Réalisation | Jim Wynorski |
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Scénario | Karen Kelly |
Musique | Larry Juris |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Sunset Films International, Workin' Man Films |
Pays de production | États-Unis |
Genre | western, érotique |
Durée | 88 min |
Sortie | 1995 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Hard Bounty est un western érotique américain sorti en 1995, réalisé par Jim Wynorski.
Martin Kanning abandonne son activité de chasseur de primes quand il tue à la fois le gars qu'il cherchait et la fille qui l'accompagnait. Il décide d'acheter le saloon où travaille Donnie, la prostituée à laquelle il est attaché. Carver, l'homme de main de Bartell, propriétaire d'une ville entière en pays minier, arrive dans la ville du saloon. Kanning et lui ont été ensemble rangers, mais les méthodes de Carver ont révolté Kanning. Depuis, leurs chemins se sont séparés. Carver, pour provoquer Kanning, tue l'une des prostituées qui travaillent pour ce dernier. Devant le peu de réactions du shérif et de Kanning lui-même, Donnie organise une expédition punitive avec ses compagnes. Le chemin de l'apprentissage des armes va s'avérer difficile. Mais Kanning veille au grain.
Le film a été tourné en Arizona[1] du au [2].
Le film est distribué aux États-Unis en 1995. Il est ensuite publié en DVD par Image Entertainment en 1999[3].
Le film est de série B, mais joue bien son rôle de passe-temps, moins décevant que Belles de l'Ouest (Bad Girls)[4]
En Italie, le film a été diffusé à 10h00 sur Rai 1 le , mais à cause des protestations contre les scènes de nu, la transmission s'est interrompue à 11h00, et c'est un épisode de la série Thunder Alley (it) qui a pris le relais. La RAI s'est justifiée en citant le visa de censure qui était « pour tout public »[5], n'étant jamais passé à la censure italienne puisqu'il n'avait pas été distribué dans les salles.
business
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.Voir documentation de {{imdb titre/Section}}, SVP. — ), sur l'Internet Movie Database (consulté le )
« While the feminist western Bad Girls was a critical and popular fiasco, this one's not bad. The plots are more or less identical; the production values about the same; the acting is certainly no worse and in the video premiere, the humor is intentional. It's obvious from beginning to end that this story of prostitutes rebelling against patronizing patriarchs is the stuff of a B-movie. That's what Bad Girls was suppsed to be, but somewhere in the film process, it tried to become "a major promotion picture." Director Jim Wynorski and company avoid such delusions and came up with a completely serviceable little time-waster. »