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Nom de naissance |
Jean Marie Gilles Mauriac |
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Jeanne Mauriac (d) |
Fratrie |
Claude Mauriac Claire Mauriac (d) Luce Mauriac |
A travaillé pour |
Présidence de la République française (d) (- Agence France-Presse (à partir de ) |
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Distinctions |
Jean Mauriac est un journaliste et écrivain français né le à Paris et mort le dans la même ville[1],[2].
Jean Mauriac est le fils de François Mauriac et le frère de Claude Mauriac, Claire Mauriac (Claire Wiazemsky) et Luce Mauriac (Luce Mauriac Le Ray).
Il est entré comme journaliste politique à l'Agence France-Presse (AFP) en 1944, et a été affecté auprès du général de Gaulle dès la Libération et jusqu'à la démission du Général en avril 1969.
Il meurt à Paris le [3]. Il est enterré au cimetière de Vémars.
À 82 ans, en 2006, il livre de nombreux propos recueillis auprès des acteurs du gaullisme, dans L'après-de Gaulle.
« Le gaullisme, cette belle aventure commencée le , était mortel. C'est sa dégénérescence que retrace Jean Mauriac dans ce livre implacable et pour tout dire démoralisant. Cinq cents pages de confidences recueillies pendant trois décennies auprès des héritiers, qui relatent leurs rivalités, leurs haines recuites et leur aveuglement, entrecoupé de rares éclairs de lucidité (Le Monde)[4]. »
« C'est un psychodrame de jalousies et d'ambitions querelleuses qui s'empare, au lendemain du départ du Général, de ceux qui l'ont servi, et qui s'exacerbera encore, cinq ans plus tard, à la mort de Pompidou, autour de la rivalité entre Chaban et Giscard ; les ralliements à ce dernier étant encore plus mal perçus, et avec plus de raisons, que ceux dont put profiter Pompidou (Le Figaro)[5]. »