Irigny

Irigny
Irigny
La mairie.
Blason de Irigny
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Métropole Métropole de Lyon
Circonscription départementale Circonscription départementale du Rhône
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Blandine Freyer
2020-2026
Code postal 69540
Code commune 69100
Démographie
Gentilé Irignois[1]
Population
municipale
8 867 hab. (2021 en évolution de +3,31 % par rapport à 2015)
Densité 1 003 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 27″ nord, 4° 49′ 24″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 271 m
Superficie 8,84 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune du pôle principal)
Élections
Métropolitaines Lones et Coteaux
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Irigny
Liens
Site web irigny.fr/

Irigny est une commune française située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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La commune d'Irigny est située le long du Rhône et sur les hauteurs qui dominent le fleuve, entre Oullins-Pierre-Bénite et Vernaison qui présentent la même configuration.

Le village s'est développé sur la colline autour de l'ancien château reconverti en bibliothèque et de l'église. Il offre une vue dégagée sur la vallée et la commune de Feyzin en face sur la rive gauche du fleuve.

Rose des vents Saint-Genis-Laval Oullins-Pierre-Bénite Saint-Fons Rose des vents
N Feyzin
O    Irigny    E
S
Charly Vernaison Solaize

Voies de communication et transports

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Voies routières

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Transports en commun

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La commune est desservie par trois lignes des Transports en commun lyonnais (TCL) :

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 796 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Genis-Laval », sur la commune de Saint-Genis-Laval à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 782,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ST-GENIS-LAVAL (69) - alt : 290m, lat : 45°41'40"N, lon : 4°46'56"E
Records établis sur la période du 01-01-1881 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1,3 4,2 6,9 10,7 14,3 16,3 16 12,4 9,2 4,6 1,7 8,2
Température moyenne (°C) 3,9 5 9 12,2 16 20 22,3 22 17,7 13,3 7,8 4,5 12,8
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,7 13,7 17,4 21,4 25,7 28,2 28,1 22,9 17,3 10,9 7,3 17,4
Record de froid (°C)
date du record
−19,3
17.01.1893
−18,4
04.02.1917
−10,6
01.03.05
−3,8
08.04.03
−0,3
04.05.1941
0,2
10.06.1967
5,8
08.07.1954
6,5
31.08.1940
0
04.09.1917
−4,7
27.10.1887
−9,5
28.11.1915
−17,3
22.12.1938
−19,3
1893
Record de chaleur (°C)
date du record
19,4
30.01.13
22,5
15.02.1958
25,7
31.03.21
29,7
19.04.1949
34,7
24.05.09
38,7
22.06.03
40,2
31.07.20
41,5
13.08.03
36,7
05.09.1949
29,7
02.10.23
22,8
07.11.1955
19,2
03.12.1961
41,5
2003
Précipitations (mm) 48,1 36,7 46,5 67,7 75 67,5 64,8 63,2 79,8 94,5 90,1 48,7 782,6
Source : « Fiche 69204002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Au , Irigny est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 123 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (30,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,3 %), cultures permanentes (22,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,3 %), eaux continentales[Note 4] (4 %), prairies (3,4 %), forêts (3,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le parvis de l'église au début du XXe siècle.

Autour de 1200, Renaud de Forez, archevêque de Lyon de 1193 à 1226, fit construire un château-fort sur un coteau au sud de Lyon pour protéger les intérêts qu'il possédait sur le Rhône. Le village d'Irigny se regroupa autour de ce château-fort. Jusqu'en 1592, l'archevêque de Lyon était le seigneur d'Irigny. La seigneurie d'Irigny a été vendue à Jehan Croppet le 31 août 1592. Pendant près de deux siècles, le titre de Seigneur d'Irigny est resté dans cette famille. En 1790, le premier maire d'Irigny se nomme Pierre Guillot.

Actuellement, il subsiste deux tours du château d'Irigny, construit par l'archevêque Renaud de Forez. L'une d'elles abrite la bibliothèque municipale.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de L'Union-sur-Rhône[14].

Au début de l'année 1946, la municipalité a créé un « Comité pour Bezange » pour venir en aide à la commune de Bezange-la-Petite en Lorraine qui avait été lourdement touchée par les combats de la Libération en . Irigny était l'une des premières communes de France à avoir offert un tel parrainage. Il a été commémoré en 1997 à Irigny et en 1999 à Bezange.

Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[15].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1795 Pierre Guillot   premier maire
1900 1925 Jacques Dunand    
1925 1941 Claudius Peymel   Révoqué par le Gouvernement de Vichy[16]
1947 1960 Hilaire Dunand    
1960 1966 Jean Gotail    
1966 1980 Gilbert Billon   Démissionnaire pour raisons de santé
1980 juin 1995 Paul Comte[17]   1er adjoint (1977 → 1980)
Conseiller communautaire du Grand Lyon (1980 → 2001)
juin 1995 mai 2020 Jean-Luc da Passano UDF puis MoDem
puis UDI
Pharmacien retraité, maire honoraire
Conseiller général du canton d'Irigny (1985 → 2014)
4e vice-président du Grand Lyon (2015 → 2020)
25 mai 2020 En cours Blandine Freyer LREM-DVC Ancienne adjointe

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 8 867 habitants[Note 5], en évolution de +3,31 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1461 1041 0981 0731 1561 1561 1131 1771 170
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3111 2221 3451 3791 3891 3661 3661 4511 451
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5351 5491 5801 5801 8792 0251 9392 1082 558
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 3373 6795 2266 8287 9558 3308 2798 2588 320
2015 2020 2021 - - - - - -
8 5838 8058 867------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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1 700 enfants sont scolarisés à Irigny, répartis dans quatre groupes scolaires dont un privé (le Village, Gilbert Billon, Hilaire Dunand et le groupe scolaire catholique Antoine Truchet) et un collège, le collège d'enseignement général Daisy-Georges Martin.

Manifestations culturelles et festivités

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Une course, dite course des deux forts, reliant les forts de Champvillard et Montcorin est organisée depuis 1994 dans la commune[21].

Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 815 [22].

Entreprises et commerces

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Agriculture

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Une part importante du plateau d'Irigny est occupée par des vergers (3 exploitants), et dans une moindre mesure par des cultures maraichères.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Château de La Combe
Manoir de Montcorin, Irigny

* Villa Bagatelle (Irigny)

Clocher illustré par Joannès Drevet (1854–1940).
Vieille tour à Irigny illustré par J. Drevet

Il est situé dans le bas de la commune, en montant quand on vient de Vernaison. Il a notamment servi de décor pour la série télévisée française Louis la Brocante jusqu'en 2010.

Construit pour Barthélemy Hervart, le château est une maison carrée datant de 1646 complétée par des bâtiments d'exploitation agricole entourée de 2 ha de terrain dont un jardin à la française du XVIIe siècle et un jardin paysagé remontant au XIXe siècle.

Lavoir de La Combe
  • Le lavoir de La Combe

Il est situé également dans le bas du village vers le château du même nom. Il a été construit dans le lit d'un ruisseau, la Venières, vers 1885. À l'origine, il était recouvert par une charpente en bois et des tuiles romanes. Lors de sa réfection en 1934, elle a été remplacée par la couverture actuelle en béton armé.

Ce lavoir constituait un élément important pour les habitants de ce quartier comme point d'eau et pour la lessive jusque dans les années cinquante où l'adduction d'eau l'a rendu obsolète.

Maison de la fondation Dorothée-Petit
Photo de la fresque murale d'Irigny réunissant 3 éléments : La peinture, les végétaux et la lumière. Elle représente la commune avec différents personnages et monuments notables (L'abbé Pierre, Daisy Georges-Martin... Église, châteaux, tour de traille...)
Fresque murale d'Irigny
  • La grande fresque de la place de l'église

C'est une fresque végétale dans sa partie gauche, représentant des éléments et des personnages symboliques pour la commune, en particulier l'abbé Pierre qui a passé à Irigny une grande partie de sa jeunesse.
Elle se situe place Abbé Pierre, au bout de l'avenue de Bezange, commune de Moselle liée à Irigny. Elle représente :

    • la situation du village, des berges le long du Rhône et le centre d'Irigny sur le plateau ;
    • le passé avec les vignes, la « traille » pour traverser le fleuve, les deux châteaux ;
    • le présent avec les activités économiques, sportives et culturelles, ainsi que l'environnement avec la zone naturelle et agricole ;
    • l'avenir avec le symbole de ces deux enfants, l'un d'Irigny et l'autre de Gochsheim, la ville jumelée allemande.
  • La maison de la fondation Dorothée-Petit

Cette grande bâtisse, du nom de la donatrice, est d'un style post-baroque et possède une belle tour ouvragée.

Espaces verts et fleurissement

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En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[24].

Équipements culturels

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Irigny dispose d'équipements culturels :

  • l'École de Musique d'Irigny, actuellement dirigée par Christophe Voidey.
  • Le Sémaphore et la Pastorale, formant un complexe culturel situé au lieu-dit de Champvillard

Personnalités liées à la commune

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Le conseil municipal d'Irigny a donné le nom « Abbé Pierre » à la place de l'église d'Irigny. La nouvelle place Abbé-Pierre ainsi qu'un monument commémoratif, ont été inaugurés le , en présence de nombreux habitants, des autorités politiques et de représentants cléricaux, des membres et responsables de la communauté Emmaüs, du scoutisme lyonnais et de neveux et nièces de l'abbé Pierre. Sur cette place a été inaugurée, en 2009, une fresque végétale représentant entre autres l'Abbé Pierre et Daisy-Georges Martin, martyre de la Résistance.

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lyon comprend une ville-centre et 122 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur le site habitants.fr, consulté le 29/09/2008
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Irigny et Saint-Genis-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Genis-Laval », sur la commune de Saint-Genis-Laval - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Genis-Laval », sur la commune de Saint-Genis-Laval - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
  16. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
  17. Max Desgoutte, « L'ancien maire d'Irigny, Paul Comte, est décédé à l'âge de 87 ans », Lyon Capitale,‎ (lire en ligne).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Irigny : 448 participants réunis pour la Course des 2 Forts », sur leprogres.fr (consulté le ).
  22. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. Les Châteaux historiques du Lyonnais et du Beaujolais, Salomon, Émile (1888-1945)
  24. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).