En littérature, il se fait connaître par ses recueils de poésie où il juxtapose parfois prose et poèmes. Il est lauréat du prix James Tait Black pour Downriver (1991), son deuxième roman.
Fort influencé par la psychogéographie[2], la plupart de ses livres ont Londres pour thème[3], notamment London Orbital (2002), sorte de récit de voyage poétique des boulevards de ceinture londoniens.
The Kodak Mantra Diaries: Allen Ginsberg in London (1971)
Muscat's Wurm (1972)
Lights Out for the Territory (1996)
Crash (1999)
Liquid City (1999), en collaboration avec Marc Atkins
Rodinsky's Room (1999), en collaboration avec Rachel Lichtenstein
Publié en français sous le titre Le Secret de la chambre de Rodinsky, traduit par Bernard Hœpffner et Marie-Claude Peugeot, Monaco/Paris, Le Rocher, coll. « Anatolia », 2002, 393 p. (ISBN2-268-04141-7)[4]
Publié en français sous le titre London overground [« London Overground: A Day's Walk around the Ginger Line »], trad. de Maxime Berrée, Paris, Éditions Inculte, 2016, 320 p. (ISBN979-1-095086-30-7)[8]
Black Apples of Gower (2015)
My Favourite London Devils (2016)
The Last London: True Fictions from an Unreal City, Oneworld Publications, (2017)
Publié en français sous le titre Quitter londres : histoires vraies d'une ville irréelle , trad. de Maxime Berrée, Paris, Éditions Inculte, 2018, 464 p. (ISBN979-1-095086-90-1)