John Oswald est reconnu comme militant précurseur du Copyleft et de l'anti-copyright et pour ses collages musicaux à partir d'œuvres existantes comme le projet plunderphonics[1].
Ses compositions libres popularisées par leur diffusion électronique reposent sur des arrangements à partir de samples d'artistes célèbres comme les Beatles (sample d'une note de musique repris par le générique de fin de l'émission Paris Dernière ou des compositions classiques comme la Symphonie No 7 de Ludwig van Beethoven. La pochette est une œuvre dérivée polémique de l'album Bad de Michael Jackson qui a entraîné des poursuites judiciaires et l'interdiction du projet au Canada et aux États-Unis.