Jaillon

Jaillon
Jaillon
Église Saint-Gorgon.
Blason de Jaillon
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Catherine Sauvage
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54272
Démographie
Gentilé Jaillonais, Jaillonaises[1]
Population
municipale
466 hab. (2021 en évolution de −0,64 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 27″ nord, 5° 58′ 08″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 277 m
Superficie 7,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Jaillon
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Jaillon
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Jaillon

Jaillon est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie

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D’après les données Corine land Cover, le territoire communal de 747 hectares comprend en 2011, plus de 57 % de terres arables et de prairies, près de 26  % de forêt, 3.5% de surfaces agricoles diverses et 12  % de zones industrielles et urbanisées[2].

Le territoire est arrosé par le Terrouin (sur 4,295 km) et le ruisseau le Longeau (sur 0,591 km)[3].

La commune est desservie par la route départementale no 611 (Toul-Dieulouard) mais les chroniques historiques et répertoires archéologiques[4] signalent d'anciens chemins allant vers Liverdun à l'est et vers Avrainville au nord-ouest[5].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Jaillon
Avrainville Rosières-en-Haye Rosières-en-Haye
Francheville Jaillon Liverdun
Villey-Saint-Étienne Villey-Saint-Étienne

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Longeau et le Terrouin[6],[Carte 1].

Le Longeau, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Pagney-derrière-Barine et se jette dans le Terrouin sur la commune, après avoir traversé cinq communes[7].

Le Terrouin, d'une longueur de 30 km, prend sa source dans la commune de Lucey et se jette dans la Moselle à Villey-Saint-Étienne, après avoir traversé dix communes[8].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Jaillon[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 19 km à vol d'oiseau[11], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Au , Jaillon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[17]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,6 %), forêts (24,6 %), prairies (19,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,9 %), zones urbanisées (4,8 %), mines, décharges et chantiers (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Gavalongæ (836) ; Gavalunigæ (884) ; Gavalungæ (936) ; Ecclesia Gavillonis (1065) ; Javulns (1169) ; Javelons (1127-1168) ; Jauluns (1196) ; Javillons Jaillons Jallons (1271) ; Gavelutæ (1359) ; Jaillonnum Jalonnum domus hospitaliorum de Jaillons (1402) sont les graphies recensées dans le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[21].

M. Auguste Longnon propose dans son dictionnaire de toponymie une formation pour le substantif "Jaille" à partir du verbe jaillir, en lien avec un lieu où jaillissent des sources. La topographie de la commune comporte effectivement une vallée arrosée.

E. Grosse[22] en parle en ces termes :

«Ce village remonte à la plus haute antiquité : on le nommait, en latin, Gavillo, et il en est fait mention dans quelques actes publics du IXe siècle.Il est encore parlé de Gavolingis et Gavolonigis, dans deux titres de l'abbaye de Saint-Evre, l'un de l'an 836 et l'autre de l'an 884[23]

Préhistoire et antiquité

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Reproduction parue dans la revue Gallia.

H. Lepage signale sur ce territoire la découverte d'objets en silex travaillé, intacts ou à l'état de débris et de quelques monnaies des Leuques, l'une d'entre elles, au droit, présente une tête barbare, et au revers, un sanglier[24].

De nombreuses monnaies romaines et d'autres objets[25] ont été trouvées sur la commune le long de l'ancienne voie Lyon - Trèves. (Fig. 1 - Jaillon (ban communal)).

Toutefois Lepage défend l'hypothèse, contraire à ses prédécesseurs historiens, que ce secteur, s'il a sûrement été fréquenté par des armées romaines, n'a jamais été fortifié comme un camp aménagé sur la durée :

«. De chaque côté de cette voie, près de Jaillon, vaste plateau appelé par les auteurs et la tradition Camp romain, dénomination adoptée aussi par M. Beaulieu. Malgré son assertion, nous pensons que le prétendu camp de Jaillon n'a été qu'un lieu de stationnement temporaire pour les légions en marche entre Toul et Scarponne, et que cet emplacement, très-favorable du reste pour les haltes, ne fut jamais pourvu de travaux de défense sérieux, comme les camps proprement dits. D'après l'examen du sol, les trouvailles faites et le nom des cantons conservés, on doit supposer que les troupes de pied stationnaient sur le petit plateau, limité à peu près par le village, la vallée, la route et le chemin de la Croix, emplacement ayant la forme d'un quadrilatère d'environ 500 mètres de l'est à l'ouest, et de 400 mètres du nord au sud[24]...»

«Ces découvertes font présumer que le soi-disant camp de Jaillon ne fut qu'un établissement agricole, où purent parfois s'attarder ou séjourner des colonnes militaires en route vers la frontière de Germanie[26]

Les chroniques rapportent en plusieurs occasions la découverte d’une nécropole mérovingienne :

«(en creusant une cave)... en 1869, découverte de 40 sépultures, dans 13 tombeaux rangés sur 4 lignes, parallèles deux à deux ; 2 mètres de distance, renfermant chacune 3 ou 4 squelettes. On recueillit 2 vases, des grains de colliers en corail et en verroteries[27]

Qu' Édouard Salin classe dans le groupe des sépultures du Haut Moyen Âge[28].

Les Hospitaliers

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J. Beaupré évoque quant à lui les dernières périodes du Moyen Âge en ces termes :

«Jaillon est très ancien il est cité dans une charte de l'an 836, sous le nom de Gavalongæ (D. T.), et, au XIe siècle, on le voit en possession d'une église qui est donnée aux chanoines de Saint-Gengoult (S.). Au Pont-de-Jaillon, écart appelé le Pont à Jaillons en 1291 (D. T.), à 5 ou 600 mètres à l'ouest du village, près de la route, il existait, à cette date, un hôpital qui relevait de la commanderie de Libdeau, un pâtis à peu de distance s'appelle la Commanderie[29],[27] »

De fait, une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem a existé au lieu-dit Pont de Jaillon. Son existence est attestée en 1291[30] et en 1296[31] et elle a été rattachée à la commanderie de Libdeau après la dévolution des biens de l'ordre du Temple[32],[Note 4].

«Cet établissement hospitalier n'était plus qu'un ermitage en 1616 ; il fut démoli par arrêt du conseil de Lorraine, quelque temps après, pour un motif qu'on ne fait pas connaitre[27]».

Époque moderne

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Dans un livre consacré à la Première Guerre mondiale, René Mercier transcrit un texte signé Pierre Léony qui évoque dans une note de campagne les conséquences du conflit sur la vie campagnarde lorraine et notamment à Jaillon :

« Les Animaux Hélas ! nous n'aurons pas eu de Comice agricole cette année. Les chevaux ardennais-lorrains qui devaient être à Longwy, à Pont-à-Mousson, à Mandres-aux-Quatre-Tours, traînent maintenant les convois sur les routes. Les vaches sont dans les parcs prêtes à être sacrifiées pour l'armée. Et les célèbres volailles de Mme Laroppe, de Jaillon, ont été mangées par les territoriaux. »

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Michel Milandri    
mars 2008 mai 2020 Régis Mathieu[34]   Retraité salarié du secteur privé
mai 2020 En cours Catherine Sauvage[34],[35]   Cadre administrative et commerciale d'entreprise

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 466 habitants[Note 5], en évolution de −0,64 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245260270292300270293293311
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
308291269254249242262237212
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
216202172172178182182215213
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
180166179249302350360353469
2020 2021 - - - - - - -
464466-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole, au XIXe siècle :

« Surf. territ. : 747 hect. ; 459 en terres lab., 39 en prés, 11 en vignes, 126 en bois »[22],[40]

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[41]), la commune de Jaillon était majoritairement orientée[Note 6] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 192 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en nette diminution depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 419 à 174 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 3 (11 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 3 unités de travail[Note 8]. (8 auparavant).

Secteur secondaire ou Industrie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Découverte en 1869 d'une nécropole mérovingienne.
  • Château de Jaillon à Jaillon XVIe - XVIIe ruiné, remanié XVIIIe.
  • Voie romaine Reims-Metz.
  • Église Saint-Gorgon XIXe siècle : maître-autel et tabernacle 1872 en pierre et staff.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Blason de Jaillon Blason
De gueules aux trois besants d’argent accompagnés de deux burèles du même en chef et en pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Parfois mentionné à tort comme d'origine templière avec pour référence les Mémoires de la société nationale des antiquaires de France, p. 81 qui ne mentionne pas cette origine et qui parle en fait de Libdeau[33]
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique de Jaillon » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse », sur brgm.fr (consulté le ).
  3. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  4. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ) : « La route romaine de Lyon à Trèves passe à 400 m. au N.-O. du village actuel et traverse une enceinte encore appelée le Camp romain, sur la hauteur sur laquelle s'étend un plateau de plusieurs km. de longueur appelé la Plaine de Késer (César?) ».
  5. https://www.etudes-touloises.fr/archives/25/art1.pdf carte page 5
  6. « Fiche communale de Jaillon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  7. Sandre, « le Longeau »
  8. Sandre, « le Terrouin »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Jaillon et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Jaillon ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
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  23. Calmet, Augustin, 1672-1757., Notice de la Lorraine, Paris, Éditions du Palais-Royal, (ISBN 2-7777-0041-9 et 9782777700413, OCLC 1070876, lire en ligne).
  24. a et b « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy)Cote : NUMM-33691 ».
  25. Musée historique lorrain au palais ducal de Nancy. Catalogue des objets d'art et d'antiquité, par Lucien Wiener..., (lire en ligne), p. 48 - 370. Poignard, avec la gaine en bronze, trouvé au camp de Jaillon (M.-et-M.)..
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  27. a b et c Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 78.
  28. Édouard Salin, « Caractères généraux, nomenclature et carte archéologique des cimetières du haut moyen âge du département de Meurthe-et-Moselle », Bulletin Monumental, vol. 96, no 2,‎ , p. 191–218 (DOI 10.3406/bulmo.1937.8528, lire en ligne, consulté le ).
  29. Les toponymes La commanderie et Sur la Haut de la commanderie existent encore dans les fichiers du fisc, mais peu sur les cartes modernes
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    1291: « frère Renaut, maistre du Pont à Jaillons et les frères de l'ospital de Jaillons ».
    .
  31. Henri Lepage, « Notice sur quelques établissements de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem situés en Lorraine : IX. Commanderie de Libdeau et de Toul », Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe,‎ , p. 63-64 (lire en ligne)
    1296: « la maison de l'ospital de Sainct Jehan au Pont à Jaillons... ».
    .
  32. Michel Henry, Les ordres militaires en Lorraine, Éditions Serpenoise, , 354 p. (ISBN 978-2-87692-706-3, présentation en ligne), p. 87, 111, 228, 280.
  33. M. Lamoureux ainé, « Suite et fin de la notice sur la ville et le comté de Scarpone », Mémoires de la société royale des antiquaires de France, t. X,‎ , p. 81 (lire en ligne).
  34. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
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  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  41. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».