James Edward Oglethorpe
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| James Edward Oglethorpe | ||
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| Fonctions | ||
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| Gouverneur colonial de Géorgie | ||
| – (10 ans, 8 mois et 7 jours) |
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| Prédécesseur | premier titulaire | |
| Successeur | William Stephens | |
| Député britannique | ||
| – (32 ans) |
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| Circonscription | Haslemere | |
| Prédécesseur | Nicholas Carew | |
| Successeur | James More Molyneux | |
| Biographie | ||
| Nom de naissance | James Edward Oglethorpe | |
| Date de naissance | ||
| Lieu de naissance | Godalming (Royaume d'Angleterre) | |
| Date de décès | (à 88 ans) | |
| Lieu de décès | Cranham (Royaume de Grande-Bretagne) | |
| Nationalité | Britannique | |
| Parti politique | Parti tory | |
| Conjoint | Elisabeth Wright | |
| Diplômé de | Corpus Christi College | |
| Profession | Militaire Administrateur colonial |
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James Edward Oglethorpe (né le à Londres et mort à Cranham (aujourd'hui dans Havering à Londres) le ) est un général et philanthrope britannique, fondateur de la colonie de Géorgie.
Biographie
[modifier | modifier le code]Fils de Theophilus Oglethorpe (d) (1650-1702), il étudie peu de temps à Oxford avant d'entrer dans l'armée du prince Eugène de Savoie. Aide de camp, il se distingue au siège de Belgrade.
Élu au Parlement, il se montre un grand réformateur social, espérant pouvoir réinstaller les pauvres d'Angleterre, et en particulier ceux qui se trouvaient dans les prisons, dans le Nouveau Monde.
Il propose ainsi la création d'une colonie entre la Caroline du Sud et la Floride et débarque sur le site de Savannah en . De Londres, il obtient de pouvoir y amener des insolvables, des indigents, des réfugiés allemands et suisses et des juifs, mais exclut les catholiques. Il y ouvre une loge maçonnique et y bannit l'esclavage, ce qui n'est pas sans agacer certains des colons.
De retour à Londres, il doit lancer des assauts contre les colonies espagnoles lors du conflit anglo-espagnol de 1739, mais échoue à prendre Saint Augustine.
En 1743, il forme une unité de rangers pour la Virginie et les met au service de la Couronne lors de la révolte jacobite. Immense échec, il est traduit en cour martiale mais sans conséquence. Il meurt le .
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrages en français
[modifier | modifier le code]- François Angelier, Dictionnaire des Voyageurs et Explorateurs occidentaux, Pygmalion, 2011, p. 516-517
- Romain Sardou, America, la main rouge, T2, XO Éditions, Paris, 2012
Ouvrage en anglais
[modifier | modifier le code]- Cookie Lommel, James Oglethorpe : humanitarian and Soldier, Chelsea House Publishers, 2000
Références
[modifier | modifier le code]Sources
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « James Oglethorpe » (voir la liste des auteurs) dans sa version du .
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative à la recherche :
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