Les sels d'isothio-uronium dans lesquels l'atome de soufre a été alkylé, comme l'hémisulfate de S-méthylisothiourée (867-44-7) convertissent les amines en guanidium. Cette méthode est parfois appelée synthèse de Rathke[3], du nom de Bernhard Rathke[4] qui l'a publiée en 1881[5] :
↑(en) J. Barker et H. R. Powell, « S-Benzylisothiouronium Chloride », Acta Crystallographica Section C, vol. 54, no 12, , p. 2019-2021 (DOI10.1107/S0108270198008166, lire en ligne)
↑(de) « Heinrich Bernhard Rathke. (1840–1923) », Berichte der deutschen chemischen Gesellschaft (A and B Series), vol. 57, no 9, , A83-A92 (DOI10.1002/cber.19240570929, lire en ligne)
↑(de) B. Rathke, « Ueber Derivate und Constitution des Schwefelharnstoffs », Berichte der deutschen chemischen Gesellschaft, vol. 14, no 2, , p. 1774-1780 (DOI10.1002/cber.18810140247, lire en ligne)
↑(en) Abraham Warshawsky, Monica M. B. Fieberg, Pit Mihalik, Tarry G. Murphy et B. Yvonne, « The Separation of Platinum Group Metals (PGM) in Chloride Media by Isothiouronium Resins », Separation and Purification Methods, vol. 9, no 2, , p. 209-265 (DOI10.1080/03602548008066001, lire en ligne)