Jusqu'à ce que le sort les sépare

Jusqu'à ce que le sort les sépare

Titre original Érase una vez… pero ya no
Genre Comédie romantique musicale
Création Manolo Caro
Pays d'origine Drapeau de l'Espagne Espagne
Chaîne d'origine Netflix
Nb. de saisons 1
Nb. d'épisodes 6
Durée 26 à 34 minutes
Diff. originale
Site web https://www.netflix.com/title/81263779

Jusqu'à ce que le sort les sépare (Érase una vez… pero ya no) est un mini-feuilleton espagnol en six épisodes d'environ 30 minutes, mis en ligne le sur la plate-forme Netflix[1].

Soledad est amoureuse de Diego, mais elle ne peut l'épouser car il n'est que pêcheur alors qu'elle est la princesse du royaume. Diego demande de l'aide à une sorcière, qui jette un sort sur le royaume : plus personne ne pourra tomber amoureux tant que les deux amants ne seront pas réunis. La princesse Soledad doit garder en vie un petit dragon d'eau pour tenir Diego en sécurité jusqu'à leurs retrouvailles[2].

C'est ce que raconte la légende d'un village, attirant les touristes dans un hôtel au bord de la faillite. L'hôtel ne survit que parce que Maxi, le fils de l'hôtelière, se prostitue auprès des clientes et grâce aux récitals de la chanteuse Enamora. L'arrivée d'Antonio et Juana puis de Goya aidera-t-elle à lever la malédiction qui pèse sur le village[2] ?

Distribution

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Genèse et développement

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En , la revue Esquire annonce le lancement du premier feuilleton série musical produit par Netflix España[3]. Son créateur, Manolo Caro le définit comme « un anti-conte de fées, une réinvention à partir de la pensée de la société actuelle[3] ». La direction musicale est confiée à Lucas Vidal[4]. Le feuilleton reprend plusieurs chansons d'artistes populaires, comme « Si tú no vuelves » de Miguel Bosé, « Si no te hubieras ido » de Marco Antonio Solís, « Fuimos amor » d'Esteman, « Sobreviviré » de Mónica Naranjo ou encore « La revolución sexual » du groupe La Casa Azul[5].

Distribution des rôles

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Dès l'annonce du projet, il est dit que les rôles principaux du feuilleton seront interprétés par Sebastián Yatra, Nía Correia et Mónica Maranillo, ainsi que Asier Etxeandia ou encore Rossy de Palma[3]. Sebastián Yatra est déjà une jeune vedette, et Asier Etxeandia est un artiste reconnu, de même que « l'icônique » Rossy de Palma. Mais Mónica Maranillo venait juste de se faire connaître par La Voz Kids, et Nía Correia venait de gagner dans OT 2020[6].

Le feuilleton est tourné dans le village de La Alberca dans la province de Salamanque, ainsi qu'au château de Manzanares el Real et au château de Guadamur dans la province de Tolède[7].

  1. Si tu ne reviens pas (Si tú no vuelves)
  2. Irresponsables
  3. Nous étions l'amour (Fuimos amor)
  4. Je survivrai (Sobreviviré)
  5. Ce n'est pas moi (Yo no soy esa)
  6. On a toujours vécu ensemble (Vivimos siempre juntos)

Réception critique

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Pour le site spécialisé La Montée ibérique, le mini feuilleton « utilise les codes des contes de fée pour les tourner en dérision et imposer une nouvelle vision du genre mais toujours avec une touche d’humour », ce qui en fait « un feuilleton complètement fou qui joue sur le côté décalé pour faire rire et parfois réfléchir[8] ».

Notes et références

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  1. Thomas Desroches, « Les nouveautés Netflix cette semaine », sur Allociné, (consulté le ).
  2. a et b (es) « Érase una vez… pero ya no: dónde se rodó la serie de Netflix », sur diezminutos.es, (consulté le ).
  3. a b et c (es) « Érase una vez… pero ya no: Todo lo que sabemos de la primera serie musical de Netflix », sur Esquire, (consulté le ).
  4. (es) « Lucas Vidal: “Lo importante es no perder la ilusión” », sur Vanity Fair, (consulté le ).
  5. (es) « En Érase una vez… pero ya no Manolo Caro revive canciones clásicas », sur Publimetro, (consulté le ).
  6. (es) « Sebastián Yatra lanza la canción principal de Érase una vez… Pero ya no como anticipo al estreno », sur El Diario, (consulté le ).
  7. (es) « Érase una vez… pero ya no: Escenarios donde se rodó la serie de Netflix », sur Guía Repsol, (consulté le ).
  8. Caroline, « #Netflix : Tout ce qu’il faut avoir sur « Jusqu’à ce que le sort les sépare » », sur La Montée ibérique (consulté le ).

Liens externes

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