Le nom de Hans Holbein fut porté par deux artistes allemands des XVe et XVIe siècles.
Dans Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne, le Nautilus est décoré de peintures dont des Holbein : « Les diverses écoles des maîtres anciens étaient représentées par une madone de Raphaël, une vierge de Léonard de Vinci, une nymphe du Corrège, une femme du Titien, une adoration de Véronèse, une assomption de Murillo, un portrait d’Holbein, un moine de Vélasquez, un martyr de Ribeira, une kermesse de Rubens, deux paysages flamands de Téniers, trois petits tableaux de genre de Gérard Dow, de Metsu, de Paul Potter, deux toiles de Géricault et de Prud'hon, quelques marines de Backuysen et de Vernet. » (chapitre IX).
Il est impossible de savoir si Jules Verne évoque le père ou le fils, de même pour Balzac ci-dessous.
Le nom de Hans Holbein est aussi mentionné dans Le Chef-d'œuvre inconnu d'Honoré de Balzac : « Tu as voulu imiter à la fois Hans Hobein et Titien, Albrecht Dürer et Paul Véronèse. »