↑La nomination d'Hermann Plocher avait été finalisé par le Heeres Personalamt HPA (Bureau d'état-major des Armées) et était prêt à la signature à la fin de la guerre. Selon l'Association des bénéficiaires de la croix de chevalier (en allemand : Ordensgemeinschaft der Ritterkreuzträger des Eisernen Kreuzes e.V. (OdR)), la nomination était présent conforme au décret Dönitz. Cette pratique est illégale selon la Deutsche Dienststelle (WAST) et manque de justification légale. La date de présentation a été attribué par le Fellgiebel. Plocher a été membre de l'Odr[3][3].
Bibliographie
(de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Podzun-Pallas. (ISBN3-7909-0284-5).
(de) Veit Scherzer, Die Ritterkreuzträger : die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchivs, Ranis/Jena, Scherzers Militaer-Verlag, (réimpr. 2005, 2006), 846 p. (ISBN3-938-84517-1 et 978-3-938-84517-2, OCLC891773959).
(de) Schumann, Ralf (2007). Die Ritterkreuzträger 1939–1945 des LG 1. Zweibrücken, Germany: VDM Heinz Nickel. (ISBN978-3-86619-013-9).