Hornoy se situe à une bonne trentaine de kilomètres à l'ouest d'Amiens. Au point de vue routier, le bourg est accessible par les routes départementales 211, 51 et 18. L'autoroute A29 passe au sud du territoire communal.
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 4 (Blangy-sur-Bresle - Amiens) et la ligne no 32 du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].
C'est la deuxième plus grande commune (en superficie) de la Somme, derrière Crécy-en-Ponthieu et devant Amiens.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
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L'ancienne carrière souterraine dans le coteau calcaire d'Hornoy est profonde d'environ 70 mètres. Située en bordure d'une des vallées sèches à l'amont du bassin du Liger, affluent de la Bresle, c'est une propriété privée. classée zone ZNIEFF, elle renferme notamment plusieurs espèces de chauve-souris protégées[8].
Au , Hornoy-le-Bourg est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (74,2 %), prairies (8,2 %), forêts (8 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), zones urbanisées (1,8 %)[9]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Hornoy-le-Bourg en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,3 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 7].
Afin de conforter l'attractivité de la commune, la municipalité suscite plusieurs projets de développement urbain[12], avec l'aménagement du secteur de l'ancienne coopérative au centre du bourg, où seront notamment aménagés un restaurant et une salle d'activités[13],[14], et la réalisation d'un lotissement de 32 parcelles pavillonnaires rue Blondel, à proximité des écoles[15],[16].
Hornoy-le-Bourg est constituée en 1972 par la fusion d'anciennes communes, la commune a son chef-lieu à Hornoy et compte plusieurs hameaux (ou communes associées) dont Gouy-l'Hôpital. Gouy est le nom primaire du village attesté sous la forme Gavdiacvm, depuis le IIe siècle av. J.-C. -acvm signifie en latin, le domaine et gavdi de gavdivs (anthroponyme chrétien tiré du latin gavdivm : joie)[17]. Donc le « domaine joyeux ».
Hornoy est attesté sous les formes Horona en 751 ; Hornodium en 1090 ; Hornet en 1105 ; Hornart vers 1096 ; Hornetum en 1106 ; Hornoy en 1146 ; Hornoi en 1164 ; Horneium en 1166 ; Ormoy vers 1200 ; Borona en 1579 ; Hornay en 1761 ; Harnois en 1778[18].
Pour l'étymologie, il faut sans doute se rattacher à l'allemand Horn, « corne, extrémité » ou hurna, « pointe de terrain, promontoire ».
La rue au Loup rappelle un épisode local survenu le . Une louve est abattue après avoir attaqué plusieurs personnes. C'est la seule attaque de loup connue dans la Somme au XIXe siècle[19].
Les villages de la région, dont ceux composant la commune de Hornoy-le-bourg, ont été concernés, au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la Bataille de France par un affrontement entre les troupes françaises et allemandes autour du Liger. Les soldats du 67e bataillon de chasseurs alpins (67e BCA) défendirent victorieusement Bezencourt lors de combats acharnés les 6 et , au prix de la mort de 99 hommes en deux jours de combat[20], avant de devoir battre en retraite, sous peine d'être encerclés[21]. A son retour de captivité, au début de 1941, le lieutenant-colonel du Passage tint à commémorer le sacrifice des soldats morts pour défendre le village. Depuis cette date, les combats de Bezencourt sont donc commémorés chaque année au début du mois de juin, un monument commémoratif a été édifié, un musée ouvert dans l'ancienne sacristie de l'église. Un carré militaire a été inauguré en 1957 dans le cimetière communal, où sont inhumés seize soldats, parmi lesquels le lieutenant Mock, dont une rue de Bezencourt porte le nom[22].
1584 : Francois II d'Aumale (10e degré), seigneur du Quesnoi, rachète le fief de Boisrault à Hughes Myette moyennant 4 833 écus et devient seigneur de Boisrault. Le fief reste dans la famille d'Aumale jusqu'au 13e degré avec Marie-Louise d'Aumale qui épouse en 1693 François de Calonne d'Avesne.
985 : création de l'archidiaconé d'Amiens, auquel Gouy est rattaché. Il sert de limite territoriale entre Pajus Ambianesis (Amiens) et Pajus Winnaus (Vimeu).
1099 : fondation des ordres hospitaliers lors de la première croisade en 1096. Godefroy de Bouillon, duc de Basse Lorraine et comte de Boulogne, est roi de Jérusalem le mais refuse la nomination. La terre de Gouy appartient aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Roger Frétel, fils de Théobald fait construire une chapelle dans le Norfolk.
La commune d'Hornoy, constituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794, celle de Hallivillers. Elle fusionne avec ses voisines en 1972 pour former Hornoy-le-Bourg[24].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
L'école primaire d'Hornoy compte 253 élèves de maternelle et d'élémentaire à la rentrée scolaire 2017. Elle est placée en zone B, dans l'académie d'Amiens[37].
La gestion des écoles communales est assurée depuis 2017 par la communauté de communes Somme Sud-Ouest, ce qui se traduit par un transfert fiscal partiel des impôts locaux vers l'intercommunalité[38].
L'Ehpad Daniel Croizé accueille des personnes âgées dépendantes[39], destiné à s'étendre dans de nouveaux locaux à proximité destinés à des personnes âgées valides[40]. Un foyer de vie accueille des personnes handicapées mentales, qui devrait déménager à terme rue Blondel[41].
Un centre médico-psychologique (CMP) a été implanté dans les locaux de l'ancienne perception en 2020, en remplacement de locaux vétustes[42].
Pour les animaux, une clinique vétérinaire a ouvert en 2020[43]
La commune accueille un centre de secours des pompiers de la Somme constitué en 2021 et composé de 21 pompiers volontaires dont quatre femmes, ainsi que quatre jeunes sapeurs pompiers en cours de formation. Il réalise de 260 et 300 interventions par an sur les 11 communes de son ressort[44],[45].
Une brigade de gendarmerie nationale est implantée dans un bâtiment désormais indapté construit en 1978. Elle dépend de la communauté de brigades de gendarmerie d'Oisemont, Airaines et Hornoy-le-Bourg[46].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2021, la commune comptait 1 660 habitants[Note 3], en évolution de −0,12 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Foire annuelle Sainte-Catherine : le troisième dimanche de novembre[51],[52]
Fête communale : le dimanche suivant le .
Le festival le Chahut vert est un festival destiné à mettre en valeur les arts de la scène, qui se tient tous les deux ans et dont la 5e éditoon devait avoir lieu en 2020 a lieu fin août 2021 avec 7 concerts[53]. La 6e édition a lieu les 26, 27 et avec Les Négresses vertes, les Têtes raides et Sanseverino, ainsi qu'une scène Off pour les artistes moins connus[54],[55].
La commune d'Hornoy-le-Bourg est constitué en 1972 par le regroupement d'une dizaine de villages, et compte donc neuf églises et une chapelle, situées à Hornoy, Bézencourt, Tronchoy, Hallivillers, Lincheux, Gouy L'hôpital, Selincourt, Boisrault, Orival, et Boulainvilliers[57].
Église de l'Assomption-de-la-Sainte-Vierge, du XVIe siècle.
Halle d'Hornoy, construite en 1565, reconstruite au sud de l'église et inscrite aux Monuments historiques. Elle est constituée de 12 travées formées par 29 poteaux et couvre un espace d'environ 31,25 m de long sur 6,80 m de large[58].
Château d'Hornoy, construit en brique et pierre dans le style palladien, de 1780 à 1785, sur des plans de l'architecte parisien Jean-Jacques Huvé, pour Alexandre Marie François de Paule de Dompierre d'Hornoy, président de la première chambre des enquêtes du parlement de Paris[59][source insuffisante], et son parc[60].
Le sous-sol calcaire communal renferme des caves voutées supposées du XVIIe siècle. Propriétés privées, elles sont parfois creusées à 10 mètres de profondeur et organisées en plusieurs niveaux. Une carrière de craie s'étend également sur un hectare sous le plateau[61].
Église Sainte-Marie-Madeleine de Bezencourt, en pierre, avec reprises en briques. Une sablière, à l'intérieur, porte la date de 1492[62].
Château de Bezencourt, construit en brique et pierre au début du XVIIIe siècle, élevé d'un rez-de-chaussée surmonté d'une toiture mansardée, et son parc[63].
Monument commémoratif et Musée de la bataille de juin 1940 et du 67e BCA. Ce monument, à côté de l'église de Bezencourt, porte le nom de 60 hommes tués pour la défense, les 6 et , de la vallée du Liger et particulièrement du village de Bezencourt, dont 16 sont inhumés dans le carré militaire du cimetière[64]. Le musée, dans l'ancienne sacristie de l'église, présente des souvenirs de ces combats[65] en rappelant le sacrifice des chasseurs alpins venus tenter de repousser l'avance allemande[20].
Église Saint-Martin, en pierre avec reprises en brique et en parpaings, au chœur plus élevé, comportant trois baies en tiers point. Le portail est surmonté par un clocher-mur, dit aussi campenard, et comporte deux blasons sculptés, difficilement lisibles.
Manoir du début du XVIIe siècle, construit en brique avec de rares insertions de pierre. Les façades comportant trois travées et deux niveaux, s'appuient sur deux pignons. Porte centrale surmontée d'un fronton triangulaire.
Monument disparu : ancien presbytère de Boisrault, du milieu du XVIIIe siècle, démoli vers 1925. Cet édifice se composait d'un haut rez de chaussée long de cinq travées, tout en pierre, couvert en ardoise.
La chapelle Saint-Pierre-ès-Liens a longtemps servi d'église. Sa construction est présumée de 1377. La cloche primitive, parrainée par la marquise de Boulainvillers est datée de 1689[66].
Église de l'Assomption-de-la-Sainte-Vierge, construite tout en pierre, avec contreforts en brique et chœur plus élevé. Au-dessus du portail, se trouve un clocher-mur, nommé campenard en Picardie[67],[66],[68].
Église de Lincheux, du début du XVIe siècle. Portail surmonté d'une tour quadrangulaire en brique et pierre et d'un clocher. Nef reconstruite en 1885 avec un très court transept. L'abside se termine par un pignon droit en brique et pierre.
Église d'Hallivilliers, de petite taille, construite tout en brique au XIXe siècle, dans le style ogival.
Monument disparu : l'ancien château de Lincheux, détruit vers 1840, dont l'aspect est connu par des dessins des Duthoit. Construit au XVIe siècle, Il présentait un seul rez de chaussée très élevé, avec une façade en pierre sculptée longue de cinq travées, ornée à la base du toit par des médaillons sculptés. Il se trouvait à environ 80 m au nord de l'église, à laquelle il était parallèle. Bâti sur un plan rectangulaire, il était un peu moins long qu'elle, mais un peu plus profond[69].
Église paroissiale d'Orival reconstruite de 1953 à 1958.
La précédente église, endommagée par les combats de juin 1940, datait du XVIe siècle. Elle ne fut pas réparée et finalement détruite après la guerre[70].
Monument disparu : ancien château d'Orival, propriété successive des familles de Riencourt, puis de Saint Georges de Vérac. Cet édifice des XVIe et XVIIe siècles était bâti suivant un plan en L. Il se composait d'un corps de logis orienté nord-ouest - sud-est, prolongé à son extrémité Est par une aile en retour, avec un pavillon à chaque angle de l'édifice et une tour à son angle intérieur.
Situé sur une terrasse, il dominait, au Nord-Ouest, une cour de dépendances, et sur les autres côtés, un parc composé de parterres et de bosquets[71].
Église paroissiale de Selincourt, reconstruite de 1873 à 1875 en style néo-gothique, toute en pierre, sur un plan en forme de croix, avec son inhabituel clocher à échauguettes. Elle contient une Vierge à l'Enfant de Jean-Baptiste Carpentier[73]
Monument disparu : l'abbaye Saint-Pierre de Selincourt de l'Ordre de Prémontré, fondée en 1130, reconstruite au XVIe siècle avant d'être entièrement rasée à la Révolution. L'église abbatiale était le siège d'un important pèlerinage, où les fidèles venaient vénérer une ampoule en cristal renfermant, une Sainte Larme, une larme du Christ rapportée, dit-on, de la quatrième croisade par Bernard de Moreuil. Dans les champs situés à l'emplacement des anciens bâtiments abbatiaux, des vestiges sont régulièrement mis au jour, tels que des clés de voûte finement sculptées, des fragments des colonnades du cloître, des piliers aux sculptures allégoriques, des chapiteaux corinthiens, des pavés décorés de motifs floraux, ou encore des petites représentations mythologiques mi-homme mi-oiseau, et notamment un tombeau mérovingien[74].
Madame Dompierre de Fontaine marquise de Florian (1715-1771), nièce de Voltaire, peintre française, y est enterrée. Son monument funéraire est visible dans l'église[75].
Voltaire (1694-1778), écrivain, notamment dramaturge et poète, connu comme philosophe, aurait, selon la tradition locale, aurait séjourné au château d'Hornoy, propriété donc de sa nièce, où il aurait écrit une partie de son épopée la Henriade. Toutefois, ce ne peut être dans le château actuel, construit entre 1780 et 1785, après la mort du philosophe, mais dans un édifice antérieur[76]
Charles de Dompierre d'Hornoy (1816-1901), amiral, ministre de la marine et des colonies de 1873 à 1874, membre de la famille de Dompierre d'Hornoy, qui résidait au château.
Henri du Passage (1874-1963), père jésuite, théologien et écrivain, directeur de la revue Études, est né à Bezencourt[77]
Le , le général de Gaulle (1890-1970) est venu à Hornoy. Nombre de personnes sont allées le voir sur la place de la Mairie[réf. nécessaire].
P.-L. Limichin, « Canton d'Hornoy » in Dictionnaire Historique et Archéologique de la Picardie - Tome 2 - Arrondissement d'Amiens, 458 pages, éd. Société des Antiquaires de Picardie (Fondation Ledieu) - (1912) - Réimpression : Éditions Culture et Civilisation, Bruxelles, 1979, pages 109 à 116[79].
Alcius Ledieu, Hornoy et ses environs, 1887, réédition en 1988, le Livre d'Histoire, 272 pages, (ISBN2 87760 028 9).
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↑Thierry Griois, « De nouveaux logements en perspective à Hornoy-le-Bourg : Plusieurs projets immobiliers, totalisant quelque 80 logements, sont en cours ou vont voir le jour, cette année, dans la commune qui n'oublie pas les huit communes associées », Le Courrier picard, (Thierry Griois, consulté le ).
↑Vincent Beny, « L'ancienne coopérative Noriap rachetée par la commune d'Hornoy-le-Bourg : L'ancienne coopérative Noriap, véritable friche industrielle dans le centre d'Hornoy-le-Bourg, vient d'être rachetée par la municipalité. De quoi ravir le maire, James Froidure », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Beny, « L'ancienne coopérative Noriap d'Hornoy-le-Bourg détruite : de nombreux logements en projet : La destruction de la coopérative est terminée dans le centre bourg. La création de logements sociaux, la construction d'un lotissement et d'un parking sont en projet », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Beny, « La mairie d'Hornoy-le-Bourg va vendre trente-deux terrains constructibles : Bien décidés à dynamiser leur commune, les élus d'Hornoy-le-Bourg ont fait des acquisitions foncières. Trente-deux terrains vont être prochainement mis en vente », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑Thierry Griois, « La place centrale d'Hornoy-le-Bourg accueillera un restaurant et une salle d'activités : Les bâtiments préservés de l'ex-Noriap, sur la place face à la mairie, vont être transformés en estaminet et en salle destinée aux sportifs et aux jeunes de la commune », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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↑ a et bVincent Beny, « Insolite. Le plus petit musée de France se trouve à Bézencourt entre Liomer et Hornoy : Bézencourt, entre Liomer et Hornoy (Somme), abrite le plus petit musée de France. Le village y rend hommage aux chasseurs alpins venus repousser l'ennemi allemand en 1940 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Thierry Griois, « La nouvelle asso806 veut défendre les intérêts des contribuables du secteur : En novembre dernier, un groupe de citoyens s'était ému de la hausse des impôts locaux. Après avoir obtenu, en partie, satisfaction, ils créent une association ouverte à tous », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Vincent Beny, « Foyer de vie d'Hornoy-le-Bourg : Le projet de déménagement se précise : Le projet de déménagement du foyer de vie d'Hornoy-le-Bourg se précise. Et si la municipalité a proposé un terrain, les dirigeants de la structure ont mené de nombreuses réflexions », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Benoit Delespierre, « Les casernes très inégales des gendarmes à Oisemont, Airaines et Hornoy-le-Bourg : Deux bonnes vieilles casernes des années 1970, une troisième récente, digne et très fonctionnelle mais un très beau projet en perspective : la seule communauté de brigades de gendarmerie d'Oisemont, Airaines et Hornoy-le-Bourg illustre le grand écart qui existe dans les conditions de travail et de logements des gendarmes dans la Somme », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Pierre-Emmanuel Reger, « Hornoy-le-Bourg. La Foire Sainte-Catherine en images : La foire Sainte Catherine, véritable institution depuis plusieurs décennies à Hornoy, était de retour ce dimanche 18 novembre avec une nouvelle équipe aux commandes », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑Patrick Piérard, « La foire de la Sainte-Catherine à la relance à Hornoy-le-Bourg : C'est sous un ciel automnal gris et pluvieux que la foire de la Sainte-Catherine a repris possession des rues de l'ancien chef-lieu de canton, avec un retour en masse de producteurs ou marchands de légumes et de nombreux stands de métier de bouche », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Maxime Bouhier, « Hornoy-le-Bourg : le public va retrouver le Festival le Chahut Vert à la fin de l'été : Victime de la crise sanitaire en 2020, le Festival Le Chahut Vert reviendra lors du week-end des 27, 28 et 29 août à Hornoy-le-Bourg. Spectacles, concerts, animations sont prévus », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑« À Hornoy-le-Bourg, la sixième édition du Chahut vert se prépare : Le festival aura lieu les 26, 27 et 28 août 2022 prochain avec Les Négresses Vertes, les Têtes Raides, ou Sanseverino annoncés en têtes d'affiches. La billetterie est déjà ouvert », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Augustin Bordet, « Vous pouvez postuler pour la scène off de l'éco festival Le Chahut Vert près d'Amiens », Le Courrier picard - Cipiz, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Beny, « Un marché en pleine expansion appelé à se développer à Hornoy-le-Bourg : Avec l'arrivée de nouveaux commerçants, le marché d'Hornoy-le-Bourg est en pleine extension. Et tous s'accordent à reconnaître qu'il s'agit d'un très bon marché », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Beny, « Hornoy-le-Bourg, le village aux 10 églises et chapelles : Hornoy-le-Bourg, ce n'est pas seulement une commune plus grande qu'Amiens. C'est également un village qui possède neuf églises et une chapelle », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Alain Lefebvre, Orival, histoire d'un village normand redevenu picard, Sans lieu, l'auteur, , 319 p. (ISBN978-2-7466-3319-3), p. 133 à 155.
↑Alain Lefebvre, Orival, Histoire d'un village normand redevenu picard, Sans lieu, l'auteur, , 319 p. (ISBN978-2-7466-3319-3), p. 238-239.
↑« À Selincourt, l'agriculteur récolte des pépites architecturales : La ferme de Laurent Crété se situe sur le domaine d'une abbaye détruite à la Révolution. Au fil des labours et des saisons, l'agriculteur a récolté bien des vestiges… médiévaux. Pour les Journées du patrimoine, ce passionné ouvrira au public son étonnant petit musée lapidaire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« L'écrivain Voltaire est-il vraiment venu à Hornoy-le-Bourg ? : Voltaire, le plus célèbre des philosophes français, serait venu dans le village picard au cours du 18e siècle. Mais est-ce bien vrai ? », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Qui était Henri du Passage ? Un Picard né il y a cent-cinquante ans », Le Réveil, édition Bresle-Oise-Somme, no 3865, , p. 30« Henri du Passage est né à Bezencourt près d'Hornoy-le-Bourg il y a 150 ans. L'occasion de revenir sur l'histoire de cet homme d'église et de conviction. Sa petite nièce nous raconte son parcours. ».
↑P-L Limichin, Le Canton d'Hornoy in Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, tome 2, Paris - Amiens, Picard - Yvert & Tellier, (lire en ligne), p. 109-269.