Ibarrolle

Ibarrolle
Ibarrolle
La salle d'Etxepare.
Blason de Ibarrolle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Dominique Poydessus
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64267
Démographie
Gentilé Ibarrolar
Population
municipale
73 hab. (2021 en évolution de −17,05 % par rapport à 2015)
Densité 8,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 03″ nord, 1° 05′ 38″ ouest
Altitude Min. 159 m
Max. 764 m
Superficie 8,87 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ibarrolle
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Ibarrolle
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Ibarrolle
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Ibarrolle

Ibarrolle est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Ibarrolar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Ibarrolle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 106 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 65 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 21 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Bunus (2,3 km), Saint-Just-Ibarre (3,2 km), Larceveau-Arros-Cibits (3,6 km), Gamarthe (3,9 km), Hosta (4,7 km), Ainhice-Mongelos (5,0 km), Juxue (5,6 km), Lacarre (5,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Ibarrolle fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays d’Ostabarret (Oztibarre), à l’est de ce territoire[11].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bunus, Bussunarits-Sarrasquette, Gamarthe, Hosta, Larceveau-Arros-Cibits et Saint-Just-Ibarre.

Communes limitrophes d’Ibarrolle[12]
Larceveau-Arros-Cibits
Gamarthe Ibarrolle Bunus
Bussunarits-Sarrasquette Hosta Saint-Just-Ibarre

Géologie, sismicité

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La région est une région de flyschs du Crétacé supérieur, très épais (plusieurs kilomètres) et à fort pendage[Carte 1]. Ce type de terrain est peu propice aux captages d'eau, inexistants sur la commune qui est alimentée par les sources Zahagui et Hastokia à Hosta et Ur Belcha à Musculdy[13].

La région est située en zone sismique 4[14] correspondant à un risque moyen. L'évènement récent (depuis 1980) le plus important s'est produit en 1987. Situé à 5 km de profondeur, sa magnitude était ML=2,8[15], donc trop faible pour être ressenti.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Ibarrolle.

La commune est drainée par le ruisseau de Laminosine, l’Olloquyko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[16],[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 608 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bustince-Iriberry à 8 km à vol d'oiseau[20], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 327,4 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[25], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[26],[Carte 3].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[27],[Carte 4] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[28].

Au , Ibarrolle est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,7 %), forêts (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (25,9 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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  • Urrutiko Bordaldea
  • Iranaba
  • Azarka
  • Pekotxea
  • Etxebestaldea
  • Xerra
  • Guillabé
  • Elizathea

Voies de communication et transports

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Ibarolle est accessible par la route départementale D 918.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Ibarrolle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[35],[33].

Ibarrolle est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[36]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[37],[38].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ibarrolle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 95,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[40].

Attestations anciennes

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Le toponyme Ibarrolle provient du basque Ibarrola[41] qui signifie « forge de la vallée »[42]. Il est documenté[43] sous les formes Yvarole et Yvarola (1168 pour les deux formes, collection Duchesne volume CXIV, feuillet 35[44]), Yvarrola (1402, titres de Navarre, E 459[45]), Ibarrole (1441, notaires de Labastide-Villefranche, n°1, feuillet 35[46]), Ybarrole (1477, contrats d'Ohix, feuillet 48[47]), Ibarrola (1513, titres de Pampelune[48]) et Ybarrola (1621, Martin Biscay[49]).

Graphie basque

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La forme populaire s'était réduite à Ibarla[50] mais le nom actuel est Ibarrola[1].

Située en Ostabarret, Ibarolle comme son nom l'indique (« ibar » signifie vallée en basque), se déploie dans une vallée qui lui est propre, entre des monts qui s'élèvent très rapidement ; un ruisseau mythique serpente le long des maisons, c'est le Laminosin, qui naît dans le « gouffre des laminak ». De cette vallée, par le col de Gamia (ou col d'Askonzabal)[51], on pouvait rejoindre Saint-Jean-le-Vieux, l'antique capitale du Pays de Cize.

Les maisons nobles

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À Ibarrolle se trouve toujours la maison noble Etchepare (Etchegapare[52]), citée en 1350, que l'on peut admirer près de l'église et qui arbore ses armoiries sur son claveau de porte. Vers 1488, Pierre d'Etchepare épouse Jeanne d'Uhart, fille du seigneur d'Uhart et Sorhapuru ; son fils épousera l'héritière d'Uhart d'Aïnhice[53].

En 1763, Catherine d'Etchepare s'allie à Jean de Lafaurie, seigneur de Socarro de Zabaltze à Saint-Jean-le-Vieux. Leur descendance prendra le nom de Lafaurie d'Etchepare et celui de Lassalle de Saint-Jean-le-Vieux[53].

Uhaldea, autre maison noble, est connue aussi en 1350 à Ibarrolle. Au XVIIIe siècle, elle passera entre les mains des familles Lespade, Lassalle, Etcheverry d'Arbouet et Casamajor Salabert de Sauveterre.

Personnalités liées à la commune

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Manex Erdozaintzi-Etxart, né le 15 juillet 1934 à Ibarrolle et mort le 29 avril 1984 à Toulouse, est un écrivain, moine franciscain, poète et académicien basque. Il a donné son nom à une rue de Saint-Palais.

Héraldique

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Dans les armes communales, la chaîne de montagnes est celle qui surplombe la vallée et la traverse d'azur est pour le ruisseau des « laminak ». La croix basque est un symbole identitaire du Pays basque ; la commune revendique ici son appartenance et son attachement à cette communauté. Le troupeau de brebis rappelle le pastoralisme, propre à toute vallée étroite ; l'élevage est la seule activité agricole envisageable sur des pièces de terre de petite superficie au profil tourmenté. Le pèlerin évoque bien sûr le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ; l'Ostabarret était un des carrefours incontournables de ce phénomène spirituel de masse qui touche l'Europe entière à partir du XIIe siècle, avec ses innombrables couvents et hôpitaux qui jalonnaient les chemins jacquaires.

Blason Blasonnement :
Taillé: au 1er de gueules à la chaîne de montagnes d'argent mouvant d'une cotice en barre d'azur et surmontée d'une croix basque virgulée d'or en franc quartier, au 2e de sinople à un troupeau de huit brebis au naturel paissantes, posées sans ordre en pointe, surmontées d'un bélier passant au naturel à la tête noire accornée d'or et accompagnées en chef d'un pèlerin au naturel marchant vêtu et capuchonné d'or, s'appuyant de la main senestre sur un bâton d’or[54].

Politique et administration

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Administration

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Liste des maires successifs[55]
Période Identité Étiquette Qualité
1796 1825 Sallaberry    
1831 1832 Judaburu    
1832 1867 Dominique Ahado    
1868 1873 Berçaits    
1874 1883 Judaburu    
1983 2019
(décès)
Jean-Louis Caset
(1945-2019)
UDF puis MoDem Responsable d'agence bancaire
Conseiller général du Canton d'Iholdy
2019 En cours Dominique Poydessus    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Ibarrolle appartient à sept structures intercommunales[56] :

  • l’agence publique de gestion locale ;
  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP de l'Ostabaret ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat pour le fonctionnement des écoles d'Ostibarret.

Population et société

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Démographie

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Au recensement fiscal de 1350 Ibarolle compte 17 feux (on compte environ 5,5 personnes par foyer)[57]. Ce chiffre passe à 11 dans le recensement de 1412-1413[58] réalisé sur ordre de Charles III de Navarre[59]. Cette forte baisse est générale dans la région qui s'est largement dépeuplée durant cette période à cause de la peste noire.

Le recensement de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[60], révèle une démographie en forte croissance : il indique à Ibarolle la présence de 31 feux.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[62].

En 2021, la commune comptait 73 habitants[Note 7], en évolution de −17,05 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
242261398293270308310307315
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
286232208207196183177174197
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
178173165142157151139123121
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
116110101919288969893
2018 2021 - - - - - - -
7973-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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La maison de maitre Etxe(ga)parea

Patrimoine civil

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La maison dite la salle d'Etchepare[65] date du XVIIe siècle ;

Des maisons datant du XVIIe siècle[66], sont répertoriées par les monuments historiques.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Barthélemy

L'église Saint-Barthélemy[67] date en partie du Moyen Âge.

Équipements

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte géologique de France », sur Géoportail.
  2. « Carte hydrographique d'Ibarrolle » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  3. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ibarrolle », sur geoportail.gouv.fr.
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ibarrolle », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b - Académie de la langue basque
  2. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Ibarrolle et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Ibarrolle et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Ibarrolle et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Ibarrolle », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Nafarroa Beherea : toponymes (noms de lieux) sur le site de l'Académie de la langue basque.
  12. Carte IGN sous Géoportail
  13. « Qualité de l'eau sur l'unité de distribution : région de l'Ostabarret. Synthèse de l'année 2018 », sur Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine.
  14. « IRSN : le zonage sismique de la France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. « Nouvelle Aquitaine : mon environnement ».
  16. « Fiche communale d'Ibarrolle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  20. « Orthodromie entre Ibarrolle et Bustince-Iriberry », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Bustince - St Jean » (commune de Bustince-Iriberry) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ibarrolle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  27. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ibarrolle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « ZNIEFF les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
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  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Ibarrolle », sur Géorisques (consulté le ).
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  39. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  44. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  45. Titres du royaume de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  46. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  47. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  48. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
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