ciel ouvert en 2018/2019[13],[14].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 13 km à vol d'oiseau[18], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].
Au , Guiscard est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (79,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (5,9 %), prairies (5,1 %), forêts (1,5 %)[25]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Guiscard en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) égale à celle du département (2,5 %) et inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 59,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Un projet de création de parc éolien, composé de cinq aérogénérateurs, de 80 m de hauteur de mât et de 126,5 m de hauteur en bout de pâles, est envisagé depuis 2013 au hameau de Buchoire et fait l'objet d'un permis de construire délivré par le préfet de l'Oise en janvier 2022, malgré l'opposition de communes voisines et de leurs habitants, notamment de la conurbation de Chauny-Tergnier-La Fère, proche de l'implantation retenue[27]. La réalisation de projet permettrait la production de 10,25 MW/h d'énergie électrique[28].
Le nom primaire de la localité est attesté sous les formes Maigni vers 970 ; Magniacum en 988 ; Magny en 1641[29], le duc Simon de Magny (1142-1188) possédant ce fief. Puis ensuite sous la forme Guiscard (1705), le lieutenant général Louis de Guiscard, fils du sous-gouverneur de Louis XIV achète le domaine en 1699. Il obtient l'érection de sa terre en marquisat en 1705 et, quelques années plus tard, le village prend le nom de Magny-Guiscard en 1757 ; Magny-Guiscard en 1787[30] puis finalement Guiscard[31],[32]. La localité porte le nom de Guiscard depuis 1791[33].
Louis Graves indique « Guiscard est un des lieux anciens du Vermandois ; son église était au nombre dee celles qui furent données vers 988 au chapitre de la cathédrale de Noyon par l'évêque Lyndulphe, donations confirmées par le pape Jean XV. Ce lieu s'appelait alors Maigni ; la terre en était considérable : il fut possédé par des seigneurs, qui en prirent le nom jusqu'au treizième siècle. Il passa successivement ensuite aux maisons de Marteville, d'Hangest, de Gouffier-Bonnivet, d'Ongnies, d'Ailly, de Chaulnes[1] ».
Au milieu du XVIIe siècle, sa descendante Charlotte d'Ailly, alors veuve du maréchal duc de Chaulnes, fait restaurer le château de Magny, qu'elle finit par faire presque complétement reconstruire de 1671 à 1674[35] par l'architecte Jules Hardouin-Mansart[36]. Elle y reçoit plusieurs fois Louis XIV et la cour et y meurt en 1681. Edifié en brique et pierre sur un terre-plein maçonné entouré de fossés, le château s'insérait alors dans un vaste parc dessiné à la française[37]. Mis en vente après la mort de son fils, Charles d'Albert d'Ailly, 3e duc de Chaulnes, le domaine est acheté en 1699 par Louis de Guiscard[38], gentilhomme originaire du Quercy, qui donne son nom à la terre de Magny. Dans les années 1770, le parc en est réaménagé à l'anglaise par le paysagiste Jean-Marie Morel, pour son descendant, Louis Marie d'Aumont, duc d'Aumont, avec étangs, îlots, pavillons[39]. Les fossés sont comblés.
Sur la carte de Cassini, ce parc est représenté en deux parties.
Vue restituée de la grande perspective du château de Magny Guiscard de l'autre côté du canal, fin du XVIIe siècle.
Gravure du château de Guiscard et son parc au début du XIXe siècle (tirée de l'ouvrage d'Alexandre de Laborde, Description des nouveaux jardins de la France, Paris, 1808)..
Acquis aux idées révolutionnaires, le duc d'Aumont parvient à conserver son domaine de Guiscard, où il meurt en 1799, juste après l'avoir vendu à son beau-fils. Sa fille, la duchesse de Valentinois, rachète le domaine de Guiscard mais n'y habite pas et le revend en 1823 au baron Émile Oberkampf, député et propriétaire de la manufacture éponyme qui fabriquait les toiles de Jouy. Celui-ci restaure la propriété et procède à des embellissements, mais le château est endommagé par un incendie en 1826. En 1831, les Oberkampf revendent la propriété, qui est démembrée. A nouveau vendu en 1851, le château est démoli aux deux tiers, les étangs sont asséchés, le parc défriché, et les terres mises en culture[1],[40].
Au XXIe siècle, il subsiste du château l'ancienne aile Nord-Ouest avec sa galerie à arcades, ainsi qu'une partie des dépendances[41],[42].
En 1850, la commune est propriétaire d'une école, d'une sablonnière, de deux argilières, d'une marnière ainsi que de quarante hectares de terre. A cette époque, on trouve sur le territoire communal cinq moulins à vent, une fabrique d'acide sulfurique (la vitriolerie), deux fours à chaux, deux tuileries. Une partie de la population fabrique alors des mouchoirs de coton. Un relais de poste se trouve sur la route de Paris à Saint-Quentin (qui deviendra plus tard la route nationale 32[1].
Dès le début du mois de , Guiscard, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et reste loin du front qui se stabilise à une trentaine de kilomètres au sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Pendant 30 mois les habitants vivent sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front. En , lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi, la gare est détruite[43]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de . C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts aux habitations. Ce n'est que début que le secteur sera définitivement repris.
Guiscard, de la Première Guerre mondiale à la Reconstruction
Carte postale allemande vers 1916.
Carte postale allemande vers 1916.
Les habitations de la rue de Nesles démolies en 1920.
Fin 2016, une Maison de services au public est aménagée dans les locaux du bureau de poste, et permet, depuis un ordinateur dédié, une imprimante et un scanner, permettent aux usagers d'effectuer leurs télé-procédures en libre-service et en toute autonomie avec la CPAM, MSA ou Carsat, mais pas la CAF[55].
Les enfants de la commune sont scolarisés dans un groupe scolaire primaire et maternel, qui compte, pour l'année scolaire 2022-2023, douze classes, dont une est menacée de fermeture pour la rentrée 2023[56].
Ils poursuivent leurs études avec ceux de communes avoisinantes au collège Constant-Bourgeois de Guiscard, qui, en 2021-2022, accueille 318 élèves répartis en 14 classes[57].
Une maison de santé pluridisciplinaire portée par l'intercommunalité a été créée en 2014. Accueillant en 2023 deux médecins généralistes ainsi que neuf autres praticiens libéraux, cette structure doit être agrandie en 2024 afin de comprendre également deux bureaux pour les médecins généralistes, un autre destiné à une sage-femme, une salle de soins commune, un espace d'attente et une chambre avec service[58],[59].
Une médiathèque a ouvert fin 2016 dans l'espace culturel du Chauffour, avec le soutien de la médiathèque départementale de l'Oise, qui a notamment fourni l'essentiel du fonds de livres[60],[61].
La sécurité publique est assurée dans le bourg par la communauté de brigades de gendarmerie du Noyonnais, implantée à Noyon et à Guiscard[62],[63].
Le centre de secours des sapeurs pompiers de Guiscard, regroupé en 2009 avec celui de Noyon, compte (en 2023) 18 sapeurs-pompiers professionnels et les 101 volontaires. La caserne de Guiscard a effectué 500 interventions en 2022[64].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[66].
En 2021, la commune comptait 1 776 habitants[Note 3], en évolution de −1,11 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 863 hommes pour 941 femmes, soit un taux de 52,16 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[68]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
3,1
6,5
75-89 ans
11,1
15,4
60-74 ans
15,6
18,2
45-59 ans
18,4
17,7
30-44 ans
16,3
18,1
15-29 ans
15,6
23,5
0-14 ans
19,8
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[69]
Le club de Football de Guiscard La jeunesse sportive de Guiscard[70] (J.S.G) compte plus de 130 licenciés sur la saison 2011/2012.
L'équipe Première évolue en seconde division du district de l'Oise. L'équipe Réserve évolue en quatrième division. Le club dispose de catégories de jeunes : U18, U15, U13, U11, ainsi que le foot animation.
Il existe l'Association du Tennis club[71]de Guiscard (ATCG) depuis , dont le terrain se situe à Guiscard même.
Le Handball club de Guiscard (HBC), créé en 1982, compte en 2023 87 licenciés. Son équipe seniors a été championne de l'Oise en 2016[72],[73].
Église Saint-Quentin, située à la limite de l'ancien parc du château, et qui remonte aux XIIe et XVIe siècles. La nef, de plan basilical, est la partie la plus ancienne de cette église et compte aujourd'hui quatre travées, dont les bas-côtés ont été refaits en 1919. Le transept date lui du XVIe siècle et comprend une voûte d'ogives à liernes et tiercerons. Le bras nord est éclairé par des fenêtres en arc brisé à réseau flamboyant, tandis que celui du sud comporte des fenêtres en plein cintre sans réseau. Vingt-deux panneaux en chêne sculpté de provenance inconnue et datant du début du XVIIe siècle ont été remontés dans le transept. Ils représentent notamment le Christ et les apôtres. L'église est ornée de vitraux des XIXe et XXe siècles, comprenant notamment une œuvre de 1932 du maître-verrier Ch. Champigneulle, le martyr de saint Quentin[32].
Site de l'ancien château de Guiscard, détruit au milieu du XIXe siècle. Il en subsiste une aile et une partie des dépendances[75].
Chapelle funéraire de la famille de Berny dans le cimetière, construite en 1932 par l'architecte amiénois Pierre Ansart, et représentative de l'art funéraire de l'entre-deux-guerres[76]
Musée Ferme de la Patte d'Oie, situé au village de Plessis-Patte-d'Oie et reconstituant une exploitation agricole du début du XXe siècle, une classe d'école de 1950 et une maison noyonnaise de la Belle Epoque (Écomusée traditions rurales et métiers d'antan), fermé depuis fin 2021 sur l'injonction de la mairie, propriétaire des locaux[77],[78].
L'église.
Vieux puits public près de la mairie.
Le monument aux morts.
Le monument aux morts du cimetière.
La chapelle de la famille de Berny dans le cimetière communal.
Constant Bourgeois (1767-1841), né à Guiscard, peintre, lithographe, dessinateur et graveur. Son nom est d'ailleurs donné au collège public de Guiscard : le collège Constant-Bourgeois (ouvert en 1998).
Vincent Martel Deconchy (1768-1823), né à Guiscard, général des armées de la République et de l'Empire.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ abc et dLouis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 46-49, sur Google Livres.
↑Alexis Bisson, « A Guiscard, enfin le début des travaux anti-crues : Après des années de tergiversations, le vaste plan de travaux contre les inondations, le long de la rivière Verse, est enfin lancé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑Alexis Bisson, « A Guiscard, la Verse commence à revoir le jour : Un premier tronçon de la remise à ciel ouvert de la rivière est inauguré ce mardi. Le vaste chantier anti-crues doit se poursuivre jusqu'à la fin de l'année dans la commune du Noyonnais », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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↑Georges Lucas, « Le parc éolien de Guiscard, évoqué en 2013, refait surface aux portes de l'Aisne : Le projet du parc éolien de la Tombelle à Guiscard (Oise) semblait tombé dans l'oubli, mais l'accord donné à son permis de construire en janvier exhume ce projet aux portes de l'agglomération Chauny-Tergner-La Fère. Les élus des communes environnantes maintiennent leur opposition au projet », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Stephan Perreau, « GUISCARD Louis de », sur hyacinthe-rigaud.com, (consulté le ).
↑Alexandre de Laborde, Description des nouveaux jardins de la France et de ses anciens châteaux, Paris, Imprimerie de Delance, , 226 p. (lire en ligne), p. 151
↑ a et b« Thibault Delavenne nouveau maire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ). « C'est sans surprise que l'ex-adjoint aux finances, Thibault Delavenne, vient d'être élu maire de Guiscard. Il vient de succéder à l'emblématique Jean-Louis Coqset, qui était maire depuis 1989 et qui a été aussi conseiller général du canton pendant vingt-cinq ans. Ce dernier a choisi de se retirer pour raisons personnelles, mais reste tout de même conseiller municipal ».
↑« L'ancien maire de Guiscard et conseiller général Jean-Louis Coqset est décédé : Jean-Louis Coqset s'est éteint à l'âge de 91 ans, le 4 novembre dernier. Il avait été maire de Guiscard de 1989 à 2010 et conseiller général du canton de Guiscard de 1979 à 2004. Il était également connu à Noyon, où il fut notamment le principal du collège Paul-Eluard. », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le )« Il effectua quatre mandats au sein de l'assemblée départementale. Les deux premiers sous l'étiquette socialiste, les deux suivants sans étiquette. «Mais il avait gardé ses convictions de gauche», croit savoir Thibaut Delavenne ».
↑Stephane Lebarber, « Les hommages à l'ancien maire de Guiscard, Jean-Louis Coqset, se multiplient : Le prochain conseil municipal pourrait décider de baptiser un lieu du nom de l'ancien édile », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Élu sans étiquette du canton de Noyon-Guiscard, Thibaut Delavenne rejoint la majorité de droite au Département », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Thibaut Delavenne, élu en 2021 conseiller départemental sans étiquette de Noyon-Guiscard, a rejoint le 19 septembre, à l'occasion d'une séance à huis clos de commission permanente à l'Hôtel du Département, le groupe de la majorité de droite, dirigé par la présidente LR, Nadège Lefebvre ».
↑« Noyon-Guiscard : Delavenne renonce », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« A gauche, le leadeur incontesté est Patrick Deguise (PS), maire de Noyon et conseiller général sortant. Cela implique que son coéquipier soit une femme, et contraint donc Thibaud Delavenne, maire et conseiller général sortant de Guiscard, à ne pas être candidat ».
↑Stéphane Le Barbier, « Thibaut Delavenne, nouveau conseiller départemental de Noyon : « Nous voulons apaiser le territoire » : Thibaut Delavenne, nouveau conseiller départemental aux côtés de Corinne Achin, reprend un canton profondément divisé entre les partisans de la majorité du Pays noyonnais et l'ancienne équipe de Patrick Deguise. Il n'entend pas prendre parti et plaide l'équité des subventions », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Thibaut Delavenne repart en campagne à Guiscard », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Thibaut Delavenne, 46 ans, maire sortant, est de nouveau en lice pour les municipales ».
↑« Guiscard : Seul en lice Thibault Delavenne évidemment réelu », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ).
↑Arnaud Brasseur, « Un lieu unique pour tous les services publics : Dans la Poste de Guiscard, il est désormais possible de suivre son dossier CPA, MSA ou Carssat, de quoi rapprocher les habitants des services publics », Le Journal de Ham, no 7, , p. 9.
↑S.L.B., « À Guiscard, la colère reste forte pour garder les 12 classes : Les pancartes en carton étaient bien là, vendredi 10 février 2023, en fin de cortège : les parents d'élèves des écoles élémentaire et maternelle de Guiscard ont rejoint la manifestation cantonale contre les projets de fermetures de classes, organisée à l'initiative des familles noyonnaises de Saint-Exupéry », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Avec 14 classes, les effectifs au collège de Guiscard sont finalement « raisonnables », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Stephane Lebarber, « La Maison de santé de Guiscard, en quête de médecins supplémentaires, sera agrandie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑S.L.B., « À Guiscard, la Maison de santé sera agrandie début 2024 : Les locaux, qui accueillent onze praticiens dont deux médecins généralistes, sont trop exigus. Le Pays noyonnais prévoit 410 000 euros de travaux. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑L.G., « A Guiscard, les élus veulent garder leurs gendarmes », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑S.L.B., « Le nouveau commandant des gendarmes de Noyon et Guiscard: «Le harcèlement scolaire est une chose qui revient de plus en plus» : Le lieutenant Sébastien Cojean, 31 ans, a pris début août le commandement de la communauté de brigades du Noyonnais », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑S.L.B., « À Noyon et Guiscard, un nouveau chef aux centres de secours : Le lieutenant Philippe Couriol coordonnera les interventions avec les casernes de Lassigny et Guiscard, afin de « mutualiser les effectifs » », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Le club de handball de Guiscard fête ses 40 ans et tend la main aux jeunes : Avec 80 joueurs, le club affiche une belle forme au moment de fêter ses 40 ans. Il n'y a pas que la compétition : une section baby, dès l'âge de 3 ans, et une pratique en loisirs sont aussi proposées.
L'équipe de joueurs de 12 à 13 ans, «Les Sharks», évolue au niveau départemental. Tous viennent prendre avant tout du plaisir. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Cécile Lauffenburger, « Guiscard: le club de handball n'en finit plus de grandir : Le Handball club de Guiscard compte 87 licenciés. Les effectifs ont augmenté depuis ces dernières années et ce, quel que soit le niveau », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Stephane Lebarber, « Dans le Noyonnais, des prêtres partout grâce à la « super paroisse » : L'ancienne paroisse Saint-Éloi a monté une équipe unique avec Guiscard, Lassigny, Ribécourt-Thourotte et Carlepont, aidée par une société de conseil en management. De quoi répondre aux nombreuses demandes de cérémonies de baptême ou d'obsèques, qui repartent à la hausse », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Dans le Noyonnais, le dernier espoir de sauver le musée-ferme : Les 25 bénévoles du musée associatif du Plessis-Patte-d'Oie tentent d'innover en multipliant les animations à l'extérieur. Le litige avec la municipalité, qui interdit depuis près de trois ans l'accès au local, les empêche toujours d'accueillir le public », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Dominique Cesari, « Le Parc de Guiscard », sur parcsafabriques.org, (consulté le ).
↑« Guiscard », sur Sites historiques Grimaldi de Monaco (consulté le ).