L’inquilinisme est une forme d'interaction biologique dans laquelle une espèce (appelée alors inquilin) se sert du corps d'une autre espèce (appelée hôte) plus grosse comme d'un abri. L'inquilinisme est bénéfique pour l'inquilin et neutre pour l'hôte. Un exemple bien connu d'inquilinisme est la relation entre les poissons-clowns (l'inquilin) et certaines anémones de mer (son hôte)[1].
L'inquilisme strict est plutôt rare car les relations entre l'hôte et l'associé sont plus ou moins ambigües. Selon les cas on parlera plutôt de :
En myrmécologie, on parle d'inquiline pour désigner un des modes de vie correspondant au parasitisme social[2]. Les inquilines désignent alors des espèces de fourmis qui produisent peu ou pas d'ouvrières, profitant de la caste ouvrière de la fourmilière hôte.