Nom de naissance | John Charles McDevitt |
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Naissance |
Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis |
Activité principale | |
Distinctions |
Langue d’écriture | Anglais américain |
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Genres |
Œuvres principales
Jack McDevitt, né le à Philadelphie en Pennsylvanie, est un écrivain américain de science-fiction, dont les histoires concernent souvent des contacts avec des extra-terrestres ou encore l'archéologie interstellaire. Ses deux principales œuvres sont les cycles Alex Benedict et Les Machines de Dieu avec le personnage Priscilla « Hutch » Hutchins.
Le premier récit de Jack McDevitt, The Emerson Effect, est publié en 1981 dans le Twilight Zone Magazine. Cinq ans plus tard il publie son premier roman, The Hercules Text (en), sur la découverte d'un signal extraterrestre qui va créer la panique sur Terre. « Le premier contact » est un sujet récurrent que McDevitt développera dans ses autres romans, avec l'inquiétude devant l'inconnu et le sense of wonder (en) de l'univers.
Avec Les Machines de Dieu, McDevitt propose en 1994 la vision d'un univers qui fut grouillant de vie intelligente, mais dont il ne reste aujourd'hui que les artefacts abandonnés alors qu'apparaît la race humaine. C'est dans ce premier volet qu'apparaît Priscilla Hutchkins, pilote de vaisseaux d'exploration, qui restera le personnage principal des autres romans du cycle Les Machines de Dieu : Deepsix (2001), Chindi (2002), Oméga (2003), Odyssey (2006), Cauldron (2007), et StarHawk (2013). Le mystère qui entoure les fameux « nuages Oméga » depuis le début du cycle ne sera résolu qu'au cours du volet Oméga[1].
Jack McDevitt est nommé dix-sept fois au prix Nebula du meilleur roman, qu'il remporte en 2006 avec Seeker[2].
En 2015, il reçoit le prix Robert A. Heinlein (en) décerné aux ouvrages qui se sont fait « remarquer dans le domaine de l'anticipation scientifique ou technologique pour leur capacité à stimuler l'exploration de l'espace par les hommes »[3].