Juan Carlos Chirinos, né en 1967 à Valera, est un écrivain venezuelien. Il a étudié la littérature au Venezuela et en Espagne, où il réside actuellement. Il a été inclus dans plusieurs anthologies, au Venezuela, en Espagne, aux États-Unis, en Algérie, au Canada, à Cuba et en France.
Juan Carlos Chirinos García est né à Valera en 1967. Il a terminé ses études primaires et secondaires dans sa ville natale et en 1985, il a déménagé à Caracas pour étudier à l'École des Arts de l'Université Centrale du Venezuela ; deux ans plus tard, il a commencé ses études en littérature à l'Université catholique Andrés-Bello de cette ville, où il a obtenu son diplôme en 1992. Il a travaillé à l'Universidad Metropolitana, à la Fondation d'Ethnomusicologie et de Folklore, la Cinéthèque Nationale et le Musée Alejandro Otero. En 1997, il arrive à l'Universidad de Salamanca pour faire un doctorat en littérature espagnole et latino-américaine. Depuis cette année, il vit en Espagne, actuellement à Madrid.
« Pélopidas », traduction de Gersende Camenen, in Les Bonnes Nouvelles de l'Amérique latine, Gallimard, « Du monde entier », 2010 (ISBN978-2-07-012942-3)[1]
« Pélopidas », traduction de Hélène Rioux in Anthologie de récits vénézuéliens contemporains, Montreal, XYZ, 2009 (ISBN978-2-89-261553-1)
« Lo que no está escrito y nunca se escribirá – Seis comentarios sobre Ifigenia, de Teresa de la Parra », Estilo, Caracas, septembre 2024[8].
« Simón Bolívar, el Libertador ». Historia de National Geographic[9], no 75,
« Lovecraft inter pares: los fantásticos hispanoamericanos », La Mancha, no 12, [10]
« Olimpia, la madre de Alejandro Magno » in Historia de National Geographic[11], no 44,
« El (nuevo) desembarco de la narrativa venezolana en España »[12], Nuestra América, no 4, Universidade de Oporto, août-)
« Los (auto) exilios de la literatura venezolana de los noventa: Exilio en Bowery, de Israel Centeno y El libro de Esther, de Juan Carlos Méndez Guédez », in Carmen Ruiz Barrionuevo et al : La literatura iberoamericana en el 2000. Balances, perspectivas y prospectivas, Universidad de Salamanca, 2003
« Si yo fuera César Rengifo », Jesús Sanoja Hernández, ed., 50 imprescindibles, Fundación para la Cultura Urbana, Caracas, 2002).
« La lengua literaria de Silda Cordoliani (o el lenguaje es la evasión) » in Mujeres, amor y poder, Asociación de Jóvenes Historiadores de Cantabria, 1999.
« Un sujeto eminentemente raro » in José Balza, La escritura como ejercicio de la inteligencia, Universidad central de Venezuela, 1997.
Jorge Edwards : Persona non grata (Caracas, El Estilete, 2017) (ISBN980-778-621-5). (El rey siempre está desnudo, avant-propos).
Thomas Carlyle : El doctor Francia (Sevilla, Renacimiento, 2017) (ISBN841-698-128-0). (El biógrafo honorable, avant-propos).
Pablo Acevedo : Estrella varada (Madrid, Polibea, 2012) (ISBN978-84-86701-45-1). (Júpiter, melancólico, busca la palabra, avant-propos).
José Gregorio Hernández : Sobre arte y estética (Caracas, La Liebre Libre, 1995) (ISBN980-327-270-5). (José Gregorio Hernández y la filosofía nacional, avant-propos).