Katerína Gógou
| Naissance | |
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| Décès | |
| Nom dans la langue maternelle |
Κατερίνα Γώγου |
| Nationalité | |
| Activités | |
| Conjoint |
Pávlos Tásios (en) (jusqu'en ) |
| Idéologie |
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Katerína Gógou (grec moderne : Κατερίνα Γώγου), née le et morte le , est une poétesse grecque, autrice et actrice. Avant son suicide par overdose de pilule à l'âge de 53 ans, Katerína Gógou est apparue dans plus de trente films grecs[1].
Biographie
[modifier | modifier le code]Katerína Gógou est née à Athènes, en Grèce. Au début de son enfance, elle connait l'occupation de la Grèce par l'Axe qui début en 1941[1]. Elle étudie le théâtre à l'école Takis Mouzenidis et la danse à la Koula Pratsika High School[2].
Elle fait ses débuts dans le cinéma grec pendant « l'âge d'or » de celui-ci, qui précède des années de censures[3]. Elle est récipiendaire de deux prix lors du Festival international du film de Thessalonique dont un pour son rôle dans Et la femme craindra son mari[2].
L'un de ses livres, Three Clicks Left, est traduit en anglais en 1983 par Jack Hirschman et est publié par Night Horn Books à San Francisco[4]et également en turc en 2018 par Mahir Ergun et publié par Belge Yayinlari à Istanbul[5]. Le titre grec est Τρία κλικ αριστερά ; il est publié pour la première fois par Kastaniotis en 1978 et est vendu à plus de 40 000 exemplaires en Grèce[2].
Le , elle est découverte inconsciente chez elle à Metaxourgeío et emmenée à l'hôpital où elle est déclarée morte. Il s'avère qu'elle se suicide avec une mélange d'alcool et de médicaments[6].
Filmographie sélectionnée
[modifier | modifier le code]- 1959 : Qui aime bien châtie bien : Lazarou
- 1961 : Loi 4000 : Kleo
- 1965 : Et la femme craindra son mari : Pagona
- 1971 : Qu'as-tu fait pendant la guerre, Thanasi ? : Froso Karathanasi
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (en) Agapi Virginia Spyratou, Katerina Gogou: Death’s Love, Athènes, Vivliopelagos,
Références
[modifier | modifier le code]- « Katerina Gogou », The Internet Movie Database (consulté le )
- (el) « Κατερίνα Γώγου: Οι εκρήξεις ενός αυτοκτονημένου αστεριού και η συγγνώμη », Parapolitika, (consulté le )
- ↑ (en) « Katerina Gogou », Tank Magazine, (lire en ligne)
- ↑ « hirschman biblio 5.24.02 », sur www.sfcall.com (consulté le )
- ↑ « Belge Yayınları », sur www.belgeyayinlari.com.tr (consulté le )
- ↑ (el) « 26 χρόνια από την αυτοκτονία της Κατερίνας Γώγου, της αναρχικής ποιήτριας με τη δακρυσμένη ψυχή », Marie Claire, (lire en ligne)
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressource relative à l'audiovisuel :
