Naissance |
Santa Clara (Californie) |
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Taille | 1,70 m |
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Apparition dans Playboy |
juin 2008 |
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Juliette Rose Fretté est artiste peintre, écrivain et modèle de charme de nationalité américaine. Bien que se réclamant du féminisme, elle a posé en tant que playmate pour le magazine Playboy en [1].
Pendant ses études, Juliette est une élève brillante, particulièrement en Anglais et en art. Elle entre à l’Université après avoir reçu son diplôme d’études secondaires en 2002. C'est en tant qu'étudiante en début de cycles à l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA) qu'elle pose nue pour la première fois pour le magazine, en compagnie d'autres filles : ses photos apparaissent dans le numéro d'octobre 2005 dans un article intitulé "Girls of the PAC 10" (Les filles de la Pacific-10 Conference - association d'universités devenue depuis lors la Pacific-12 Conference) - dans ce même article apparaît pour la première fois Sara Jean Underwood, future Playmate de l'Année 2007.
D'autres photos et vidéos sont diffusées ensuite dans le Cyberclub (site Internet) de Playboy, d'abord en tant que Coed of the Week (Étudiante de la semaine) le , puis comme Coed of the Month (Étudiante du mois) en mars, sous le nom de Juliette Rose.
Juliette se revendique comme féministe et travaille alors à une thèse consacrée aux études sur ce sujet, intitulée "Posing for Playboy From a Feminist Perspective: How Media Images Impact Women's Empowerment." (Poser pour Playboy dans une perspective féministe : comment l'image médiatique influence l'accomplissement des femmes), et s'appuie sur ses travaux pour justifier sa participation à un magazine pour homme généralement fort peu apprécié par les mouvements féministes, en présentant cette immersion dans le monde de Playboy comme le moyen privilégié d'en aborder la problématique d’un point de vue féministe. Son attitude est d'ailleurs critiquée par des membres de sa famille et de son entourage.
En 2008 elle se décide à sauter le pas et à devenir Miss (elle est photographiée par Arny Freytag et Stephen Wayda). Elle s'explique : « I was already doing something controversial, so I figured that I might as well do it all the way. » (Ce que je faisais portait déjà à controverse, donc je me suis dit que je pouvais aller jusqu'au bout).
C'est elle-même (fait très rare) qui rédige l'article qui lui est consacré, expliquant en quoi le fait de poser nue n'est pas incompatible avec son engagement féministe : si elle reconnaît que poser pour Playboy participe à objectifier le corps de la femme, ceci est admissible et même positif tant que cette dernière est respectée en tant qu'être humain, et que les photos servent uniquement à exalter la beauté et mettre en valeur les formes féminines, sans présenter d'aspects dégradants, méprisants ou offensants.
Selon elle, Une vraie féministe croit à l'égalité sociale, politique et économique des hommes et des femmes" : mais cela n’implique aucunement la haine de la gent masculine ; elle-même apprécie les hommes et affirme :
Juliette a une activité d’artiste peintre[2] et rédige également des chroniques en indépendant pour différentes revues ou sites Internet, par exemple pour Examiner.com[3] et Huffington Post[4]. Elle a aussi, par exemple, réalisé une interview d'Olivia De Berardinis, la célèbre dessinatrice de pin-ups[5].