Fils de Sofu Teshigahara, un maître d'ikebana réputé[2], il pratique aussi l'arrangement floral (il prend la direction de l'école d'ikebana de son père à sa mort)[3] et la peinture[2].
↑Tadao Sato (trad. du japonais par Karine Chesneau et al.), Le Cinéma japonais, Tome II, Paris, Cinéma/pluriel et Centre Georges Pompidou, , 324 p. (ISBN2-85850-930-1), p. 288
Jacline Moriceau, « Sous le signe du masque : de quoi les fantômes sont-ils le signe dans le cinéma de Teshigahara Hiroshi ? », dans Marie Aureillard etVincent Durand-Destès, Fantômes dans l'Extrême-Orient d'hier et d'aujourd'hui - Tome 2, Presses de l’Inalco, , 453 p. (ISBN9782858312528, lire en ligne), [en ligne]