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Distinctions | Liste détaillée Prix MacArthur () Bourse Guggenheim () Médaille Dana (en) () Médaille Benjamin-Franklin () Prix L'Oréal-UNESCO pour les femmes et la science () Docteur honoris causa de l'École polytechnique fédérale de Zurich () Membre correspondant de l'Académie australienne des sciences () V. M. Goldschmidt Award (en) () Médaille Urey (en) () |
Abréviation en botanique |
Banfield |
Jillian Banfield, née à Armidale, est une biochimiste et géomicrobiologiste australienne[1]. En 2011, elle reçoit le prix L'Oréal-Unesco pour les femmes et la science pour ses travaux sur le comportement des bactéries et de la matière dans des conditions extrêmes ayant une incidence sur l’environnement et sur la Terre[2].
En 1978, elle s'inscrit à l'université nationale australienne où elle obtient un baccalauréat universitaire en sciences en 1981. En 1985, elle obtient une maîtrise universitaire ès sciences. En 1986, elle s'inscrit à l'université Johns-Hopkins où elle obtient en 1987, un masters of art en sciences de la terre et des planètes. Elle achève son doctorat en 1990 sous la direction du professeur David Veblen. De 1990 à 2001, elle enseigne et dirige des recherches à l'université du Wisconsin à Madison. De 1996 à 1998, elle enseigne à l'université de Tokyo. Depuis 2001, elle enseigne à l'université de Californie à Berkeley[3] et dirige des recherches au Laboratoire national Lawrence-Berkeley[4]