L'inpainting est le nom donné à la technique de reconstruction d'images détériorées ou de remplissage des parties manquantes d'une image[1].
Elle peut être pratiquée de manière manuelle, avec des techniques similaires à celles de la restauration d'anciens tableaux ou de photographies (retouche ou réintégration colorée), ou bien avec un ordinateur, avec ou sans interaction de l'utilisateur.
Cette méthode qui utilise des EDP, est particulièrement adaptée pour remplir de petites zones ou retirer des inclusions minimes (comme du tatouage numérique), tout en préservant la qualité du résultat et la rapidité[5]. Le but étant de passer des techniques manuelles d'inpainting à une formule mathématique générale :
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(en) Kaiming He et Jian Sun, « Statistical Image Completion », Springer, , p. 16-29 (lire en ligne, consulté le ).
(en) Marcelo Bertalmio, Guillermo Sapiro, Vincent Caselles et Coloma Ballester, « Image Inpainting », Proceedings of the 27th annual conference on Computer graphics and interactive techniques, ACM Press/Addison-Wesley Publishing Co, , p. 417-424 (lire en ligne, consulté le ).
(en) Connelly Barnes, Eli Shechtman, Adam Finkelstein et Dan Goldman, « PatchMatch: A Randomized Correspondence Algorithm for Structural Image Editing », ACM Transactions on Graphics-TOG, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Vivek Kwatra, Arno Schödl, Irfan Essa, Greg Turk et Aaron Bobick, « Graphcut textures: image and video synthesis using graph cuts », ACM Transactions on Graphics-TOG, vol. 22, , p. 277-286 (lire en ligne [archive du ], consulté le ).
(en) Manuel Oliveira, Brian Bowen, Richard McKenna et Yu-Sung Chang, « Fast Digital Image Inpainting », Appeared in the Proceedings of the International Conference on Visualization, Imaging and Image Processing (VIIP 2001), (lire en ligne, consulté le ).