Heyrieux

Heyrieux
Heyrieux
La mairie.
Blason de Heyrieux
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Collines Isère Nord Communauté
(siège)
Maire
Mandat
Daniel Angonin
2020-2026
Code postal 38540
Code commune 38189
Démographie
Population
municipale
4 707 hab. (2021 en évolution de +1,23 % par rapport à 2015)
Densité 337 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 48″ nord, 5° 03′ 50″ est
Altitude Min. 259 m
Max. 381 m
Superficie 13,95 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Heyrieux
(ville isolée)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Verpillière
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Heyrieux
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Heyrieux
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Heyrieux
Liens
Site web www.heyrieux.fr

Heyrieux est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Cette commune, autrefois paroisse de la province royale du Dauphiné, est située dans la partie orientale de l'aire urbaine de Lyon. Elle héberge le siège de Collines Isère Nord Communauté qui comprend un total de dix communes. Ses habitants sont appelés les Heyriards.

Géographie

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Situation et description

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Heyrieux est située dans le Nord-Isère, aux limites du département du Rhône, à 25 kilomètres au sud-est de Lyon, entre les Alpes et la plaine de Lyon. Le bourg s'élève à une altitude de 295 m.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Heyrieux
Grenay
Saint-Pierre-de-Chandieu (Rhône) Heyrieux Saint-Quentin-Fallavier
Valencin Diémoz Bonnefamille

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Moyenne vallée du Rhône »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 925 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Luzinay », sur la commune de Luzinay à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie

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L'Ozon qui a donné son nom à la commune voisine de Saint-Symphorien-d'Ozon prend sa source vers 350 m d’altitude sur le territoire communal. ce ruisseau de 22 kilomètres de longueur draine un bassin versant de 69 km² avant de rejoindre le Rhône à Sérézin-du-Rhône[7].

Voies de communication

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Le territoire communal est traversé par la RD518 (ancienne RN518) (et sa déviation la RD518z) qui relie Heyrieux (depuis Lyon) à Die après avoir traversé Saint-Marcellin et une partie du massif du Vercors. La RD 76 traverse le nord du territoire communal afin de relier le bourg à la commune de Saint-Quentin-Fallavier.

Transports publics

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La commune est desservie par le Réseau interurbain de l'Isère (Cars Région Isère). Une ligne régulière intercité, la ligne T36 dessert six points d'arrêts dans la commune à destination de Saint-Jean-de-Bournay ou Gare Part Dieu Villette à Lyon. L'ancienne gare d'Heyrieux est fermée aux voyageurs.

Au , Heyrieux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Heyrieux[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,2 %), terres arables (31,9 %), prairies (15 %), zones urbanisées (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), forêts (3,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune d'Hyerieux est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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Heyrieux est un toponyme trouvant son origine dans le nom Ariacum, formé d’un nom d’homme romain Arrius[16] avec un suffixe – acum[17],[18]. Cette proposition est peu probable; en effet, la composition Ariacum suppose en latin un génitif ari et non Arrii. Heyrieux est une des enclaves savoyardes du Dauphiné, et par conséquent, il faut donc plutôt voir dans Ariacum la combinaison avec -acum d’un nom latin tardif arum,i, « territoire »[19].

Formes : Ariacum, IXe s.[17]

Antiquité et Moyen Âge

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Arrius est à l'origine un domaine gallo-romain qui porte le nom de son créateur. Les premières traces de ce domaine remonteraient au Ier siècle. Pendant des siècles, Heyrieux resta une fondation romaine paisible.

Cependant, le domaine commença à prendre une ampleur relative au Moyen Âge, période durant laquelle elle devint un bourg identifié sous le nom de Aireu ou Ayreu. En 1027, les comtes de Savoie acquirent de nombreux domaines dans le Dauphiné. En 1030 Heyrieux fit officiellement partie de cette enclave savoyarde.

En 1227, Heyrieux fut concédée aux moines de la chartreuse d'Aillon (le chemin de Savoyan, qui traverse le village encore de nos jours, partait d'Aillon en Savoie pour parvenir à Chaponnay). Le , le seigneur Jean de Chandieu accorda les "Libertés aux bourgeois d'Heyrieux" afin de permettre aux résidents de se constituer en communauté (chose relativement rare pour l'époque car les domaines étaient souvent soumis à une autorité supérieure). Par ailleurs, le mot « bourgeois » n'avait pas la même connotation de richesse qu'aujourd'hui, celui-ci comprenait davantage la notion de « résident ». Les libertés accordées par Jean de Chandieu furent confirmées quelques mois plus tard, le , par Édouard comte de Savoie.

Au cours de l'année 1349, le royaume de France annexa le Dauphiné. Sept ans plus tard, en janvier 1356, l'enclave savoyarde, dont Heyrieux faisait partie, fut concédée au Dauphiné et par conséquent au royaume de France.

Temps Modernes et Époque contemporaine

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En 1544, François Ier instaura à travers une lettre patente les foires de la Madeleine () et de la Sainte-Catherine (), toujours actives de nos jours, ainsi que le marché hebdomadaire du vendredi. Pour expliquer l'octroi de ces foires et du marché, il faut se souvenir de deux faits :

  • François 1er est à moitié savoisien par sa mère, fille du duc de Savoie ; les comtes de Savoie furent pendant près de trois siècles les suzerains d'Heyrieux ; donc un descendant des comtes de Savoie, devenu roi de France, accorde des privilèges à une possession ancestrale ;
  • il doit certaines faveurs aux marchands de Lyon dont certains doivent avoir un lien, ou résider, à Heyrieux.

Alors que le village ne comptait que 270 habitants en 1750, ce fut alors le Temps des Loups, période durant laquelle entre 1752 et 1754, des centaines de chasseurs de loups se réunirent à Heyrieux afin de traquer et d'exterminer les loups des bois environnants. En effet, on estimait à l'époque que cet animal était responsable de multiples attaques contre les hommes ou leurs troupeaux. Ainsi, la plus grande battue recensée fut celle du , près de 2 000 chasseurs traquèrent les loups en même temps. Par la suite, de nombreux chasseurs de loups restèrent à Heyrieux, ceci explique l'augmentation significative d'habitants durant cette période puisqu'en 1791, le village comptait 1 282 habitants.

Politique et administration

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Mairie d'Heyrieux

Administration municipale

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En 2020, le conseil municipal d'Heyrieux est constitué de membres dont un maire (également vice-président de la Communauté de Communes) de neuf adjoints au maire et dix-sept conseillers municipaux[20].

Le maire en place depuis 2008, Daniel Angonin, a été réélu en 2020 avec 80,30% des voix[21].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Lucien Tardy FGDS-PS Conseiller général du Canton d'Heyrieux (1967-1973)
mars 1983 juin 1995 René Hustache    
juin 1995 mars 2008 Gérard Thollot    
mars 2008 En cours Daniel Angonin Sans étiquette Retraité Fonction publique[22]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 4 707 habitants[Note 3], en évolution de +1,23 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2321 3381 4271 5391 4241 4901 5201 5601 416
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3621 3691 3551 4651 5351 5411 5171 5081 510
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5051 5081 4461 1011 1161 2051 2231 2731 346
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 4751 7332 4733 2703 8724 1634 5874 7054 640
2018 2021 - - - - - - -
4 7674 707-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. L'école élémentaire d'Heyrieux porte le nom du scientifique Louis Pasteur.

Équipements culturels et sportifs

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La ville d'Heyrieux est équipée de deux stades et de nombreux gymnases. La commune possède également un foyer rural et plusieurs salles dédiés aux évènements culturels.

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

La communauté catholique et l'église d'Heyrieux (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint Hugues de Bonnevaux qui comprend 20 autres communes du Nord-Isère et elle même rattachée au diocèse de Grenoble[27].

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Heyrieux compte parmi ses monuments le château du Bourg et le manoir Le Colombier (tous deux datés du XVe siècle), le château de Maille (XVIIIe siècle), l'église de l'Assomption ainsi que l'oratoire Notre-Dame-de-la-Salette (XIXe siècle).

Le château de Rajat est situé aux limites du territoire communal, la plus grande partie du bâtiment et du domaine étant situé sur le territoire de la commune de Saint-Pierre-de-Chandieu, située dans le département du Rhône[28].

Espaces verts et fleurissement

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En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[29].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Heyrieux Blason
Une croix d’argent cantonnée. Écartelé : au premier de gueules au lion d'or paré d'azur, au deuxième d'azur à un chevron d'argent accompagné de deux croissants d'argent, en pointe d'un lion d'or, au troisième d'azur à la bande d'or, accompagné de 6 losanges, de même, trois en chef, en orle, trois pointes en bande, et au quatrième d'or au dauphin d'azur, crêté, oreillé et barbelé de gueules ; à la croix astrée d'argent brochant sur le tout[31].
Détails
Ce blason a été réalisé sous la haute direction de monsieur Robert Brun de la Valette en 2002[32]. En plus de la croix blanche de Savoie, les 4 blasons qui le composent représentent respectivement la famille de Chandieu, l’abbaye d’Ambronay, la famille Rigaud et le Dauphiné.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Heyrieux et Luzinay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Luzinay », sur la commune de Luzinay - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Luzinay », sur la commune de Luzinay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Site apus-nature.com, page Plan de gestion de la zone humide de l'Ozon à Saint-Symphorien-d'Ozon, consulté le 1er janvier 2021.
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Heyrieux », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Heyrieux ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  15. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  16. Marie-Thérèse Morlet, Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, 3 volumes, 1968, 1972, 1985, II, 20a, p. xx[réf. non conforme].
  17. a et b A. Dauzat & Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Guénégaud, Paris, 1978
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1, 2, 3, Droz, Genève,1990-1 p. xx[réf. non conforme].
  19. Du Cange, Carolus du Fresne., Caroli Du Fresne, Domini Du Cange, Regi à Consiliis, & Franciæ apud Ambianos Quæstoris, Glossarium ad Scriptores Mediæ & Infimæ Latinitatis : In Qvo Latina Vocabula novatæ significationis, aut usus rarioris, Barbara & Exotica explicantur, eorum Notiones & Originationes reteguntur... ; E libris editis, ineditis, aliisque monumentis cùm publicis, tum privatis. Accedit Dissertatio de Imperatorum Constantinopolitanorum, seu de inferioris ævi, vel Imperii, uti vocant, Numismatibus., Zunner, (OCLC 249014619, lire en ligne).
  20. Site heyrieux.fr, page sur le conseil municipal, consulté le 1er septembre 2020
  21. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  22. Résultats élections Heyrieux (38540) : élections régionales et départementales 2021
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la page de la paroisse paroisse Saint Hugues de Bonnevaux.
  28. site de la commune d'Heyrieux, page sur le château de Rajat, consulté le 1er septembre 2020.
  29. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  30. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  31. Ancien site de la commune d'Heyrieux
  32. Club de Recherche et Communication d'Heyrieux

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Articles connexes

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Liens externes

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